Chapitre I

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Je m'allongeais épuisé sur mon lit. J'avais encore passé ma nuit sur des séries américaines stupides et m'étais couché à 5h. Après une journée à somnoler dans chaque cours, ma figure ressemblait comme deux gouttes d'eau à celle d'un zombie. Je m'endormais en quelques minutes seulement.

— À TABLE !

Je me réveillai en panique. Je réalisais enfin ce que venait de me crier ma mère.

— Ouais j'arrive, lui répondis -je d'une voix complètement endormie.

Je mangeais en me tenant la tête avec la main qui ne me servait pas.

— Marius ! Tiens toi bien s'il te plaît, me dit mon père énervé.

— Désolé.

Je me redressai.

— J'ai eu une mauvaise note en maths... avoua ma sœur à mes parent d'une voix apeurée.

— Ce n'est pas grave chérie, tu te rattraperas​ la prochaine fois, la rassura ma mère.

— Combien ? lui demanda mon père d'un ton neutre.

— Euh... 7,5.

— Mmh...

Je débarrassais en vitesse et remontais dans ma chambre avant que mon père ne m'interroge sur mes dernières notes qui n'étaient pas très hautes.

Mon Wiko Goa vibrait sur ma cuisse me provoquant des frissons dans tout le corps me sortit de ma torpeur. C'était Régine qui m'appelait.

— Allô ?

— À l'huile.

J'hésitais à raccrochait après ce genre de blague rabaissante pour le genre humain.

— ...

— T'as raccroché ?

— Pas encore, j'y songeais.

— Ah...

— Et donc ? Viens en au fait, quelle est la raison de ton appel ?

—  Comment tu t'en remets après que Bubulle se soit envolé vers les cieux ?

— J'ai pas envie d'en parler.

— Tu sais que tu peux tout me dire.

— Je le sais. C'est pas pour autant que j'ai envie de le faire.

— Ne t'inquiète pas, je suis sûre qu'il est au paradis des chats dorénavant.

— Il est partit alors que nous étions en mauvais terme. Je m'en veux atrocement.

— Ne t'en fais pas pour ça, je suis sûre que de là où il est, il a réussi à te pardonner depuis ces deux dernières douloureuses années.

— Je l'espère. J'ai besoin de réfléchir seul.

Je raccrochai et lançai mon portable sur mon lit avec une violence que je ne me reconnaissais pas. Il rebondit sans aucune égratignure.

***

Je me réveillais en sueur, en plein milieu de la nuit. Des image de Bubulle avec un air triste gravé dans mon esprit. J'essayais en vain de me rendormir. Rien à faire.

Je pris l'ordinateur que j'avais hérité de mon grand-père. J'allais encore passer ma nuit sur jeux.fr.

Mon réveil sonna à 7h. Je m'habillai en vitesse. J'observais les cernes qui me tombaient jusqu'aux genoux dans le miroir. Je passais ma tête sous l'eau froide pour me réveiller. Une veille astuce de grand-mère qui n'a bien-sûr aucune utilité car ça ne marche absolument pas.

Je descendai dans la salle à manger et pris un pain au chocolat de chez Lidl (Le vrai prix des bonnes choses - Réélu meilleur chaîne de magasins de l'année), et me fis juste un bain de bouche car mon hygiène buccodentaire n'est pas ma priorité puisque je n'ai pas encore trouvé l'âme sœur.

Je pris le bus pour me rendre au lycée. Je vis Régine trépignante de joie. Elle accourut vers moi tel un poney en rut. Elle me sortit un traditionnel :

— Salut, ça va ? Moi oui !

— Super.

Tandis que je détournai la tête de son ignoble visage déformé par je la joie de vivre j'aperçus, adossé à la grille du lycée, un garçon que je n'avais vu auparavant.

Il portait une veste en cuir de motard, des lunettes de soleil très classes. Il tenait entre ses doigts une cigarette. Ses cheveux bruns coiffé par le vent lui un air de mauvais garçon. Son teint mate absorbait la lumière qui l'entourait mettait en valeur son doux visage d'ange. Sa mâchoire tout comme sa carrure était carrée prononçant sa virilité. Ses sourcils froncés accentuaient l'aura mystérieuse qu'il dégageait.

— Marius ?

— Hein ? Quoi ?

— Tu n'avais pas l'air concentré par...

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