Un tsunami / Lui
Une ville / Moi
La ville ce fait engloutire par la géante vague / Le jour où il est rentré dans ma vie je suis chambouler
La ville est en désastre / Il me fait perdre la raison et la tête
Elle ce reconstruit petit a petit / Je refor...
Je sort mes clés de mon sac, l'enfonce dans la serrure de l'entrée et pénètre dans ma demeure. Je me dirige alors dans ma chambre pour choisir une tenu à la visite de ce cher Christophe. J'ouvre mon armoire où sont accroché quelque une de mes robes. Puisque Christophe n'est pas encore une personne importante à mes yeux je ne vais pas me forcé sur ma tenue. Oui je suis comme ça avant même avoir rencontré quelqu'un, je ne peux pas changer cette routine. Je déniche alors une robe bleu marine assez décontractée mais simple avec dos nu.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Je la porte avec de petites sandales noir. Je ne trouve pas que cette robe reflète le chic. Pour moi elle signifie juste le jour quand je l'es porté. C'est à dire un jour banal comme les autres. Bref, je me brosse ensuite les dents, me met un peu de mascara et du bôme à lèvre. Après tout ça je me balade un peu sur les réseaux sociaux pour passer le temps. Quand, quelque heures après, j'entends la serrure de la porte tournée et s'ouvrir. J'entends ma mère parler à une personne à voix grave. Christophe est alors arrivé. Je me lève car j'étais affalé sur mon canapé en cuire et sa ne fais pas très subtile. J'entends les deux voix parler jusqu'à ce que je les vois rentré dans le salon. Ma mère saute presque sur moi quand elle me voit.
- Sylvie comment c'est passé ta journée ?
- Bien. Je ne voulais pas lui dire que j'étais aller acheter mes médicaments devant Christophe. Je ne veux pas qu'il aille pitié de moi. En parlant de lui, je ne lui es presque pas adressé un regard. Ma mère avait toute pris mon attention.
- Alors, reprend ma mère en ce dirigeant vers son bien aimé, je te présente Christophe. Christophe voici ma fille.
- Bonso... Je m'arrête tout de suite. Son visage est un peu ridés, ses cheveux qui devienne blanc, sa barbe épaisse et sa cicatrice sur sa joue que je reconnais instantanément. Alors l'homme qui allais m'agresser c'était lui ?
