Partie 14.

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14.

Je me sentez petit à petit partir, comme si mon corps ne m'appartenez plus. Mes paupières se fessais de plus en lourdes ce qui fais qu'automatiquement bientôt elles seront fermer malgrés les cris de Saïd qui m'inciter à tout le contraire de sa. J'aurais voulus lui répondre mais malheureusement comme je l'est dit mes paupières se fessais lourdes.

.......

? _ Calmez-vous monsieur, puisque que je vous dit qu'elle n'as rien de grave, juste un excès de stress et de fatigue qui à provoquer ce malaise, il lui faux du repos et qu'elle se détende. Et pour sa tête quand elle est tomber, sa aurais put être bien plus grave.

? - Hum... elle pourras sortit quand ?

? - dés qu'elle se réveille, là elle se repose.

?- merci..

? - avec plaisir monsieur, c'est mon travaille. D'autre questions?

? c'est bon, sa ira

? - Je sors alors, n'hésitez pas à appeler une infirmière en cas de problèmes

J'essaya d'ouvrir un œil sans que personnes ne me voie, je l'ouvris et le referma aussitôt, un médecin sortez de la chambre et Saïd lui par-contre se trouver toujours dans la chambre.

Je l'entend se rapprocher, ouvrir la fenêtre et allumer une cigarette. J'attend qu'il tires quelques taffes et ensuite j'en profita, pour faire un raclement de gorge. Il se retourna aussitôt et jeta sa clope par la fenêtre.

Il venu vers moi. Je me sentez gênée, pourquoi ? je ne sais pas...

Lui - Cava ?

Moi - *remue la tête*.

Lui - tu peux m'répondre t'sais.

Moi - Non.

Lui - quoi « non » ?

Moi - ....

Lui - OH ! j'te parle kehba

Moi - tu peux au moins une fois arrêter de m'insulter à chaque phrase stp ?

Lui - je te parle comme je veux, qu'est ce tu va faire ? tu crois c'est une meuf comme toi qui va m'apprendre c'que j'dois faire ?

Moi - c'est pas la peine de à chaque me rappeler ce qu'on à fais, je m'en rappelle t'inquiète pas

Lui - j'men fou.

Je détourna le regard, ce mec est usant.

Lui - bon je répète ma question, cava ?

Moi - fais pas celui qui s'intéresse à ma santé.

Lui - j'vais l'étranger, Allah donne moi la force de ne rien faire

Moi - t'es blessant dés-fois...

Lui - c'est toi tu m'force à être comme sa, quand j'suis gentils tu fais la peu-fra, mais peu-fre de rien du tout

Moi - bref, oui je vais bien

Lui - tu vois c'étais pas compliqué. Tout ce cinéma pour rien là !

Je ne calcula pas, quand à lui il se redirigea vers la fenêtre et ralluma une cigarette. Il à du oublier que c'est un hôpital ici.

Tout au long de sa consomme de cigarette je l'avais regardez fumer. Il à tout pour plaire Ma Sha Allah, quand on le regarde on devine directe que c'est un mec de cité, casquette, jogging, cigarette au bec H24 et sale dégaine. Les seules fois où il se fessais classe c'est à dire autre que les jogging/casquette c'étais pour aller en chicha, boite ou voir sa famille. Beaucoup pense, comme d'ailleurs Kahina, Sarah etc.. que Saïd est un mec dur, mais pourquoi m'as t-il garder moi ? A les entendre parler de lui, ce n'est qu'un monstre sans cœur, qui pense qu'à fumer, tiser, baiser.

La Kheba à ses raisons que le Thug ignore- WidadOù les histoires vivent. Découvrez maintenant