Nous n'étions que deux êtres insignifiants allongés dans l'herbe.
Deux adolescents contemplant le ciel comme un enfant contemplerait la mer.
Nous parlions français, allemand, anglais parfois même un peu serbe.
Mon Dieu qu'elle était belle, aussi belle que tous les merveilleux paysages habillant la Terre.
Ses yeux dorés contemplaient le monde avec bienveillance.
Les miens la regardaient sans ne jamais trouver meilleure occupation.
Plus les étoiles filantes illuminaient la voie lactée, plus son sourire distribuait du bonheur en abondance.
Sa beauté grandissait au fil des minutes, devint aussi immense que l'envie de lui faire ma déclaration.
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En attendant la fin
PoetryC'était un de ces soirs d'été à vous faire tomber amoureux si jamais l'amour décidait d'étendre son voile.