L'arbre de notre amour

L'attente

J'étais assises à une table, avec mon téléphone à la main. J'avais commander un petit café au vieux serveur que je connaissais depuis que j'allais ici.

J'étais assise devant une fenêtre. J'avais un envie qui me rongeais; Voir Eden.

Je savais bien que pour lui je n'étais encore qu'une enfant, ou une «Gamine» comme il m'appelait autrefois. Mais, je ne pouvais m'empêche de penser, que peut être il se passerait quel que chose avec lui dans un futur lointain. Mais, cette pensé me ramena à la réalité. Il avait 24 et moi je n'étais qu'une adolescente de 16 ans. Je devais oublié cette idée.

Pourtant, j'avais tout de même envie de le voir. Quatre ans avais passé s'en que je ne le croise une seule fois. La seule fois où je le voie, s'est au cimetières. Un peu spéciale quand même.

J'attrapa mon téléphone que j'avais laisser au coin de la table, et lui écrit un message.

Anna || Désolé de dire ça soudainement, mais es-tu libres là maintenant ?||

Aussitôt envoyé, il y avait une partie de moi qui regrettais.

Mais, je fûs surprise de voir qu'il n'avait pas ignorer ou mis à plus tard mon messages.

Eden|| Je viens de terminer de travaillé, tu es où ?

Mon cœur dit un bond dans ma petite poitrine d'adolescente. Je me dépêche d'indiquer l'endroit où j'étais.

Durant le temps d'attente, j'imaginais le scénario. Parfois bien, d'autre fois dans des situations embarrassantes.

Lorsqu'il entra dans le petit bistro, il était encore dans son habit d'hôte. Je dois l'admettre, cette accoutrement lui fessait divinement bien.

Il m'a perçue aussitôt et venu me rejoindre à la table.
Je sentis une légère odeur de cigarette. Décidément, son parfum n'a pas réussir à masquer l'odeur. Moi qui croyais qu'il avait arrêter depuis ce temps.

Il me sourit.

Lui: Pardon si je n'es pas faite vite.

Il s'en fessait trop pour rien.
Moi: Oh ca va, j'avais juste envie de parler avec toi.

C'était un peu bizarre mon envie non? Mes joue devenue légèrement rouge. Disons que j'étais un peu embarrasser de mes paroles.

Heureusement que le serveur me sauva la mise en lui apportant un café.

Je fus soulagé.

Lui: Qu'es qui ne va pas Anna?

Je sentie ma gorge se noué et mon ventre se serré.

Moi: Tout.

Il fut un peu choquée de ma réponse, cela parut sur son visage d'homme.

Lui: Explique, je t'écouterais.

Tyler..

Moi: est ce qu'il.. est ce qu'il t'arrive de penser à Tyler?

Sur mes mots, son visage semblait complément perturbé.

Il soupira, comme si on lui enlève un pois de ses épaules.

Lui: Si tu tien tant à savoir, je pense à lui chaque fois. Et ses pire lorsque je te regarde.

Je ne savais pas si c'était bien ou mal ce qu'il disait. C'est mots " Et s'est pire lorsque je te regarde"

Il reprit lorsqu'il remarque l'inquiétude sur mon visage triste.

Lui: Pour Tyler, tu étais son rayon de soleil. Après l'accident, j'ai eu l'impression que c'était de ma faute ta peine. Alors, j'ai disparue, espérant que ton sourire et ta joie de vivre revienne.

C'est mots me touchaient au plus profond de moi. Depuis quand était fil habile avec les mots? J'avais oublié l'instant d'une fraction de seconde que quatre ans c'était écoulé.

Je voyais bien que Tyler était nostalgique à la suite de cette phrase.

Lui: Quand j'ai appris que tu ne voulais plus sortir de chez toi, que tu n'arrivais plus à manger normalement, j'ai eu l'impression que s'était de ma faute.

Mon trouble alimentaire... je n'avais pas envie qu'il l'évoque. Depuis mes 12 ans, la peur de grossir m'avait envahie. J'avais affreusement maigrit à la suite de l'accident qui avait causer la mort de mon frère. Ma psychologue de l'époque avait pensé que la cause avait été le choc de cette nuit là...

Même si en 4 ans j'avais travaillé sur ma nutritions, il y a des moments où je vais jeûner.

Je sentie un sentiment que je ne connaissais pas trop m'envahir. Je crois que ses de qu'on appelle le "courage"

Je pris une grande respiration avant de m'exprimer.

Moi: Ce n'est pas de ta faute. Jamais je n'es pensé une seule fois que s'était de ta faute. Tu sais, Tyler n'est pas mort à cause de toi; mais bien à l'alcool qu'il avait prit.

Il me coupa brusquement.

Lui: J'aurais pu lui empêcher de boire cette nuit là..

J'ai crue qu'il allait pleurer.

Je sentie le besoin de posé ma main sur la sienne pour en quel que sorte le rassurer.

Moi ; Toi aussi tu étais saoul. Tu aurais pu mourir toi aussi. Rien n'est de ta faute. Tu ne pensais pas que sa finirais comme ça.. je suis sûr que Tyler ne t'en veut pas. J'en suis certaine.

Il me regarda profondément dans les yeux pendant plusieurs seconde qui semblait être des heures. Sans savoir pourquoi, l'angoisse monta en moi. Que cherchais t'il à savoir ?

En me regardant tout aussi fort.
Lui : Finalement, tu as changé Anna.

Moi: C'est bien ou mal?

Il ricana légèrement.

Lui: Bah, tu es devenue mature. À 16 ans, j'étais pas comme ça.

Je sourie à cette remarque.

Moi: la différence était que toi, tu étais un "Briseur de cœur".

Il ricana à ma phrase. Il devait se remémorer les souvenirs de son adolescence.

Lui: Tu n'es pas suivit le même chemin que moi alors?

Je sourie de plus belle.

Moi; je te rappelle que j'ai un corps de gamine.

Je fessais référence à mes formes absentes.

Lui: Tu es jolie comme tu es Anna. C'est ce qui fait ton charme.

À ses mots, il était aussi choqué que moi.

Il m'avait draguer à l'instant Non?

Je sourie gêner du compliment. C'était disons, un sourire de remerciement. Ouais, un sourire de remerciement.
Je changea de discussion.
Moi: Il faut avouer que j'ai pas irriter du talent en math de Tyler.

Il sourie.

Lui: Tu as besoin d'aide ?

Je ne sais pas si elle me proposait son aide. Mais, pourquoi voudrait t'il aider un gamine comme moi? Peu être parce que mon frère m'aurait aidée et qu'il essaye en quel que sorte de prendre le rôle.

Pourtant, si il me voyait comme sa petite sœur, moi je le voyais comme un homme.

Moi: Bah oui, mais, l'un de mes amis m'aide.

Il semblait surprit que je n'avais pas dit " L'une"

Lui: Tu n'as qu'à me demander de l'aide si tu en n'a de besoin. Rappelle toi, j'ai déjà terminer mes année de lycée moi.