Chapitre 5

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Un cris venant du couloir nous interrompt, nous sortons en trombe dans le couloirs et nous dirigeons la d'où venait le cris. Nous nous arrêtons en haut des escaliers, Camille se met à hurlé et recule précipitamment, en bas gît un corps sans vie, et sur le mur des escaliers est inscrit « que le jeux commence gare a vous joueurs ».

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Un jeune homme brun, s'approche du corps, il semble le reconnaître malgré tout le sang et les autres attribut humain en mille morceau que je ne décrirait pas. Il baisse la tête et sanglote une main timide viens se posé sur son épaule celle d'une blondinette super jolie. Nous tournons les talons pour fuir cet horrible scène, une fois de retour dans la chambre nous nous asseyons en cercle mais toujours dans le silence le plus complet.

C'est Lola qui brise le silence :

« -Nous devrions dormir, les prochains jours vont être dure

-Je suis d'accord, puisque nous n'avons pas eu le temps de trouvé de matelas, je propose que nous utilisions la couette qui est sur le lit pour que nous puissions dormir par terre, elle me paraît suffisamment épaisse, et nous trouverons mieux demain, proposais-je

-Si,j'ai bien compris les règles le tueur n'as que une victime par semaine donc nous somme « tranquille » jusqu'à la semaine prochaine...dis timidement Camille.

-Oui mais méfions nous quand même, répondis-je. »

Nous nous installâmes, Nathan et moi par terre et Camille et Lola sur le lit. Dans d'autre circonstance j'aurais été heureuse de dormir à moins de un mètre de Nathan mais la je ne pensais qu'a survivre...


« -Bonjours tout le monde, annonça Lola en se réveillant

-Bonjours...répondons nous tous en cœur d'une voix pas très réveiller

-Descendons à la grande salle, j'ai une faim de loup, déclara Lola

-Ouais,je viens aussi, dis-je, soudainement plus réveiller à l'annonce de nourriture

-Tout le monde descend ou personne nous devons toujours resté ensemble,nous réprimanda Nathan »

Nous décidons donc de descendre tous dans la grande salle notre petit groupe arrive dans la pièce déjà pleine, les seuls absent sont le garçons d'hier soir et la blondinette, et évidement le mort...

Tout comme hier soir de petits groupes sont formés et discutent en jetant des regards méfiant à droite et à gauche. Nous regardons autour de nous et apercevons les cuisinier masqué qui installent de grande table au fond.


L'immense porte s'ouvre d'un coup et laisse entrer Tommas, sont éternel sourire au lèvres.

« -Bonjours chers joueurs, je vois que tout le monde n'a pas passé la première nuit, il en manque à l'appelle, ou sont Ava, Pierre et Daniel.

-Pierre est mort ! annonça très fort le présumé Daniel en entrant accompagné de la blondinette

-Maintenant que nous sommes tous la je pense qu'il est temps de se mettre à table je pense que tout le monde à très faim, déclara Tommas sans prêté plus d'attention aux nouveaux arrivés. »

Tous le monde se dirigent vers les tables ou sont disposé une quantité incroyable de nourriture. Je m'installe entre Camille et la blondinette, nous mangeons en silence, soudain quelqu'un tapes sur son vers, pour demander l'attention de tout le monde, c'est Daniel:


«-J'aimerais que tout le monde fasse un minute de silence pour mon amiPierre qui a été assassiné cet nuit.

-C'est le jeux, on s'en moque de ton pote, il est mort on pouvais rien pour lui, dis Evan en se levant de sa chaise, je connais Evan depuis l'enfance mais nous ne sommes pas ami, juste des connaissance, il habitais la même rue que moi.

-Tu te fous de moi ! Justement on peut toujours faire quelque chose le tueur est seul et nous sommes maintenant dix-neuf contre lui, si nous trouvons son identité nous serons sauvé !

-Mais tu n'a toujours pas compris les assassinats ne s'arrêteront que lorsque tout le monde ici seras mort, trouvé le tueur ne serviras à rien, un autre prendra aussitôt ça place !

-Voyons messieurs gardons notre calme, intervient le Bourreau

Les deux autres s'interrompirent pour lui lancer un regard plein de haine.

-Arrêter! vous taper dessus ne nous aideras pas ! Vous êtes idiot c'est justement en se retournant les uns contre les autres que nous aidons le plus le tueur ! Le silence ce fît dans la salle, c'était notre petit Camille et toute ça timidité qui avait réussi à les calmés, elle rougis violemment. Et ne vit pas arrivé la gifle monumentale que lui donna blondinette.

-Comment ose tu parler comme ça à mon copain, il n'est pas « idiot »,il vient juste de perdre sont meilleur ami alors je te prévient ne lui parle plus jamais comme tu l'as fais ! »



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