Chapitre 1

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ISU

Je regardais par la fenêtre de l'infirmerie. Je regardais les autres jouées dehors. La chance !!! Je n'ai quasiment pas le droit de sortir. Je suis malade....

J'explique ! Mon pouvoir est trop important pour mon corps...je...je suis comme les vieux, toujours malade ! Je suis au porte de la mort en permanence, sauf que moi...je n'ai jamais pus vivre vraiment !

Je les voyais jouer, se disputée, regardée...voyagée....

Voila mon rêve secret ! Parcourir le monde ! Je sais énormément de chose grâce au livres – on à le temps de lire en étant malade h24- mais je n'ai rien vus de tout ça. Maman m'en parle souvent sauf que moi, le soleil n'as jamais caressé ma peau, l'herbe n'as jamais effleurée mes pieds et jamais sentie la pluie s'abattre sur mon visage...

Je me lève et regarde dans le miroir avec dégout. Du blanc, du blanc et du blanc !!! Je déteste le blanc ! Je m'effondre en larmes. Je ne suis que sa, du blancs !!!

Ma tête bascule contre le mur et je sens les larmes coulée. Je murmure... « On dit que la vie est pourrit mais l'homme est mille fois pire !!! ». Je ne sais si je me parle à moi, à mon corps ou à dieu.

Je ne suis qu'une poupée de chiffon dont on a oubliée les couleurs....

NARATEUR

Dans l'infirmerie, une petite boule blanche pleurait. Un point de lumière aveuglante dans la noirceur qu'est le monde...

Oh, bien sur je sais se qu'il ressent, se petit garçons tout de blanc. Isu Dreyar. Je dois avouer, la vie a été particulièrement ingrate envers lui.

C'est une petite chose chétive, fragile, on pourrait le caser du bout des dois. Ses cheveux blancs, ses yeux blancs, seul sa pupille d'un noir profond lui apporte de la couleur sur sa peau couleur neige. Il porte un grand t-shirt blanc qui lui arrive aux genoux avec un éclair dessiné dessus.

Une poupée de porcelaine. Il a les traits fin, semblable a ceux de sa mère. Il est beau. C'est une certitude mais ses yeux sont toujours triste, ses lèvres toujours fermé et son expression...dur et froide.

Il pleurait collée au mur, replié sur lui-même, ses cheveux cachant ses yeux. Il pleurait car il le savait. Il savait qu'il ne serait jamais comme les autres. Son cœur se serait, ses rêves partaient en fumées et il aurait tout donnée pour avoir une seconde chance...

MIRA

Je servais les clients tout en regardants la porte. Jubia m'avais appelé pour me dire qu'elle avait vue le navire. « Tu vas enfin rentrée ! » pensai-je un sourire aux lèvres. Si bien que je me perdis dans mes pensées...

Je relevai la tête subitement. Une main devant les yeux. Je regardais surprise son propriétaire. Cobra. Il me regarda l'œil inquiet.

« Tout vas bien Mira ? Me questionna t'il inquiet. Il tentait de lire en moi et je savais qu'il pourrait le faire sans aucune difficulté. C'est Cobra après tout !

-Très bien pourquoi ? Répondis-je avec un sourire. Il soupira l'air consterné.

-T'es sérieuse là ? Dit-il amusée. Je le regardais sans rien comprendre. Ca vas faire vingt minutes que tu frotte se verre et bien cinq que je tente –tant bien que mal- de te parlée !

Je regardais le verre. Bon, ok. J'étais peu êtres un peu perdus...

-Un peu ?! C'est un doux euphémisme ! Dis-t-il en riant devants ma tête. J'avais parlée à voie haute ? Et merde ! Il explosât franchement de rire. J'avais encor parlée sans m'en rendre compte ?

- Mira, Mira, Mira...déclara t'il en tentant de se calmée. Tu n'as pas parlée à voie haute ! Tu te souviens ? Me dit 'il en pointant ses oreille. J'entends tout !

-Erik !!!

On se retournât vers l'endroit d'où prévenais la voie. Kinana se tenais dans l'encadrement de porte, une pile de cartons dans les bras. Elle affichait une moue fâchée devant les actes de son marie. Celui-ci la regardais en déglutissant avec difficulté tout en regardants dans la direction opposée.

-On avait dis quoi ?! Tu ne devais plus lire les pensées des gens à leur insu !!! Surtout si se sont des amis !!! Lui cria-t-elle de la voie forte. Elle me ferait presque peur !!! E-Erik...t-tu...tu vas...

Erik la regardas l'air inquiet. Il se leva et de précipita vers elle au moment où ses jambes lâcherez. Il la rattrapa de justesse. Il la prit dans ses bras. Elle était devenue soudainement pale et sa voie avait faiblie. Il la prit dans ses bras. Son visage était paniqué, ses yeux semblaient fous ! Il resserrât son emprise sur elle.

-Kinana ? Tu vas bien ?! Mon cœur ? Sa voie était tendue et il semblait sur le point de s'effondrer.

-E-Erik...je...mes jambes...plu-plus rien...Elle semblait faible, ses yeux étaient vide, sa voie tremblante. Il la prit comme une princesse. Je savais qu'il avait entendus ses pensées...

-Tout vas bien...je t'emmène chez la vielle...t-tu...tu dois juste tenir le coup.... Son ton, triste ; inquiet, brisée. Cobra n'avais jamais rien eu et le jour ou il avait trouvée son équilibre tout c'était effondré. Aujourd'hui, il a une vie et...pour lui Kinana est sa raison de vivre avec leur fille.

Il se mit à courir vers la sortit. Mon cœur se sera, j'avais peur pour elle, horriblement. C'était une très bonne amie et je sais, que si il lui arrivait quel que chose...Non ! Je ne dois pas y penser !!! Tout va bien se passer ! Sa vas bien se passer...

Je me sentais mal, je décidais d'aller aux toilettes mais en passant devant la porte de l'infirmerie...Quelqu'un pleurait ? Oui, et je savais qui c'était.

J'ouvris doucement la porte et se que je vis me brisas le cœur. Isu étais en train de pleurées, la tète contre le mur, recroqueviller sur lui-même... Je m'approchai doucement et lui caressa le dos.

-Tout va bien mon chéri ? Demandé-je la voie douce. Il arrêta de pleurée et me regardas. Il plongeât ses grands yeux blancs dans les miens. Il  me regarda.

-Je voudrais être en couleurs...soupira t-il.

-En couleurs ? Demandé-je surprise.

-Oui ! Je voudrais avoir de la couleur, j'en ai marre d'être tout blanc ! S'exclama-t-il. Je le regardai en souriant. Il détestait quand on s'apitoyai sur lui. Isu était spécial, unique. Puis un cri se dis entendre. On se précipite vers la salle mais une fois dans les escaliers je me sens comme paralysé. Un large sourire se dessine sur mon visage. Je souris car la ma vie est parfaite. Je regarde mon fils.
Il a un sourire grand comme le monde, ses yeux brillent comme des étoiles. Devant nous, ses cheveux blond avait poussé, il était toujours fidèle a lui même. Grand, fort, confiant. Issu courut pour se jeté dans ses bras, riant u éclat.
Puis il me regarde intensément pour prendre mon cœur à nouveau c'est la voix gorge d'émotions que je dis c'est mots.
- Bienvenue à la maison Laxus...

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 21, 2017 ⏰

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