Le texte à morale

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Bonjour je fais une tentative. J'ai écris un texte que vous allez ou n'allez pas lire. C'est un texte à morale celle-ci se trouvent être la dernière phrase. J'espère que cela vous plaira et donner moi votre avis si vous en voulait d'autre ou non. Ciao. Bonne lecture.

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Un jour, j'ai vu son visage, son vrai visage. Il n'était pas celui qu'il prétendait être, avec certain il se montrait aimable, polie, attentionné et avec d'autres, il était agressif, il disait que c'était sa nature, qu'il était froid, sans aucune gentillesse. Qu'il était habitée de faux semblant. Qu'en vérité il ne comprenais rien aux sentiments, que pour lui se n'était rien que de piètre chose qui empêché l'évolution. Et ce jour là, je l'es vu. Il jouer au piano, seul, à cœur nu. L'entendre jouer donner les larmes aux yeux. Il était lui même sans le savoir. J'ai alors compris qui il était. Un enfant fort, qui avait appris à grandir vite pour surmonté toutes épreuves. Il était mûr, il pensait comme un adulte, mais voyais les sentiments de tel manière que n'importe quel enfant les comprenaient de la même manière. Il avait des connaissances, il savait des choses que personne ne comprenait. Le plus beau dans ce qu'il jouer était la manière si innocente de faire ressortir ses sentiments. Elle était douce, triste et mélancolique, pourtant à certain moment, on pouvait ressentir la joie et l'apaisement. On pouvait sentir la force de son esprit, la beauté si fragile qui était en lui. La naïveté éphémère de ses notes. Il ne savait pas se qu'il faisait ressentire aux autres en jouant. C'est pour ça que dès le moment ou je l'es vu je l'es filmé. Garder une trace de se moment était important à mes yeux, sûrement aux ciens, sans doute pas aujourd'hui mais plus tard lorsqu'il se sera trouvée. Il paraissait plus calme, moins sur le qui vif comme si il abaissait quelque temps sa carapace de fer forgé, comme si il se permettait d'ouvrir son cœur. La musique étant sa clef de sol lui permettant d'accéder au la. Il voulait être lui même. Il le souhaité pourtant, il savait pertinemment qu'être lui même signifier s'ouvrir se montrer sans sa protection. On pouvait le sentir lorsque c'est notes paraissaient plus réservé moins ouverte. On ressentait une émotion, pourtant le son sortait de tel façon qu'on ne pouvait en trouver le sentiment. Comme si lui même ne savait pas et le transmettait. On entendait chaque sentiment ressenti sur le moment, chaque notes était joué comme il la sentait vibré. Il ne réfléchissait pas. Il joué c'est tous. Et rien qu'en fesant cela il se permettait de ressentir sans craindre, de vivre sans peur de revirement, de s'exprimer sans contradiction, d'être lui même sans peur d'être rejetait mais aussi de souffrir. Lorsque la musique arrêta de faire entendre son ondulation, j'arrêta de filmer. Il se leva lentement, prennant son sac de cour, son easpack noir. On ne pouvait apercevoir aucune trace de bonheur sur ces traits, la tristesse et surtout cette larme qu'y coulait, seul, sans un mot. Il quitta la salle ou reposer le piano sur lequel il joué. Ainsi il parti dans la cour sans me voir rejoignant d'autre élève de l'université, en revêtant pour une énième fois son bouclier protecteur. En le croisant encore plusieurs fois j'ai pu remarqué que jamais il ne l'enlevait. Désormais j'ai arrêté de juger sur une apparence, simplement car celui qui et en face de nous n'est pas forcément celui qui est au fond de lui.

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