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Je n'apprécie pas beaucoup ma famille, enfin ce qu'il en reste. Ma mère est morte il y a peu et mon père, buvait et se droguait un peu plus chaque jour. Il devenait violent et semblait ne ressentir plus aucune émotion. Il me regardait constamment avec un regard pervers. Je m'enfermais chaque jour dans ma chambre de peur qu'un jour mon père me vi... viole de nouveau (il le faisait dès que je sortais de ma chambre). Je lisais beaucoup d'histoire pendant mon temps libre, si bien que je m'étais mise il y a peu a écrire mes propres histoires. Une histoire sur des sorcières au dix-septième siècle qui je pense est certainement l'histoire la mieux écrite que j'ai pu faire.

Travaillant sur l'un de mes chapitres, j'entendis mon père m'appeler à en faire trembler les murs :

"- Anna, descend avant que je me mettes en colère.

-Ou... oui !"

J'avais peur... Devais-je me munir d'une arme ? ... Ou tout simplement écouter en essayant de ne pas penser à ce qui pourrait arriver ?... J'espère ne pas être violée... Je ne veux pas qu'il le fasse de nouveau. Je suis perdue... Maman, je n'en peut plus.

Mon père se gratta les couilles -très élégant au passage- et me regarda droit dans les yeux.

"- Depuis que ta mère est parti, j'ai dû tout sacrifier pour que tu grandisses en bonne santé et dans de bonnes conditions. Je sais que tu doit me détester depuis le jour ou je t'ai baisé. Mais je n'ai plus le choix, je te désires. Et avant que je commette des choses ignobles, j'ai pris une décision. Je t'ai vendue."

A ces mots je sentis ma rage et ma colère monter dans tout mon être. Je repensais encore à ce qu'il venait de dire. Il avait l'air saoul et ne tenait pas sur ses deux jambes. Il parlait comme si il essayait de ne pas s'effondrer bien que ses phrases soient bien construites. "Des choses ignobles"...

Flashback

Papa est rentrée, encore saoul je présume, je vérifies tout les recoins de la maison histoire de voir si je n'ai pas laissé un grain de poussière tout en serrant mon collier en espérant qu'il n'est pas accompagné...

"- Anna, j'espère que le dîner et cuit parce que j'ai passé une mauvaise journée ! Dit'il d'une voix d'explosé !

-Oui ! Viens te reposer j'ai préparé ton plat préféré : des lasagnes !

J'avais contre mon gré appris à devenir indépendante bien trop rapidement. J'avais subi tout ce qu'une fille normale aurait appris de sa mère, les premières règles, apprendre à cuisiner, les premiers amours, ne pas se faire marcher sur les pieds... Tout cela je l'avais appris toute seule. Les cours particuliers que mon père me faisait prendre m'ont assez appris pour savoir lire et écrire, le reste, je l'ai appris seule via internet ou des livres.

-Bien... je ..."

J'entendis un bruit écœurant : il venait de vomir devant le fauteuil. Je regarde l'heure : 23h 48. Merde ça veut dire que c'est l'heure du porno à la télé. Il allait encore me forcer à regarder ce genre de chose ? Je ravala ma salive et m'empara d'un seau d'eau savonneuse et un balais. Ça puait !

Quand j'arrivai devant lui, il me fit signe de venir m'asseoir à ses côtés et précisa "on verra ça plus tard" (en parlant du vomi). Je m'exécuta et vint m'asseoir tout en retenant mon souffle de par cette affreuse odeur d'alcool et de vomi.

Je voyait qu'il n'était pas comme d'habitude, il puait l'alcool et l'urine. Il me colla à son épaule droite et me força à coller ma tête contre son cou.

"-Comme le temps passe vite, je n'ai même pas le temps de voir à quel point ma fille avait grandit. C'est devenu une belle et jolie jeune femme ! Tu fais au moins un bonnet égale à celui de ta mère nan ? Laisse moi voir ça ! Laisse moi toucher !"

Ça me répugnait et je me leva brusquement pour aller à la cuisine me débarrassant subitement de son emprise bien trop affective.

Là, il attrapa mon bras d'une telle violence que j'en tomba au sol. Il me regardait avec un sourire pervers. J'avais peur. Que va-t-il me faire ? Maman, Maman vient à moi !

Il me plaqua au sol et monta à califourchon sur moi. Il arracha mon tablier et commença à me déshabiller. Je sentais une bosse se former sous son pantalon. Comment pouvait-il avoir une quelconque forme d'excitation à mon égard ? C'était dégueulasse. Il m'embrassa et demanda l'accès à ma langue ; demande à laquelle je riposta. Il se forçait à plaquer ses lèvres sur les miennes. Lorsque que sa langue était enfin dans ma bouche, je saisie l'occasion et lui mordit cette dernière. Il se recula et changea d'expression après la douleur que je lui ai causé.

"-Très bien ! On n'écoutes plus son père ? Je vais devoir te punir ! Dit-il en riant sournoisement."

Ce n'était pas la première fois que je résistais à son emprise et ses agressions sexuelles, or, cette fois-ci quelque chose clochait... ses yeux étaient jaunes, un jaune différent de celui que vous provoque les drogues, ses iris étaient totalement jaunes.

Perdu dans ma réflexion je n'avais pas remarqué que le pire était en train d'arriver.

Il se déshabilla. Je vis son engin s'approcher dangereusement de ma personne. Non... non... il...il ne compte pas faire ça ?... je...je suis sa fille... NON ! Il me déshabilla... Le pire allait arriver...

"-Suce moi !"

Je refusa. Il me frappa et vint me sucer les seins toujours en me frappant les fesses de plus en plus fort. C'est affreux, pas venant de lui ! Je ne veux pas perdre ma virginité avec un homme comme lui ! De plus est mon père ! Il s'était toujours arrêté à des préliminaires ce qui était déjà beaucoup trop pour moi... Mais ce soir là, il avait l'air enragé...

Sans me prévenir, il stoppa ses préliminaires et il enfourna son sexe dans mon vagin déchirant au passage mon intimité et ses extrémités. Il commença des "vas et viens" de plus en plus profondément. Je criais ! Non je hurlais de douleur ! La douleur était insupportable. Il continuait de me sucer les seins et léchait mon visage en passant sa main dans mes cheveux. C'était répugnant. Je sentais qu'il allait jouir et lui aussi... Il sortit de moi et m'ouvris la bouche de force. Son sexe était dans ma bouche. Je sentais la chaleur immense que son membre procurait à travers mes joues. J'avais envie que tout cela cesse mais surtout qu'il retire son sexe de ma bouche. Je le regardais en le suppliant des yeux mais rien n'y fesais.

"-C'est parti !"

Il attrapa ma chevelure et rapprocha ma tête de son bas ventre et finit par jouir dans ma bouche. Le liquide coula dans ma gorge mais je n'avais pas le droit de recracher.

Il continua à me pénétrer... devant, derrière, dans la bouche, il n'avait pas de limite. Ses gémissements et les miens étaient parfaitement en rythme avec les acteurs de la télé. Il l'a fait, il m'a violée.

Maman ! A L'AIDE !

Fin du Flashback.

Tout doit brûler (en réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant