Chapitre 2

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Je me reveille avec une terrible envie d'uriner, comme ce n'est pas normal de le faire sur un fauteuil, malheureusement. Je me lève pour me dériger à ma salle de bain.

Je viens d'être consiente que je suis dans l'appart de John, bizzarment je ne me rappelais plus des évènements de la vieille, je me rappelais juste que les murs étaient peints en noir quelque heures plutôt alors que des heures avant ils étaient en blanc. Ce n'est pas un détail qui m'interresse ou je ferais mieux de l'ignorer pour ne pas devenir parano.

Une fois pieds dans la salle de bain, je me mets sur la cuvette m'appraîtant à uriner, quand j'entends un cri qui allait remporté mon âme et arrêter mon cœur.

Ce n'est que mon imagination, je finis par dire en essayant de respirer lontement.

Je ferme mes yeux un moment pour respirer et oublier ce phénomène que j'ignore. J'essaye un pas en avant en faisant la chasse, ma respiration s'accèlere à chaque fois mes jambes s'approchent de la sortie.

AAAAAAHHH

Un autre crie fait surface, j'étais angoissé et mon cœur était serré, je pouvais plus racler ma gorge, je suis immobile. Un froid surnaturelle atteint la salle de bain, je dégage une chaleur en soufflant et en répétant que c'est juste une imagination quand je revois mon père à nouveau.

Décidée, je sors de la chambre en lâchant un soupir de soulagement quand je découvre que John me regardait avec douceur.

-Il y a quoi ma petite ?

Je force un sourire et l'informe que j'avais juste mangé abusivement la vieille sans rencontrer son regards puisque moi et mentir on forme pas le meilleur couple en même temps.

Je me redresse et me reinstalle aux bras de mon père, je sentis son corps froid alors qu'il devait être chaud, sa respiration arrêté alors qu'elle y devait être, ses yeux fermés et en l'air de ne plus être ouvert, son visage devenait blanc comme un ange, il était mort.

Mains tramblantes, genous hors contrôle, je n'ai même pas la force de crier ou réagir, c'est la première fois que je vis ce genre de sentiment... Il semble si triste comme un cœur princé violament, comme des echous de respirer, comme une angoisse qui réunit tout le flashback de ma vie avec cette personne qui devait être mon père mais en cherchant rien n'est partagé entre lui et moi, il est devenu comme notre relation: Morte.

L'histoire de mon père et moi me laisse retournait à mes douze ans, quand j'étais un être sociable avec pleins d'amis, j'ai eu l'amour d'un père et l'amour d'une mère et c'est la seule raison qui me rendait heureuse. J'avais une sœur jumelle, Émilia. Elle était le contraire, distance, mal élevée, froide, ennuyante... Tous le monde la détestait et même mes parents lui donnait aucun attention alors elle décide un jour de se suicider, et la faute m'est remise sans savoir pourquoi.

Je le regarde endormi quand John quitte la pièce pour que je pousse un long soupir décrivant ma fatiguante journée, je décide de retourner à mon appartement oubliant l'arrivée de mon père ainsi la cause.

Je me rappelle les jours où j'avais mes douze ans...

-Léna, reveille toi mon bébé, J'entends toujours sa voix la voix de mon père, la seule fois où il m'a donné un mot doux.

Quand j'avais mes douze ans.. Je veux rester enfermée dans ce rêve.

-Léna tu me fais peur là, reveille toi.

J'ouvre mes yeux pour me convaincre que c'est juste un rêve... Que mon ancien père ne reviendrait jamais puis je referme mes yeux.

-Papa ? j'entendais mon appel doux...

Voilà pourquoi je devais rester froide comme la neige... Ma couleur de cheveux me va bien.. car elle décrit l'état de mon cœur.

La vie m'a donné un cœur froid pour me proteger de ces sentiments qui leur font mal tous.

Mais pourtant je l'ai vécu dans un rêve.

-S'il te plait réveille toi, son ton devient de plus en plus faible et doux dans mon rêve.

Je marmone de quelques mots, toujours pouvant pas ouvrir mes yeux, mon père pousse un soupir de soulagement, je le sais puisqu'il était près de moi dangeureusement puisque je sentis son soupir qui me caresse mon nez.

Ce n'est juste un rêve.

J'ouvre enfin mes yeux et découvre ma chambre vide.

Je me lève pour me changer, consciente qu'il était déjà sept heure du matin, un haut simple accompagné par un doux parfum réglera l'affaire, puis après ranger ma chambre rapidement je me précipite vers la sortie pour rejoindre mon lycée.

***

Je ne savais pas comment je suis arrivée là, c'est comme si le chemin du lycée m'est étranger, je marchais consciente que je connaissais parfaitement ma route mais après une demi-heure de trajet, je me retrouve dans des ruelles, le quartier pauvre comme l'appellent certain. Comme à ma parfaite règle mon casque me protège de chaque discution réelle mais à ma horrible chance je dois demander mon chemin.

À suivre.


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