Prologue

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Je me présente, je m'apelle Furia et j'ai 18 ans. Je marche encore. Je crois que jamais je ne pourrait m'arrêter. Tuer est une partie de ma vie. J'ai commencer alors que je n'avais que neuf ans. Certe ce n'était que des oiseux ou des écureuils au début. Mais plus le temps avanceais plus mon sadisme grandissant et plus mes proies devenait grosses. Je me rapelerais pour toujours mon premier meurtre. Je n'avais que 13 ans. Je me promenais dans la rue tard le soir. Je prenais innoceament l'air quand je sentis qu'on me suivais. Puis avant que j'eu le temps de me retourner on m'enpoigna par derriere. D'après sa voie je su que c'etait un jeune garçon agé d'apeine 15 ans. Je m'était vite dégagé en sortant rapidement le couteau que j'avais toujours sur moi et d'un geste tremblant et sous le chocs je lui tranchât la gorge. Le sang coulait et pissait de partout. Je me rapelle la fierté que j'avais ressenti. 

Je ferais mieux de redécendre sur terre à présent. Je crois voir quelqu'un non loin d'ici. Oui... la même routine. Comme à chaque fois que mon envie remonte je sort tard la nuit. Il est  présentement  2h19 du matin. Ma proie se dirige maintenant dans une ruelle... parfait. Cette ruelle est si sombre. On dirait qu'il fait exprès pour me rendre la tâche facile. Je le suis toujours de loin quand tout à coup il s'arrête. Mais que fait-il? Alors je sort subtilement mon couteau récement acheté. Je me sens prête. Alors vite je me jette sur lui . Ma main gauche se refermant sur sa bouche et  de ma main droite je pose tendrement la lame de mon poignard arabe sur sa gorge. Mais avant d'avoir la chance de lui faire la peau, d'un geste brusque il me fit pirouetter vert l'avant où je tombit sur les fesses. Je me sens ridicule. Qui peut si bien prévoire un coup de ce genre? Je me retourne alors. Mais je sursauta devant lui. Des cheveux noirs et des yeux d'un vert magnifique. Il porte un polard noird et des jeans foncés. Sort de la lune Furia!! Il me regarde encore.

-Surprise?

-Euh un peu.Comment tu...

-Comment  tu t'es retrouver le derrière par terre alors que tu croyais me dominer?

- Euh... Ouin

Sa main se tend alors vert moi.

- Je m'apel Alex.

La terre me semble être en train tourné. Je voudrais voudrais bien dire quelque chose, mais à chaque fois que j'essaie aucun sons ne sort de ma bouche. Je voudrais me débattre, le tuer,  mais quelque chose m'en empêche... mon coeur.

La dernière nuit (ses tout débuts)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant