L'Ange D'Asgard ~ Tome 1 [AVENGERS] {Réécriture}

Chapitre 1 :

(vingt-cinq ans plus tard)

L'homme frappa la jeune brune assise sur la chaise alors qu'elle avait les mains liées, et juste a quelque centimètre de celle-ci l'autre bourreau reproduit la scène sur une femme rousse dans la même situation que son amie. Un homme ; le patron, qui était plus imposant que ceux qui les deux lascars qui les frappés, se tenait devant elles, attendant patiemment que les deux femmes répondent à ses questions.

Le patron : - Je n'imaginais pas cette soirée ainsi
La rousse : - On sait comment vous l'imaginez, croyez-nous
La brune : - C'est mieux ainsi

"C'est clair que je préfère être la que dans son lit" pensa la jeune agent brune.
Le "Boss" les regarda toutes deux attentivement

Le patron : - Vous travaillez pour qui ?

Les deux bourreaux s'approchèrent des deux prisonnières prêt agir sous les ordres

Le patron : - Lermentov, c'est sa ?

Le gars positionner à côté de jeune rousse fit légèrement penché sa chaise en arrière, dans le vide ; énorme trou avait lieu.

Le patron : - Il s'imagine qu'on a besoin de lui pour envoyer la cargaison ?

La brune : Nous croyions le Général Solohob chargé des exportations

Elle avait été terrifier que le mec lâche la chaise de son amie dans le vide derrières elles, si elle ne lui répondait pas.

La crapule sous les ordre du caïd remit la chaise de l'agent rousse sur ses quatre pied et il s'éloigna d'elle comme satisfait.

Le patron : - Solohob, un simple intermédiaire. Vos informations périmées vous trahissent

L'homme qui tirer les ficelle se rapprocha a son tour des deux femmes et s'arrêta entre les deux.

Le patron : La célèbre Black Widow (La Veuve Noir) et la célèbre Tacet, et ce n'est que deux jolie minois de plus

La rousse : - Vous nous trouvez vraiment jolies ?

Le patron : Dites à Lermentov,

L'autre dur s'approcha de la brune en souriant et lui ouvrit la bouche en grand alors que son chef se dirigea vers ce qui semblait être une caisse a outils remplit d'instruments métalliques abimés

"A mon tour" pensa celle-ci.

Le patron : - Qu'on se passera de lui pour les tanks. Dites-lui qu'il est fini. En faite,

Celui-ci prit un de ses objets disposé devant lui et se retourna vers les deux fille, son instrument de torture en mains

Le patron : Vous feriez mieux de l'écrire

"Comme si nous pouvions écrire les mains attachés dans le dos" failli presque dire la dénommée "Tacet".

Soudain un bruit venant d'un portable sonna dans la pièce dans lequel ils étaient brisant l'ambiance, un des lascars le prit en mains et décrocha, sans dire un mot il se retourna ensuite vers son patron en lui tendant le mobile toujours avec la même expression neutre sur son visage

Le gars : - C'est pour elles

L'autre lâcha la brune et cette dernière soupira