The Vampires Diaries Et L' Aventure continue

CHAPITRE 4 la pierre de resurection

- Klaus et sa famille sont à Mystic Falls,  impossible de savoir pourquoi, ne venez pas ce week-end, je vous embrasse,  Caroline
Elena relut le message que son amie lui avait laissé, pour la troisième fois. Elle était inquiète ! La présence de la famille Originelle n' augurait rien de bon, il se tramait quelque chose.
Elle se demandait si elle devait en parler à Damon. Il n'était plus vraiment à même de s' opposer à Klaus à présent, et devoir faire face à son impuissance risquait de réveiller son mal être par rapport à sa toute nouvelle mortalité.
Néanmoins, elle se résolut à lui en faire part, redoutant sa réaction s'il l' apprenait par un autre.
Au même moment, Damon apprenait la nouvelle par Jérémie et se posait la même question, devait-il en informer Elena.
C'est en même temps qu' ils s' annoncerent la mauvaise surprise.
Et c' est ensemble,qu'ils décidèrent de se rendre à Mystic Falls au plus vite.

Alaric Saltzman entra dans son bureau et s' affala dans son fauteuil avec un profond soupir.
Il n'avait pas eu un instant de repos depuis que Matt lui avait apprit la présence des originels. Il avait installé   des alarmes et des caméras dans toute l'ecole, avait ressorti ses armes anti vampire, tout en se disant qu'il ferait mieux d' attraper le premier avion et de ficher le camp avec ses filles.
Il en était là lorsque la sonnette d' entrée resonna. Il soupira, jeta un regard sur la caméra et fronça les sourcils, une jolie blonde inconnue se tenait devant l'entrée.
Alaric se hâta de lui ouvrir.
- Bonjour, je peux vous aider ? Lui demanda t- il.
Elle lui sourit, plongeant ses yeux bleus clairs dans ceux de Rick
- Freya Michaelson, vous êtes Alaric saltzman ?
Alaric recula, malgré lui,
- Un rapport avec klaus Mickaelson demanda t-il, inquiet.
- C'est mon frère, admit-elle.
Alaric se raidit.
- Écoutez, je ne sais pas ce que vous voulez, mais c' est une école, ici, vous ne trouverez rien à part des manuels de cours.
Elle sourit de plus belle.
- Ça tombe bien, c' est ce que je cherche.
Il fronça les sourcils
- J'ai peur de ne pas comprendre. Admit-il
- En fait, je cherche un objet que vous détenez. Ou plutôt que l'armurerie possédait.
Alaric hocha la tête,
- Vous allez être déçue. Je n ai rien gardé qui viennent de l Armurerie, trop dangereux.
Il se tenait dans l'encadrement, les bras croisés sur la poitrine, affichant une assurance qu'il était loin de posséder.
Elle eut un sourire en coin,
- Je doute que ce soit vrai, tant de rareté, d'objets précieux, légendaires, vous n' avez sûrement pas pu vous en défaire ! Affirma t-elle.
- Vous ne me connaissez pas, je prends la sécurité de mes élèves très au sérieux.
Elle eut une moue dubitative.
- Vos élèves ou vos filles ?
Ils se crispa.
- Vous me menacez ?
- Non, je vous mets en garde, cet objet est extrêmement important pour moi, et pour klaus, et vous le savez sûrement aussi bien que moi, il a l'habitude d'obtenir tout ce qu'il veut !
Elle insista sur le tout !
Alaric frémit mais s' efforca de ne pas le montrer.
- Je n' peux pas vous donner c'que j'n'ai pas.
Freya se ferma.
- Comme vous voulez, la prochaine fois, celui qui viendra sera moins gentil que moi et vous le savez tout aussi bien que moi.
Elle se retourna et gagna sa voiture, une luxueuse lamborguini noire.
Alaric la rappela aussitôt.
- Si vous me disiez, au moins, ce que vous cherchez, je pourrais peut être vous aider à le trouver.
Freya eut un sourire en coin et se retourna.
- Montrez-moi plutôt ce que vous avez, je trouverai moi même.
Il secoua la tête, je ne vous laisserai pas entrer !
Elle rit.
- Je ne suis pas un vampire, Monsieur Saltzman. Vous ne pouvez pas m' empêcher d' entrer !
- Je sais, répondit tranquillement Alaric. Mais vampire ouias, vous n entrerez pas, cette bâtisse est une forteresse.
- On dirait bien qu'on est dans une impasse. Reprit -elle.
- On dirait bien. Admit calmement Alaric.
Elle soupira.
- Je vous propose d'en rester là pour aujourd'hui, je vous laisse réfléchir aux conséquences d' un refus de votre part.
Sur ce, elle monta dans sa voiture et démarra en trombe.
Alaric la regarda partir, troublé, les hostilités venaient de commencer.