«Partie première» (C)

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Un matin d'automne, à Paris, un ciel gris comme la plupart du temps, faudrait peut être que je songe à déménager dans le sud , vous allez trouvé cela bizarre mais j'adore Paris, avec sa masse de gens toujours pressés, les métros bondés aux heures de pointe..! Je me précipite pour prendre ma correspondance. Les galères des métros parisiens et t'en donner que j'ai 30 minutes jusqu'au terminus je profite pour réviser une énième fois mon contrôle. Même si je connais mes fiches par coeur, je ne pus m'empêcher de relire , histoire d'être sûre.
Je suis, depuis plusieurs minutes, plongé dans mes bouquins quand je sens un regard insistant sur moi , je relève discrètement la tête et regarde dans la vitre. Comme tout le monde, qui espère que ce soit discret!
Je vois un homme disons mate de peau, très bien habillé entrain de me détaillé. Étant très timide je rougis légèrement et replongea la tête dans mon bouquin. Je descends au terminus et je le vois du coin de l'oeil descendre également. Je sors de la bouche de métro et me mets en route pour la fac , j'arrive comme toujours en retard en courant. Je m'assoie rapidement sur mon siège et composa. A la fin de ma composition , je la donne au professeur avant de me diriger vers la sortie.
Une fois dehors, seule, pour pas changé je m'assis sur un banc et recommença à penser à l'homme que j'avais aperçu dans le métro. Vous savez c'est la première fois que je me soucis d'un homme. Il avait les yeux d'un vert/marron profond et mystérieux. Tout en étant dans mes pensées je me surpris à le trouver pas mal.
Après avoir fini ma journée épuisante , je me retrouve une fois de plus dans les transports. En sortant dans la rue, mon livre en main , je trébuche sur la marche du trottoir . En relevant la tête , je L'aperçois devant moi, mon livre en main , je me relève rapidement et lui prends violemment le livre des mains et repris mon chemin.
Ne me demander pourquoi pas j'ai fais cela car moi-même je n'en connais pas la raison , je ne voulais sûrement pas avoir à lui parler ou plutôt devrais-je dire bafouiller. Après une bonne nuit de sommeil ,je me rendit pour la énième fois de ma vie dans le métro. Je m'assis rapidement sur la banquette et cogna violemment le genou de quelqu'un. En regardant la personne que j'avais violemment heurté, je le vis et dit :
-« C'est pas possible,tu me suis ou quoi !? »
- « T'es parano toi dit moi.. , mais c'est rien je sais que toutes les filles veulent croiser tout le temps un bel homme comme moi.»
- « ..... »
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Suite prochainement ❤

« INSENSIBLE» LK20Où les histoires vivent. Découvrez maintenant