À l'Évanescence de mes écrits,
À mes maux hargneux,
À nos mélasses miséreuses,
À cette nonchalance qui nous correspond,
À ce contraste d'âmes aliénées,
Qui capture votre esprit un seul instant, en vous exposant mes poèmes divers,
Seulement un court...
« Être fugitif enrobé d'une aura transcendante, sous une nuit d'émotions explicites, son âme s'émancipe au loin tandis que son coeur demeure asphyxié par ce désir ardent qu'est la libération »
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Bolivie, Cobija, 2011
« Libération d'un Soir unique, libération d'une Nuit enjôleuse Association d'une brise d'été et d'une fraîcheur au crépuscule Sous cet Astre enchanteur d'âmes au petit matin, et au loin, l'anarchie de ses pensées obsolètes.
Ciel étoilé et son esprit se libère de toute futilité, Ses pensées vives et grises décantent, et cela jusqu'à l'aube naissante
À l'aube, ses pensées réintégreront son âme peinée Son âme étourdie scanne ses idées pittoresques Son cœur alangui analyse sa vie assommante, Chagrinant ainsi ses pupilles noires de désarroi Les suffocations de son être marginal se claquemurent dans son petit coeur empli d'émancipation.
Sous une illumination inaccoutumée, Son souffle essentiel s'égare d' une pensée pittoresque, d'une pensée obsolète et puis de quelques mots d'amour.
Au delà de cette tour dégradée, aux couleurs blafardes, Ses cheveux soyeux virevoltent sous ces étoiles pétillantes, Sa chevelure noire se combine avec la clarté de la Lune, si somptueuse, si charmante
Affres empoissonnés, ailes métamorphosées, Et au loin, la ville somnole sous ces airs frais d'été, Tandis, que ses sens s'éveillent, le vent transperce ces cils recourbés
Aura imperceptible, léthargie lointaine Oppression grandissante et esprit anesthésié
Auréole de plumes, elle devient ce bel oiseau aux ailes fraîchement colorées Ce oisillon libre comme l'air, échappant à cette mésaventure hargneuse
Ailes maléfiques, plumes pourpres néfastes De son œil craintif, ses pupilles vaines observent la ville en suspend
Hiérarchie calomnieuse, qui captive son être fugitif, un court instant
Ô fatalité émotionnelle, Ô coeur malheureux Qui la prend au dépourvu, laissant sa lamentable âme affranchie
La poésie malsaine de son âme précaire se différencie au ciel bleuté Ciel qui s'embrasera à l'aube, telle une chaleur prestigieuse
Et, À vous, Étoiles scintillantes de minuit qui saupoudre la ville cosmopolite, Étoiles flamboyantes qui ornent le ciel sombre, décor si sinistre Étoiles étincelantes qui offrent au ciel, sûreté et pureté Étoiles rayonnantes qui enguirlandent ses maux tortueux Étoiles qui illustrent ses peines les plus caustiques
Étoiles, à elles, elle dédie cet orage ténébreux qui hante son cœur douloureux entaillé, À elles, elle dévoile ce désir ardent qui ronge ses entrailles À elles, elle scelle ses méfaits disgracieux,
Son âme se paremente de souvenirs magnanimes, Sa conscience s'accrédite de délétères émotions, Son esprit divague dans cet océan brumeux qu'est le ciel étoilé Tandis que son coeur acclame : « Libération »
»
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
