La Force Du Destin (EN PAUSE)

Chapitre 3 : Maya

Pendant tout le long du repas, je ne pouvais m'empêcher d'admirer ce bel homme. Il était vraiment beau. Je le voyais me regarder souvent. Je sentais à chaque fois mes joues chauffer, je devais être toute rouge, la honte. Une fois le repas finit, je débarrassais la table. Diego, devait partir, je me retournais pour le regarder une dernière fois, car je ne pense pas le revoir un jour, alors je m'imprimais son si doux visage dans ma tête pour avoir un souvenir de lui. Au moment où il arriva à la porte, il me regarda, me fit un signe de la main, un magnifique sourire ainsi qu'un clin d'œil, Dios mios, j'ai le ventre remplis de papillon, je vais tomber, je sens que je vais tomber, s'il continue avec ses clin d'œil là... Une fois qu'il ferma la porte, Alana vient me voir toute contente, je suis sûre qu'elle n'a pas perdu une miette de ce qui venait de se passer.

_ Eh ben dis donc ma Bibi, je ne te savais pas aussi charmeuse, ria-t-elle.

_ Oh ça va hein, c'était juste un sourire, rien de plus. Je me sentis devenir toute cramoisie.

_ Tu es toute rouge Bibi. Elle se mit à rire aux éclats.

_ Lala ! C'est bon arrête, tu me mets mal à l'aise là ! M'exclamai-je.

_ Oh c'est bon, faut bien que tu te trouves quelqu'un un jour ma choute, t'as dix-neuf ans et tu es...

_ Toujours vierge ! Lui coupais-je. Je le sais ça,mais j'attends le bon, c'est tout !

_ hmm hmm, bref, j'ai fini mon service moi, je vais rentrer, bisous ma Bibi ! Je t'aime, à demain, sois prudente en rentrant chez toi. Elle me fit un bisous, et tourna le dos.

_T'inquiètes, je t'aime aussi !

La fin de journée se passa vite. Je terminais de faire le décompte de la caisse et sortis du restaurant. Mon patron était vraiment bizarre aujourd'hui, il n'arrêtait pas de venir voir ce que je faisais. Mais bon, de toute façon il a toujours était étrange.Faut mieux pas chercher à comprendre. Soudain, je repensais à Diego, cet homme m'intriguait, il m'a scruté du regard pendant tout son repas. Bon, j'avoue que ce n'était pas déplaisant, mais jamais un si bel homme m'avait regarder comme ça. Mais, après tout, c'est un homme. Tout homme en voyant une fille ne sait plus où se mettre.J'attendis ma sœur, Anita, venir me chercher en dehors du restaurant, il n'y avait plus de bus à cette heure-ci et comme je n'avais pas encore de voiture, et que j'habitais assez loin...J'avais pas le choix. Cinq minutes plus tard ma sœur arriva....

                                                                                            ***

Une fois arriver chez moi, je suis parti prendre une douche. J'étais épuisée. En me déshabillant, je regarde dans mes poches s'il n'y a rien avant de mettre mes vêtements dans le panier à linge sale. En fouillant, je tombe sur un bout de papier. Hmm ,qu'est-ce-que c'est que ça ?Je regarde, et je vois que c'est un mot de Diego. Comment a t-il fait ? Me posais-je la question. « voici mon numéro, belle Maya, envoyez moi un message quand vous le voudrez... bisous ». Pourquoi me donne t-il son numéro ? Il n'est même pas venu me parler une seule fois ! A part dans le bureau bien sur, mais ça, ça compte pas ... Alors la, s'il croit que juste en me faisant des sourires et des clin d'œil que je vais le contacter, il se met les doigts dans l'œil. Je ne vais sûrement pas contacter quelqu'un que je ne verrais plus... Je jetais alors le papier à la poubelle.Je pris ma douche, une fois finis, j'enfile un short et un long tee-shirt, et m'endormis de suite.

                                                                                       ***

Aujourd'hui, nous sommes mardi, je travaille que la demi-journée. Il n'y avait rien de spéciale aujourd'hui, la mâtiné se déroula vite. Une fois mon service finit, je suis partie au gymnase, là où je faisais de la danse. J'ai danse le mardi , et le vendredi. Le mardi j'aide la chorégraphe, Rita, à donner des cours aux petits. J'arrive toujours deux-trois heure avant que les enfants arrivent, pour répéter la chorégraphie. Les cours de danse commence à seize heures et se termine à dix-huit heures...