Ch@pitre 6. (Suite 2)

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En te retournant, tu vis...

Une autre salle. (#Étonnement)
À l'intérieur, il y avait une sorte d'objet gigantesque, rassemblant tout bonnement à une machine de torture.

Surtout que dans ce mécanisme-ci, il y avait une femme que tu as déjà avais vu quelque part... Tu avais de la difficulté à savoir, car elle avait de longs cheveux qui lui cachaient le visage... Et diverses marques qui lui parcouraient le corps. Ça en était extrêmement désolant.

Et comme tu t'en attendais, il y avait un autre message de sang, soigneusement écrit sur le mur :

Cette fois, nous testerons ta pitié. Tu vois cette femme ? Son nom est (N/BFF).

Après avoir lu la première partie du message, tu agrandis tes yeux. Ton cœur a l'impression d'avoir raté un battement, et maintenant, une douleur parcourt ta poitrine. Tu observas la femme qui était... Ta meilleure amie. Elle semblait inerte. Tu fonças vers elle.

Toi: (N/BFF) ? (N/BFF) ! Réveilles-toi ! S'il te plait !..

Tu observas toutes ses coupures, les larmes aux yeux.

Ma pauvre (N/BFF)... Qu'est-ce qu'ils t'ont fait...?

Elle est positionnée en forme de croix, les bras levés vers le haut, attachés par la machine. Tu tentes de te mettre sur la pointe des pieds pour détacher ta meilleure amie.

Toi: Allez... Il doit bien y avoir un moyen...

Il y a plusieurs écrous massifs sur la machine. Tu ne pourras jamais les retirer sans une bonne clé à molette.

Désespérée, tu décides de fouiller la pièce... Elle est plongée dans la pénombre, mais à ce qu'il y paraît, l'espoir fait vivre.

Je ne vois rien...

Tu te consentis alors à revenir vers la seule source de lumière ; Une torche qui éclairait la seule partie qui méritait d'être vue.

Tu finis de lire le message.

Cette femme a été abusée, utilisée comme un vulgaire jouet... Et tu vas décider de son sort.
Mais du tiens. Soit tu te sacrifies pour elle et te met à sa place, pour ainsi mourrir dans les pires souffrances. Ou tu lui laisses cette terrible fin.
Lorsque tu auras terminé de lire ce message, le mécanisme va se mettre en marche.
Bonne chance.

Tu entendis soudain, un mécanisme se mettre en marche bruyamment. Tes oreilles sifflèrent d'un seul coup également.

Tu te retournas vers (N/BFF), les larmes aux yeux de nouveau. Et c'est à ce moment que ta jeune amie reprit conscience. Tu crias son prénom en fonçant vers elle. Mais elle ne semblait pas te reconnaître, ni même juste savoir ce qui se passait...

Toi: (N/BFF) ! J-je... Je sais pas quoi faire !

Elle poussa des geinements de douleur.

Toi: (N/BFF) !!!

Tu commences à panniquer, tu réussis à peine à respirer par le nez.
Tu essaies de toutes tes forces, de réfléchir... Mais les cris de ta meilleure amie t'en empêche.

Toi: (N/BFF), je veux me mettre à ta place ! Est-ce que tu m'entends ? (N/BFF) !

Elle arrête soudainement de pousser des plaintes... Tu la regardes dans les yeux. Tout ce qui s'échappe à présent d'elle, sont des halètements terrifiés.

Tu regardes la machine ; ce qui la faisait autant crier, était des pinces qui tiraient sur ses ongles... Tous, ses ongles. Et en même temps.

Elle te regarde, et tu en fis de même...

Toi: O-okay... (N/BFF)... C'est moi, c'est (T/P)... Est-ce que tu me reconnais...?

(N/BFF): (T... (T/P)...?

Toi: O-oui..! C'est moi ! C'est moi, (N/BFF)...!

Elle n'ajouta rien, semblant à bout de souffle. En dépit de tout ça, elle ne semblait pas te reconnaître d'avantage... cela te fendait le cœur...

Toi: (N/BFF)... S'il te plait, est-ce que tu sais comment te tirer de là...?

Les larmes commençaient à dévaler sur tes joues pendant que tu recommenças à chercher une quelconque façon d'arrêter le mécanisme ou de la libérer.

(N/BFF): ... Non...

Toi: Sur... sur le message... Il y est écrit que je peux prendre ta place... Et----

Un autre cri strident parvint à tes oreilles, te faisant sursauter. Le choc te fit passer violemment la main sur l'un des écrous de la machine, ce qui te coupa la paume de la main. Tu y ressentais maintenant une vive douleur, et tu pouvais déjà imaginer la longue coupure.

Tu retournas en face d'elle.
Cette fois, apparemment, c'était ses doigts, qui se faisaient arracher...

Par désespération, tu te plantas au bout de la pièce et hurlas de toutes tes forces.

Toi: LAISSEZ-LA ! LAISSEZ-LA VIVRE, PUTAIN !! PRENEZ-MOI ! PRENEZ...

Tu éclatas en sanglot, et soudain, tu entendis un splash.

Quel genre de splash...?

Le genre de bruit que fait un melon, lorsqu'il s'éclate parterre en tombant d'un 21e étage.

...

Tu comprends, n'est-ce pas ?

Ton corps ne pouvait s'empêcher de trembler. L'adrénaline tambourinait tellement fort en toi, que tu ressentais à peine la douleur que causait ta plaie saignante.

Tu pris un risque intersidéral, celui de te retourner vers ton ancienne meilleure amie.

Et tu ne vis que du sang, du sang et encore du sang. Du sang qui coulait, et une absence de corps. Pendant que tu te torturais à penser à une solution, elle, souffrait.

Toi: (N/BFF)... Non...

Tu ne comprenais pas ce qui s'était passé. Tout ce que tu su à ce moment-là, c'était que ta meilleure amie...

Fut tuée. Pour de bon.

Tu t'en retrouvais trop choquée pour ressentir quoique ce soit. C'était comme... Une saturation. Tout ça te dépassait complètement.

Tu hurlas de toutes tes forces.
Tu pleuras, maudissas cet endroit.
Tu plaidas de rentrer chez toi.

Et tout ce qui te répondait, était l'écho de ta propre voix.
L'une des choses les plus effrayantes, était après tout, la solitude... N'est-ce pas ?

Un long silence de culpabilité...

Tu t'étais laissée tomber parterre. Tout d'abord sur les genoux, puis allongée, éventrée.
Pourquoi devrais-tu te relever, après tout...

Pour la survie ?

Haha... Quelle merveilleuse blague...

Puis ton corps te lâcha, et tu perdis conscience...

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MI !

🐱🐱🐱🐈🐈🐈

Masky × ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant