[Chapitre à caractères violents et sexuels]
"Nouveau message - Patron :
Bonjour Maryne, j'aurais besoin de toi aujourd'hui. Je sais que tu es en congé, mais c'est plutôt urgent, alors fait vite. Habilles toi d'une jupe assez courte et de vêtements faciles à enlever. Tu seras récompensée, bien entendu."Et voilà ce que je vois ce matin en allumant mon portable. Mon patron m'exaspère. Que je soit en congé, malade, endormi, ou encore à l'étranger, il n'en a rien à faire et m'appelle. Surtout qu'il me demande parfois de lui combler ses envies sexuelles et me tutoie. Ce gars n'a aucun respect. Je suis donc obligée de répondre à l'affirmative.
"Bonjour Monsieur Dash, je serai là dans une vingtaine de minutes. Que dois-je prendre ?"
Une fois mon message envoyé, je me prends des habits propres et file sous la douche. Je sais qu'il m'a demandé de mettre des habits faciles à défaire, mais je n'en n'ai pas vraiment. Alors j'opte pour une jupe courte en fleurie avec un petit chemisier blanc. Je ne pris pas longtemps, m'habillai et descendis manger un bout. Une fois prête, je check mon portable et vois que Monsieur Dash m'a répondu.
"Nouveau message - Patron :
Parfais, Maryne. Je t'attends dans mon bureau. Ne prends rien."Je sors de chez moi et vais à l'arrêt de bus. J'ai mon permis et ma propre voiture, mais je ne suis jamais sur qu'il y est toujours une place. Et puis, c'est plus simple comme ça.
Sur la route, quelqu'un s'assoit à côté de moi. C'est un homme. Il a l'air d'avoir la trentaine, vu sa tête. L'homme en question me sourit. J'ai dû le fixer trop longtemps - oops. Ou alors il est tout simplement courtois. Je détourne le regard et me concentre sur la route. Soudain, je sens une chose douce et chaude sur ma cuisse. Pourtant, je n'y prête pas attention. J'aurais l'air conne si je regardais ma cuisse sans aucune raison apparente. Alors j'essaie de ne pas y prêter attention. Mais cette chose, que je ne veux pas voir, se déplace, et vient se glisser sous ma jupe, près de mon entre-jambe. Mon cœur se met à battre plus vite, tandis que je suis incapable de bouger. J'ai une sensation bizarre dans le bas du ventre. Je sens la chose se rapprocher dangereusement du bord de ma culotte. La chaleur s'empare de mon corps entier, et mes yeux se posent enfin sur cette chose, qui était en fait la main de l'homme à côté de moi. Celle-ci se glisse sous ma culotte, et commence à caresser mon intimité. Son autre main vient se plaquer sur ma bouche, m'empêchant d'appeler qui que ce soit dans le bus. Je me tortille, essayant de lutter contre mon assaillant, mais ne parviens qu'à lui donner l'avantage sur moi. Je suis quasiment allongée sur le dos sur lui. L'homme en profite pour me saisir par les bras de la main avec laquelle il m'empêchait de parler, et me bouffe la bouche. J'abandonne alors tout tentative de lutte et le laisse faire. Je le sens sourire contre mes lèvres, visiblement satisfait de sa victoire. Il continue ses caresses, me faisant mouiller. Je rêve, ce con arrive à me faire mouiller ! C'est l'hôpital qui se fou de la charité ! Je me crispe lorsque je sens ses doigts tapoter mon entrée, comme pour me demander mon accord. Je grogne. De toute façon, je ne peux rien faire d'autre. Alors il enfonce un premier doigt en moi, puis un second, et les remue. J'halète. Quand je suis presque à bout de souffle, il en enfonce un troisième, et commence ses va-et-vient lentement. Je vais exploser. Bordel. Ce con va me faire jouir. Je déteste cette faiblesse ! Ses va-et-vient s'accélèrent, tout comme mes halètements. Et là, dans le bus, au milieu du brouhaha, un gémissement de plaisir étouffé sort de ma bouche. Mon assaillant se contente de sourire contre mes lèvres, puis de diriger sa tête vers le haut de mon chemisier, et me laisse la bouche libre. Sauf que je ne peux pas parler, sinon je vais alerter tout le monde dans le bus, et ça risque d'attirer d'autres pervers. A l'aide de ses dents, il déboulonne mon chemisier, laissant apparaître mes seins. Mon soutien-gorge était légèrement tombé, et ne couvrait plus mes seins. L'homme les contemple, me lèche le sein gauche, puis le droit. Je sens mes poils se hérisser tout le long de mes bras, mes jambes. Il m'embrasse à nouveau. Ses doigts se retire lentement un à un - et cela me procure autant de plaisir que lorsqu'il les a rentrés - et montent jusqu'à nos bouches. L'homme décolle ses lèvres des miennes, et lèche ses doigts d'une façon terriblement sexy. Un haut-le-coeur me secoue. Lorsque mon assaillant compte recommencer son petit manège, le bus s'arrête ; je suis arrivée. Je m'attends à être retenue par l'homme, mais il ne me retient que le temps de m'embrasser une dernière fois au creux de mon cou et de déposer un bout de papier entre le tissu de ma culotte et ma peau. Il m'aide à me redresser et à remettre en placeon soutien-gorge et ma jupe, tandis que moi je referme mon chemisier et me recoiffe. Le bus redémarre. Je n'ai pas été assez rapide. L'homme m'attire vers lui et m'embrasse la tempe. Je suis surprise de son geste. Il m'a pratiquement violée, ensuite il m'a aidée à me rhabiller. Il appuie sur le bouton d'arrêt, et trente secondes après le bus s'arrête. Je me précipite vers ma sortie, de peur qu'il ne change d'avis et me retienne.
Je cours un moment jusqu'à ce que j'arrive devant l'immense building qui est l'entreprise ou je travaille. Je sens toujours le petit papier glissé il y a quelques minutes sous ma culotte. Il me gêne. J'ai très envie de l'enlever, mais je ne peux pas le faire en plein dans la rue. Ce n'est que partie remise.****
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Weaknesses
Non-Fiction"Un seul faux pas et c'en est fini pour toi" Maryne Stevens est le genre de personne qui attire tous les hommes. Cependant, celle-ci n'attire personne, du moins, de son âge. Employée dans une grosse entreprise, son patron la paye au sexe. C'est son...