chapitre deuxième.

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_Merci ce fût la seule chose qui parvint à s'échapper d'entre mes lèvres

Je pouvais sentir son regard insistant sur chaque parcelle de mon anatomie. Il l'examinait explicitement, il inspectait mon corps caché sous ma fine robe sans aucune gêne tout en en faisant ce mouvement de bouche qu'il avait l'habitude de faire. Mal à l'aise par toute cette attention, je prit le bout de tissu sur mon épaule afin de le faire tournoyer entre mes doigts.

_Tu comptes me dire quelque chose ou tu vas simplement te contenter de me regarder comme si je n'étais qu'un vulgaire morceau de viande? Le trop long silence qui régnait entre nous commençait à pesé sur mon humeur

_écoute il semblait gêné et mal a l'aise lorsqu'il commençait son discours, il se grattait maladroitement la nuque tout en me fuyant du regard. Ça peut paraître fou, mais je t'aime.

Ma nuque se pencha comme instinctivement, mes yeux quant à eux étaient sur le point de sortir de leur orbite, et une mine confuse se forma sur ma figure.

_pardon ?

_Je sais, je sais que ça peut paraître fou surtout vu l'ambiguïté de notre relation qui n'en n'est même pas une, mais je suis convaincu d'une chose c'est que je t'aime, j'ai jamais ressentie ça pour personne et c'est carrément flippant. Je pourrais passer des heures à admirer chaque recoin de ton visage comme s'il s'agissait de la septième merveille du monde sans jamais ressentir une quelconque lassitude, et ça, ça me donne des sueurs froides. J'adorerais passer les quarante prochaines années de mon existence à t'écouter parler de maquillage juste pour le plaisir d'entendre le son de ta voix résonner, j'aime la manière détachée que tu as de dire les choses lorsqu'elles te déplaisent, je pourrais continué encore vingt  ans s'il le fallait, et je veux que tu me donne la possibilité de le faire en acceptant de devenir mon épouse

_Je...j'ai pas compris dépasser par tout ce qui venait de se passer, je sorti la premiere connerie qui me vint en tête

_Qu..comment ça tu n'as pas compris? Il bafouillait ses mots,  et je pouvais apercevoir l'incompréhensible tiraillée ses traits.

_Comment ça tu m'aimes... C'était à mon tour de perdre mes mots On ne s'est jamais embrassé, et c'est à peine si je te laisse me touché le bras et toi du jour au lendemain tu viens me dire que tu m'aimes, tu te moque de moi c'est ça? 

Ses membres se redresserent, il fit un mouvement de jambe, rapprochant mon corps du sien en me surplombent de ses yeux percent, me forçant la main à le regarder malgré moi. À cet instant, mes yeux plongés dans les siens, j'en vint au stade ou je me questionait entre lequel de la lune et de l'homme dressé en face de moi était le plus éblouissant.

_Tout ce que tu as besoin de savoir c'est que je t'aime, et je sais que c'est réciproque, concretisont ça, devient mon épouse malia

_elle est ou la bague ?

                           ****

Je me reveillais doucement en clignant plusieurs fois des yeux, la lumière tamisée que j'avais omis d'éteindre la nuit dernière m'aggresait la vue. Je me retournais pour l'éteindre et afin de vérifié si yacin n'était pas rentré la nuit dernière.
Sa place était intacte. Je me remis dans ma position initiale, les yeux rivés sur le haut plafond de l'appartement, il était fade, sans vie. Comme quasiment tout ce qui ce trouvait ici, moi compris, à l'exception peu-être de la grande baie vitrée magnifiquement dressé à ma droite. Elle me donnait une vue d'ensemble lorsque la ville de Londres prenait vie, lorsque les travailleurs de l'ombre commençaient à vagué à
leurs occupations. Il n'était pourtant que cinq heures du matin mais le rouge embrassant déjà le ciel, annonçant la venue de l'été.
Je m'etirais et sortais enfin de mon lit, les muscles endoloris du a la positon inconfortable que j'avais tenue ces cinq dernieres heures.
Je grimaçais lorsque j'apercevait mon reflet dans le miroir, d'énormes cernes s'étaient installées sous mes yeux bouffis et rougis par la fatigue, une énorme masse de cheveux étaient sauvagement dressée sur mon crâne. Tu ne ressembles vraiment à rien. Me chuchote ma mesquine de conscience.
J'otais paresseument mes vetements, et me dirigait vers le jet d'eau, laissant mes muscles se détendre petit à petit au contact de l'eau chaude.

                            ***

J'inserais la clef qui se trouvait entre mes mains dans la serrure de la porte, et je me dirigerait vers la cuisine de l'appartement. Je posais délicatement les deux baguettes qui se trouvaient entre mes mains sur le contoir de la cuisine. Le son causé par l'eau dans ma chambre conjugale attirait mon attention. La veste de yacin était négligemment posé sur le lit deux place. Une forte odeur d'alcool mélangé a d'autres substance qui m'étaient inconnus se dégageait de celle-ci.

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 11, 2017 ⏰

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