Clones Remplaçants

"Nous ne sommes pas seul!"

LESLY

Quand j'ouvrit les yeux je reconnue la silhouette fine de Chelsea.

« tu as encore fais un cauchemar » me dit-elle inquiétée « il faut absolument que tu ailles voir Madame Allen ».

« Tu sais très bien que je n'aime pas les psycologues, et on en a déjà parlé je ne veux pas me rappeler » lui répondis-je énervée.

« Lesly tu as tort ça te ferait du bien d'en parler »dit-elle.

« J'ai dis non ! » m'énerves-je, déjà partis en claquant la porte de notre cabine.

Dans le couloir, je ne croisis personne à mon grand soulagement. Chelsea et moi nous sommes croisées durant la matiné pour récuperer quelques affaires avant le grand rassemblement de la semaine. Durant ce rassemblement, le Général Coleman nous annonce s'il y a des nouvelles et nous répete les règlements pour bien vivre en communauté dans un si petit espace, si remplis ! Le general était devenu comme un père pour moi après.... que mes parents se soient fais tuer par leur sosies.

Flashback

Comme tout les matins, je mange mes céréales devant des dessins animés lorsque ... Soudain ma mère m'ordonna d'éteindre la télé, tandis que mon père augmenter le volume de la radio.

« Comme vous le savez depuis quelques jours vos sosies obligatoires depuis 2060 ont un dérèglement suite à la production trop rapides. Aujourd'hui les scientifiques nous affirment qu'ils sont dangereux pour tout le monde.... » le présentateur s'arrêta avant de reprendre rapidement « ils veulent prendre notre place , nous remplacer. Cachez vous et ne sortez pas ILS ARRIVENTS » puis le signal fus coupé je n'eus pas le temps de réaliser que mes parents m'avaient cacher dans le placard et m'avait dit d'attendre que quelqu'un qui sourit vienne me chercher. Sur le moment je n'avais pas compris mais leur avais dis « promis ». Puis, ensuite j'entendis ma mère crier «on t'aime ! » puis j'entendis deux coups de fusils.....

Ensuite, Enric enfin le Général Coleman était venu me chercher puis nous étions descendu pour nous enfuir nous étions passer devant les corps de mes parents inanimées. Puis c'est à ce moment à seulement 6 ans que j'avais compris.....Que jamais plus je ne les reverrais...

Ceci faisait maintenant dix ans me disais-je.....

Chelsea me sortit de mes pensées pour me dire qu'il fallait se diriger vers le rassemblement. Comme à mon habitude, j'arrivas dans les derniers dans la salle. Le général attendit que tout le monde soit présent afin de commencer son long discours. Je ne l'écoutais pas jusqu'à qu'une de ses phrases me fit relever la tête.

« nous ne sommes pas seul » s'était-il écrié, puis il continua « Nous avons reçu un signal d'un survivant français. Il nous a affirmé qu'eux aussi sont peu nombreux et qu'ils essayent de survivre tout comme nous. »

Puis un homme s'écria « Comment pouvons nous être sûr que ce ne sont pas quelque uns d'entre eux ?»

« J'allais vous expliquer » continua le Général Coleman « je lui ai demandé son émotion actuelle et.... » il laissa tout le monde en apnée dans le suspense puis dit « il m'a dit qu'ils étaient tous effrayés et inquiets » à peine avait-il finit de prononcer ces mots que tout le monde explosa de joie tout le monde se prit dans les bras. Je ressentis enfin de l'espoir !

CHELSEA

Le général Coleman continua son discours puis nous annonça l'arrivée du dernier refuge d'Amérique à présent nous étions tous rassemblaient pour rejoindre ces fameux survivants français.

 Alors que tout le monde regagna sa cabine j'en profita pour aller parler à Monsieur Coleman.

« Oh Chelsea, ça va ? Comment va Lesly ? » me questionna-t-il.

« Moi ça va, mais c'est justement à propos de Lesly que je viens vous voir » répondis-je

« Ah je vois elle a recommencé ses cauchemars ? » il avait l'air très inquiet, mais je lui devait la vérité, après tout ce qu'il avait fait pour elle. Je fis un hochement de tête affirmatif. Puis, lui expliqua les cris, les sanglots et les pleurs de Lesly alors qu'elle dormait.

« Je vois et tu lui as parlé de Madame Allen » me demanda-il alors qu'il savait la réponse.

« Oui et elle s'est renfermée et est partit en claquant la porte. Puis m'a ignorait tout le reste de la matinée. » dis-je attristée.

« Je vais aller lui parler » me répondit-il déterminé.

« Merci » finis-je en le remerciant.

Suite à cette discussion avec Monsieur Coleman, j'alla me préparer pour l'arrivée du dernier refuge et pour aller manger. Dans la cabine ma chère et tendre colocataire ne m'adressa même pas un regard. Et tandis que je croyais qu'elle ne me parlerait pas d'ici demain elle m'attrapa le bras alors que j'allais sortir.

"Écoutes je suis désolé je n'aurais pas dû te parler comme je l'ai fais, je m'excuse" culpabilisa-t-elle.

"Ce n'est pas grave j'accepte tes excuses"la pardonnais-je  "mais tu sais que j'ai raison"

Et alors que j'attendis une réflexion elle me répondit "Oui je sais..."

Je ne savais plus quoi dire.