Chapitre 6

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Et ne vit pas arrivée la gifle monumentale que lui donna blondinette

-Comment ose tu parler comme ça à mon copain, il n'est pas « idiot »,il vient juste de perdre sont meilleur ami alors je te préviens ne lui parle plus jamais comme tu l'as fais ! »

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Point de vue de Ava

Cette sale garce, elle ose hausser le ton avec mon amour, elle mérite bien sa gifle je suis fière de moi. J'aime que les gens me respecte, je vois déjà une lueur de crainte dans les yeux de la pétasse que j'ai giflée. Sa copine qui était assise à coté de moi se lève et prend son amie dans ses bras en me jetant un regard noire.

« -Tune peux pas frapper les gens comme ça ! Tu as un problème,t'est malade ! s'exclame l'amie de la pétasse

-De quoi je me mêle, m'adresse même pas la parole c'est entre ta pote et moi que ça ce passe va ramener ta fraise ailleurs connasse !M'emportais-je, mais pour qui elles se prennent ces deux là ! »

Les deux pétasses et leurs amis quittèrent la salle.

Tout le monde me regardais, je pris un aire indigné et me rassis comme si de rien était


Point de vue de Nathan

Je quittai la salle derrière Camille et Emma, suivit de Lola. Nous remontons les escaliers en essayant d'oublier les événements tragique de la veille. En entrant dans la chambre de Emma que nous partageons à quatre nous remarquons un changement plusieurs cartons de déménagement sont empilés au milieu de la pièce et la porte du dressing est grande ouverte laissant apparaître la multitude de vêtement qui en déborde.

Emma s'avance doucement vers ses cartons, elle soulève le couvercle du premier. A l'intérieur elle découvre ses affaires personnel,photos, bijoux, peluche, et autres babioles.

« -Tout le monde à du recevoir ses affaires allez chercher les votre,annonça Emma les larmes au yeux.

Elle tenait dans ses mains une photo de sa famille. N'ayant pas les mots pour lui répondre ou la consolé je quittai la pièce et me mis à la recherche de mes affaires.

Je vis Lola et Camille entrer chacune leur tour dans leur chambres, en poussant la porte de la mienne je découvrit le dressing plein à craquer de smoking, mais ce qui fit couler une larme sur ma joue ce fut l'unique carton abandonné au centre de la pièce. C'était un petit carton à peine plus grand qu'une boîte de chaussures, je savais que ma famille adoptive ne me portait pas dans son cœur mais j'aurais pensé que dans cet situation il aurait au moins fais un minuscule petit effort. Je retirai le couvercle et découvrit mon caillou porte bonheur, c'est idiot mais je l'ai toujours gardé même si maintenant je ne croit plus en les attributs magique que je lui avais donné étant enfant, il y a aussi le chiffon qui ma servi de doudou jusqu'à mes cinq ans et une photo de mes parent biologique.Et voilà je pleurais encore, je ne les ai pas connues mais ses deux personnes sur la photos me manque.


Je remet le couvercle sur la boîte, et quitte la chambre en prenant au passage un smoking, un jean et un sweat, je pousse à nouveau la porte de la chambre de Em et je la vois étendu par terre sanglotante ses affaires étendu autour d'elle, je m'approche doucement et pose ma main sur son épaule voyant qu'elle n'a même pas remarquée mon geste je la soulève doucement et la prend dans mes bras, ma chemise est très rapidement trempé mais je ne relâche pas mon étreinte,je caresse doucement ses cheveux.


Elleest magnifique et je suis attristé de la voir pleurée comme ça,j'ai promis à son frère de veiller sur elle, mais je la protège plus pour moi que pour lui, tout simplement parce que,je l'aime , j'aime son sourire, tout en elle est irrésistible, la serré contre moi me provoque des décharges électriques.

Je voudrais resté dans cet position pour le reste de ma vie, ne plus jamais lâché sont corps, la gardé contre moi




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