CHAPITRE 10

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Le réveil sonna je me réveillai en sursaut, puis je le cherchais désespérément, et la sonnerie sonner de plus en plus fort, du coup je commençai à me jeter dans mon lit à prendre mon oreiller sur ma tête à le serrer fort sur ma tête et poussa un cri Rahhhhhhhhh !
Je tournai de gauche à droite dans mon lit, puis tomba par terre et cria un second cri Aie puis un putain, et je vis le téléphone de l’autre côté du lit par terre alors je courra dans ma chambre puis je me ramassa une deuxième fois la gueule et c’est à ce moment-là que je compris que ma chambre était dans un putain de désordre et il fallait qu’un jour je la range, j’arriva en rampant devant le téléphone puis éteint le réveil , compte rendu j’ai trop mal à la tête et à la jambe, c’est à ce moment-là que tu as clairement envies de mourir tellement que ça fait mal.   
Après avoir passé une matinée agiter, après avoir passé le moment de la chambre des deux ramassages de gueule, du passage on je me rends compte que j’ai mes putain de règles et que je commence à avoir des putain de douleur qui me donne envies de gerber, je sais ma journée commence hyper bien.

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Au soir

Génial en plus de sa il y avait une interro de maths et je n'avais pas réviser heureusement que j'avais l'intello à coter de moi et qu'il ma généreusement filer les réponses , bon d'accord j'avoue j'ai fait les beaux yeux , jouer la fille en détresse qui allait être rejeté de sa famille , et surtout jouer sur mon decoltlé , non mais ce genre de gars savent que il pourrons jamais voir une poitrine a part celle de leur mère alors quand on leur montre un bout il sont a vos pied , je suis pas une garce juste manipulatrice .

J’enfile mon maillot de bain rouge avec un petit nœud entre ma poitrine et un sur ma culotte du côté gauche de ma hanche, évidemment que c’est un maillot de bain à deux pièce sinon vous voulez que j’expose mes formes comment, attend mon 95D doit être mis en valeur, avec des abdos au bide pas trop mais assez pour reflétait mes années de dur labeur, à essayait d’avoir des abdos, bref je m’amuser dans la piscine tranquillement mes cheveux brun mouillés arriver à mes hanches ,je nageais un peu, prélasser dans l’eau tout en m’imaginant avec le voisin dans la piscine faire des choses pas très catholique , moi sur le coin de la piscine lui devant moi , moi gémissant lui criant que son regard noisette me transperce mon cœur et me fasse chavirer et me fasse soumise à tous ces désirs que l’eau fasse ressortir toute les parcelles de son corps, que ces cheveux brun tombe devant ses yeux et qui les rejettent en passant sa main pour les remettre derrière sa tête, tout en se pinçant la lèvre inférieur.
Je fus sortit de ma rêverie par la voie agaçante de mon frère

-maman j’ai envoyé la balle chez le voisin dit mon frère d’un ton agaçait

   C’est ma chance criais dans ma tête, c’est ma chance de lui montrer ma poitrine, de lui montrer mes formes, de le languir de la chose qui pourra lui appartenir si jamais il veut de moi, une chance qui me voit encore et qui ne peux s’empêcher de rêver de moi en bikini, Alléluia !!

- laisse frérot lui criais

Je partis avant qu’il me rattrape, ou que ma mère surtout me voit partir en bikini chez le voisin elle aurait au moins voulu que je mette une serviette.

J’enfilai ma paire de Tongue, passa ma main dans les cheveux, et partit devant chez le voisin, je toquais à la porte, no réponses, je sonnai puis la porte s’ouvris et là comment vous dire c’est insupportable pour mon cœur de voir un gars aussi canon à ma portée, il va arracher mon cœur de sa poitrine ou quoi à croire qui s’est quand je viens et fais exprès de me rendre complétement folle et que je perds mon sang froid.
Il ouvrit la porte se tenant en face de moi il avait les cheveux dans les yeux il les releva avec sa main l’eau coulait tout au long de son corps, il était torse nu, il a de ses putain de muscle bien dessinés quand je le sculptât du regard je pu m’empêcher de me mordre la lèvre inférieur j’avais des bouffer de chaleur , puis je le regarda dans les yeux et là c’est yeux noisette me transperça .

- Salut excuse de te déranger c’est pour récupérer la balle que mon frère à envoyer chez toi

- a oui attend je vais la chercher

Il partit et je ne pouvais que admirer son dos musclé et aussi ,le relooké de haut en bas en m’imaginant la scène de la piscine encore une fois, je me mis à me mordre la lèvre presse qu’a en saigner , son dos et si large , si musclé , il doit y arrivé niveau nana , en fin je veux dire les meuf doit lui courir après, moi je ne cours pas après mais je suis tombé  raide dingue de se corps d’athlètes , de ses fesse à je voudrais les voir se contracté , sa bouche sur la mienne , je voudrais mettre ma main dans ses cheveux brun , dont il passe s’en arrêt sa main dedans, je voudrais rester des heures plongés dans ces yeux noisette, Quesque je donnerais pour être une partie de son corps

-Tien la balle

- merci beaucoup

- sympas le maillot ( avec un clin d'œil )

j’avais complétement oublié que j’étais en maillot de bain, Serena bombe le torse, tiens-toi droite, met en avant tes atouts, ta hérité d’une poitrine ce n’est pas pour rien.

- merci

-euh au fait hier j’ai entendu un cri chez toi et puis j’ai vu quelqu’un avec des cheveux long qui me regardait à la fenêtre...

Je le coupai dans sa phrase en lâchant le premier truc qui me venait, il fallait que je sorte un truc et ma bouche agis en instinct  de survie.

- a merde , je m’excuse , je dirais à mon frère d’arrêter de mater les voisin

- euh oui mais pourquoi ton frère a les cheveux long il me regardait comme si il s’avait que c’était moi , il croisa ses bras et me fixer , ça me déséquilibre

- c’est une perruque , il aime se déguiser, pour pas qu’on le reconnais , ne lui dit rien sa risque de le vexer, que tu l’ai vu

- ok il aime se déguiser il me regardait comme si il  ne croyais pas à ce que j’avançais , il souriait en coin 

- étrange je sais je ne comprends pas non plus pourquoi, à son âge ont fait un tas de trucs, bon ben salut je te laisse

- ok salut

Mais sérieux il doit me prendre pour une folle, il aime se déguiser, Quesque je suis trop conne ma parole, genre il va gober ça !     
Sur le petit chemin qui relier nos maison, je me retournai pour voir si il me regardait et il ….

le journal d'une perverse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant