Chapitre 2

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La chanson avec laquelle j'ai écrit le chapitre. Elle m'a pas mal inspire d'ailleur. Oui, bon les paroles sont un peu décalé par rapport à l'histoire, mais les sentiments que nous transmet la musique sont en adéquation avec ce chapitre (wai , en adéquation. Carrément ^^)




Le jour commençait à se lever et Eïlsha ne se réveillait toujours pas.

Voilas plusieurs jours que la jeune fille et son ocemas avait quittés les ruines de ce qui avait été leur foyer. Plusieurs jours maintenant qu'il fuyait les souvenirs de se massacre.

Makuat ne savait plus quoi faire. Sa maîtresse était blessée, et plus les jours passaient, plus elle s'affaiblissait. Inquiet, le jeune ocemas était allé se blottir contre elle toutes les nuits.  Tentant de la réchauffer contre l'air glacé de la nuit.

Mais aujourd'hui il était impuissant. Il avait tenté de la réveiller, mais rien n'y faisait. Elle ne respirait plus que faiblement.

Makuat grogna d'inquiétude. Ce n'était pas le moment de dormir !

Alors que de fins flocons commençaient à tombés, il se coucha contre la jeune fille. Il resterait la, auprès d'elle. Quoi qu'il puisse lui arrivée. L'ocemas posa sa tête sur l'épaule de la jeune fille.

Alors l'ourson hurla. Elle était glacée !

Makuat s'interrompit et leva la tête vers le ciel, il maudit la lumière froide qui coulait sur eux en se matin d'hivers et le gelait jusqu'aux os. Alors il se remit à hurler.

***

Galeru leva la tête. Un fin rideau de neige commença à tomber. Rien qui ne pourrait l'arrêter. Le centaure continuât sa route. Il ne souhaitait pas rester la. Il avait enfin réussit à mettre la main sur la troupe de renégat qui parcourait la région. Bien que simple, sa mission lui avait prit plusieurs mois. Il devait les retrouver et les arrêter. Et tous cela, sans violence si possible !

Sans violence. Les renégats n'étaient pas le genre de personne avec qui on pouvait discuter autour d'une chope d'hydromel ! Si quelqu'un pouvait les arrêter sans violence, il voulait bien être changé en Crysalm !!

Galeru grimaçât au souvenir de leurs rencontres. Elle avait été quelque peu...sanglante.

Il les avait retrouvés après un énième pillage. Un paysage qui lui était devenu familier au cour de ces mois de traque. Des morts. Des bâtiments dévastés et brulés. Les corps calcinés, sanglants. Des visages figés dans un dernier rictus de douleurs.

Le centaure pensa a ces enfants qui ne rirons plus jamais, dont l'avenir leurs avaient été brutalement retirés

En se perdant dans ces souvenirs, il avait faillit ne pas entendre le hurlement de douleurs. Le centaure se stoppa net. Tant de douleur... le crie semblait provenir des profondeur de la foret. Encore un cri. Plus puissant, plus désespéré que les précédants.

Galeru se précipita dans la direction d'où provenait la douleur. Il s'enfonçait toujours plus dans la foret à la recherche du hurleur. Les cris se perdait dans le vent et était renvoyés dans toute les directions, de tel sortes que l'on avait l'impression que la forêt toute entière hurlait sa douleurs. Il continua de chercher jusqu'a parvenir devant l'ocemas.

Celui-ci s'arrêta en le voyant. Le regard qu'il posa sur le centaure était plein d'espoir, mais voyant qu'il ne semblait pas prêt à l'aider, il reprit son triste chant.

Faces de Lune ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant