Chap. 4 Weekend

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Ōkami, durent le trajet, tentait d'utiliser ses super sens de loup. Il était tellement absorber par ses tentatives que quand il refit surface, il était rendu dans la forêt. Ōkami retourna sur ses pas et reprit la direction de la clinique.

  •••  

En y arrivant, Ōkami eu une sensation étrange, comme si le bâtiment en lui même ne voulait pas de lui. Il y entra avec méfiance, en passant la porte, une cloche sonna et un homme apparu derrière le petit muret. Il était noir, le crane chauve et il portait un sarrau blanc. 

Le vétérinaire:- Comment puis-je t'aider?

Ōkami:- Euh... Je cherche ma mère.

Le vétérinaire:- Oh... Tu es le fils d'Akina. Enchanté, je suis Deaton, Alan Deaton, le collègue et ami de ta mère.

Ōkami:- Enchanté de même, moi s'est Ōkami.

Deaton:- Loup.

Ōkami:- Quoi?

Deaton:- Ton nom, ça veux dire loup non.

Ōkami:- Ouais, je présume, je ne sais pas parler le japonnais. Vous avez du gui ici, dit-il en sentant l'odeur.

Deaton:- Non, vaux mieux pas, c'est toxique pour les chiens et pour les loups par extension, mais il en a plus en Californie. 

Ōkami:- Je vous croit. 

Akina:- Ōkami, tu es là. T'était où ce matin? 

Ōkami:- Oh... J'avais mal dormi, je me suis baladé. 

Akina:- Temps mieux. Bon, Deaton a déjà un assistant, tu le connait, s'est Scott McCall.

Deaton:- Oui, mais si il sont ami, je crois bien que Scott n'auras aucune objection pour partagé ses heures de travail avec Ōkami. Et si il hésite, une petite augmentation devrait le convaincre. 

Akina:- Tu peux commencer par calmer Ike, il est stressé et j'arrive pas à lui faire ses vaccins. 


Ōkami:- D'accord, je vais essayer.

Il suivit donc sa mère ver la salle de travail de sa mère. 

La clinique était divisé en deux, il y avait l'accueil, sur la droite en entrant, où il avait le petit muret, était le côté de Deaton, et à gauche avec un comptoir, était celui de Akina. 

En entrant dans la salle, Ōkami se sentie comme prisonnier, comme si que si on voulait le tuer on aurait juste à bloquer les trois points d'accès et boum, mort

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En entrant dans la salle, Ōkami se sentie comme prisonnier, comme si que si on voulait le tuer on aurait juste à bloquer les trois points d'accès et boum, mort.

Ike s'excita en voyant Ōkami entrer. Il le sortie de la cage dans la quelle il était et le déposa sur la table en métal au milieu de la salle. 

Ōkami:- Hey, Ike, regarde moi. Je vais te dire quelque chose, selon ce que je sais de Shams, des que tu vas avoir ta taille adulte, elle ne t'aimera plus, elle préfère les petit chien, mais toi t'es un berger allemand, donc tu ne restera pas petit, mais moi je t'aimerais toujours.

Ōkami Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant