Faces de Lune ...

KIBA (Mionlou)

Coucou les gars alors moi c'est Mionlou et non; se chapitre n'est pas normal. Il est de moi, je vous rassure, ca reste la même histoire mais aujourd'hui on vous presente...Kiba! Mon personnage.

En gros je viens tenter de voler son histoire a cette charmante Kerwinne...*s'étouffe devant son ordi* Charmante, c'est le mot...

Bon, écouter je suis vraiment mais alors totalement fane de cette fic et vous ne pouvez pas imaginer comme j'ai sur kiffer écrire se chapitre pour vous.

Je vous laisse en paix avec votre lecture en espérant que sa vous plaise. Si vous aimer n'hésiter pas a aller lire mes fan fiction.

Bisous les copains!!!

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Vous avez déjà vus votre monde disparaitre? Votre vie anéantie sous vos yeux? Kiba oui, elle la vus, le monde qui s'effondre, les flammes des ténèbres, la vie qui s'éteint comme vaincue. Cette petit fille qu'elle était se souvient de son village à feux et à sang, le monde est injuste, le seul moyen de survive c'est de disparaitre.

Kiba à quatorze ans, quatorze longue années qu'elle survie dans se monde. Elle est lucide, la vie ne vaux pas la peine d'être vécu. Kiba est différente, plus froide, indépendante, loin du monde. Pour elle, le monde, la foule, c'est une vague noire ou les émotions s'entasse avant de disparaitre. La vie ne lui a pas fais de cadeaux, toujours plus exigeante envers elle qu'envers les autres. Mais ça lui a forgée un caractère, elle ne ressent plus la peine, la compatissions c'est sentiments ne servent a rien, ils encombre plus qu'autre chose. Kiba, elle est neutre, durant son enfance on la disait silencieuse, timide , pas bavarde pour un sou aujourd'hui elle est une véritable porte de prison inaccessible. Pour elle, les autres sont comme des armes.

Elle marche dans la ville, les rue de nuit l'attire, silencieuse, paisible et mortelle. Elle marche éclairé par la lune, cette lune ronde, parfaite dans se ciel sans nuage, les étoile sembles proches, si proches....

S'arrêté un instant regardé le ciel comme pour la première fois, confondre les ombres sombres et le ciel lumineux. Si elle pouvais, elle arrêterait le temps, pas pour toujours, juste pour profitée du moment où tout semble parfait. Profitée de la vie. Cette pensée est absurde, elle secoue la tête, marche dans les rues pavée, silencieuse, respectant la nuit, le sommeille de gens. Qui sais, peut-être fons t'ils un rêve agréable? Depuis quand n'a t'elle pas rêvé? Six ans voir plus. La si elle ferme les yeux, peut elle rêvé? Non, les image de sa mort reviennes perpétuellement dans son esprit. Alors elle marche, droit devant elle, rien ne serre de courir, personne ne l'attend nul part.

Si une personne regardais par sa fenêtre, plongeait son regard vers cette fine silhouette qui se détache a peine du monde, elle pourrais voir, ses deux grand orbes brillants qui juge se monde. Ses yeux de se bordeaux brillant ou la joie sommeille. Elle pourrait voirs, des mèches café dépassée, leur pointe blanche volantes au vent. Cette fine silhouette, agile dans la nuit, marchant dans les rue vers se lieu, la foret. Une fillette qui vas la bas, seule, dans la nuit, une pensée abjecte. Aucun Faery n'irais la bas, se lieu remplis d'animaux féroces, de créatures mystique!

Si une personne l'avais vue, si elle avait regardée cette fille, elle aurait vus au milieu de ses boucle claires, deux oreilles. Deux oreilles pointues, fine et élancé. Elle venait du désert Lanhy, c'était un milieu pauvre, ses occupants, les elfes.

Que voulez vous, aucun Faery n'irait dans la foret...

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