Chapitre 1

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La solitude.

On dit que l'humain est un être sociable, qui aime retrouver la compagnie, qui trouve un plaisir à se faire de divers amis.

Ça me fait un rire sarcastique à chaque fois je pense que je n'ai jamais fait partie de ce genre d'humains.

Oh que oui, qui suis-je ? Je suis une fille qui a un carractère fort sans être méchante, gentille sans être profitée.Et comme chaque lycée, il doit y avoir une personne bizarre pour le complèter, j'ai pris l'honneur avec plaisir, gentil de ma part non ?

Je suis à le pas de rentrer chez moi, comme toujours mon casque au niveau de ma tête protégeant mes oreilles de toutes discutions réelles, téléphone en main chassant mon ennuie. Vu que je sois une adolescente, on pensera que je serai dans un des réseaux sociaux les plus fréquentés ces jours...Mais non gamine malgré moi, je préfère de jouer aux jeux pour passer mon temps et oublier les tensions que la vie me fait vivre chaque jour, je ne suis pas sociable et je ne compte jamais l'être, voilà la réponse à le grand pourquoi que tout le monde demande en regardant mon écrans vide d'une application sociale.

Je me retrouve une fois à l'interieur de mon beau appartement peint en noir, je lâche un long soupire de soulagament. La routine commence à m'ennuyer, je dois peut-être faire des plans pour l'été ? Non, déjà que je pouvais voir chaque jour des types des gens qui à cause d'eux je déteste définitivement communiquer.

Je vis toute seule il y a une bonne durée, j'appartiens à la plus riche famille de cette ville : Hagtus. Ma mère et mon père ont toujours été occupés me laissant dans une grande villa avec un chat blanc qui me fixe en me térifiant, et bien sûr ça serait la dernière chose que j'allais aimer, Conclusion: Cet appartement me sauve.

L'idée est contradictoire a ma personnalité, certes, mais il faut savoir que c'était juste un prétexte pour rester seule.

-Elle a le regard qui tue, kita. Cheveux long comme niqita, sonne mon téléphone qui est la raison principale de ma fatigue aujourd'hui.

Hier, J'ai rencontré ma sœur dans un café, on avait passé un temps mémorable. Je lui ai laissé mon téléphone pour faire mes besoins à la plus proche toilette, et j'ai fini par une nouvelle sonnerie de téléphone. Mon téléphone a sonné en plein cours, et intelligente malgré moi, je l'ai laissé en plein son. Ce qui m'a ramené dans un labyrinthe  de critiques. Je vous les passe en deux secondes, sympa moi.

Oh elle écoute du Jul.
Brule en enfer, je te respectais en plus.
Je savais que tu étais bizarre toi.

Ratati, ratata.

Bref.

Malheuresement pour moi je dois garder une certaine application pour garder contact avec ma famille, où je peux faire des appels vidéos mais ça ne dure pas plus que des breves minutes, ce qui me va parfaitement.

Une fois dans l'application, je tape le nom de mon père. mais l'application s'arrête à chaque fois j'écris Hagtus. Je laisse tomber et je me place sur mon confortable lit, mes paupières deviennent de plus en plus lourdes, alors je malange en serrant mon ours en peluche.

Une voix brusque dans les escaliers de ma grande appartement apparait, je sursaute par peur puis je me mets à serrer fort mon ours en peluche par angoise. J'étais de nature peureuse, je me souviens les nombreuses nuits où je reveillais ma mère juste parce qu'un sachet de plastique faisait du bruit.

Je me penche pour sortir de mon lit, et avance vers la fenêtre. Je découvre mon voisin John fixait ma fenêtre, c'était un homme très agé et connu dans notre quartier, il avait l'air perdu et même en peur. Je lui fais signe pour le saluer, il me fait de même et démare une discution, un cauchemar.

-Léna tu as entendu le bruit ?

J'aurai préféré que ça soit juste mon imagination qui m'a joué un rôle, ou un inventaire lourd est tombé par accident. J'aurai surtout préféré ne pas participer dans cette discution.

-Oui, je pense que c'est juste un leger accident, Je réponds prête à terminer la discution.

-Tu peux venir avec moi pour vérifier ?

Je roule mes yeux, pourquoi on doit toujours me déranger à mon sommeil.

Je lui fais signe d'attendre pour récupérer mon bas de pyjama car vu il fait chaud en australie je me contente d'un haut très long sans bas-vêtement.

Je descends les escaliers, et ma respitation s'accèlere de plus en plus j'avance vers le premier étage. John m'attendais, il apparaîssait pâle, vraiment pâle que je redeviens pâle de retour. Il me fait signe de suivre, je le suis sans hésitation et sans me rendre compte du trajet je me retrouve dans l'appartement de John.

Il me sourit et j'ai eu peur une seconde qu'il allait faire une chose qui va me faire regretter cette soirée.

-Joyeux anniversaire ma belle.

J'arque mon sourcil, et je le regarde avec un air perdu.

-Ton nom me disait beaucoup de choses, je me suis mis à chercher et j'ai trouvé que Thomas était ton père.

Je viens de m'appercevoir que la chambre dont on se trouve est sombre.

-Il est là, il voulait te voir.

Vu son expression, je croyais une seconde qu'il ment. Mais je supprime cette hypotèse une fois mes regards rencontrent celui de mon père.

La lumière s'allume.

Des joyeux anniversaires viennent de nul part et des gens entrent dans l'apparement, j'étais assez perdu. Mon père était différent, il savait que je n'aimais pas les gens ainsi que les fêtes. Pourtant il était comme moi comment expliquer ça ?

Je me penche vers le canapé pour prendre place près de lui, son sourire s'allargie mais je sais qu'il y a quelque chose qui ne va pas.

John me tend des gâteaux, à ce pas je change d'avis, désolé mais je préfere la nourriture avant tout.

Quand je m'appraîte à déguster mon gâteau, un cri se fait entendre qui me donne une chaire de poule.

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