Changement

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Tout d'abord je voudrais remerciez ceux qui lisent me textes et ceux qui me donne leurs impressions.

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Aaron m'emmena a sa voiture et me conduit a l'hopital. Dans la voiture pas un mot ne fus prononcer. On entendais seulement le claquement de mes dents du au stress. Je ne savais pas du tout ce que je devrais faire arriver a l'hopital. Si je devais voir le corps je ne pourrais plus le lacher. Jamais je ne m'en remettrais. Comment je ferais si je dois signer des papiers? Si les affaires de mon pere devaient etre emballé, comment je reagirais? Serais-je capable de surmontais cet obstacle? Dans ma tete toute sorte d'idée ce bousculaient. Un tas de "si" et de "pourquoi" circulaient en boucle dans mon esprit. Il faut que je me concentre sur autre chose. Aussitot Aaron posa sa main sur la mienne. Je le regardais et il pressa legerement ma main comme me rassurais. Il se gara et éteint le moteur de la voiture. Il se tourna vers moi.

Aaron: Ça va aller? Tu veux que je t'accompagne ?

Moi: Oui. Et oui je veux bien. C'est peut être idiot de ma part mais je ne veux pas affronter tout sa seule.

Aaron: C'est loin d'être idiot justement seul les personnes réaliste demande de la compagnie.

Moi: Merci. Même si ça fait pas longtemps qu'on se connaît je te suis reconnaissante pour tous ce que tu fais pour moi.

Aaron: Ce n'est pas parce que je ne te connaît pas depuis longtemps que je ne t'apprécie pas. Au contraire.

Moi: Merci.

Je descendis de la bagnole et attendais qu'il est fermé à clé.  Puis nous entrame dans le grand bâtiment. Je me dirigeais vers l'accueil et demanda M. Greewitch. La jeune femme très belle d'environ une trentaine d'années me dirigea vers un couloir qui menait à un escalier qui descendait. Je la remercia et me dirigea à l'endroit qu'elle m'avait indiqué. Devant l'escalier je me stoppais net. Je regardais la descente mais mes membres ne bougeaient pas. Je leurs criait de bougé mais rien n'y faisait. Aucune réaction. J'étais à deux doigts de pleuré quand une chaleur rassurante enveloppa ma main. Je me détourna pour savoir d'ou venait cette sensation de sécurité et vis Aaron. Il me regarda dans les yeux et je vis que ses pupilles bougeaient. Je voulu dire quelques chose mais seul un petit grognement sortis de ma bouche. Il me regarda dans le blanc des yeux et dis:

Aaron: Descend ces escalier je serait toujours derrière toi. Quoi qu'il arrive ne t'arrête pas. Je ne te lacherais pas la main. Allez va si.

Je me retournais et descendais les marches. Arrivée en bas je demandais ce que je devais faire au médecin qui attendais ma venue. Il me répondit que je n'avait juste qu'à lui dire si le corp étais bien celui de mon père. Quand le docteurs me mena jusqu'à une table en ferraille. Sur cette table ce trouvait un drap sous lequel un corps reposer. Le corps de mon pere. Je m'approchais et le medecin devoila le visage de mon geniteur. J'hochais la tete en direction du medecin mais gardais les yeux river sur son visage paisible. Il paraissait dormir. Je ne l'avais jamais vu avec une expression si calme mais savoir que son coeur ne battait plus fis jaillir un flot de larmes chaudes sur mes joues. Le personnel de l'hopital essaiya de me menait vers la sortie mais je me tenais fermement a mon pere. Je ne voulais pas le quitter. Je ne voulais pas le laisser ici. C'etait au dessus de mes forces de devoir le quitter. Je voulais a tout pris le rejoindre coute que coute. Soudain mes pieds ne touchaient plus le sol. Aaron venait de me prendre dans ses bras en mode princesse. Je m'agrippais a son cou en pleurant. Les larmes ne s'arretaient plus. Je n'arretais pas de prononcer le nom de mon pere ou simplement "papa". Tout a coup la brulure du froid me fis fremir. Je sentis un manteau se posait sur mes epaules. En relevant la tete je vis seulement que nous etions dans la rue puis je me remis contre lui. Je m'endormis.

Ma véritable nature.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant