CHAPITRE 3

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- Tu crois qu'on peut mourir de colère ? – L'interrogea de l'autre côté de la porte Yugyeom.

- Non, mais on peut tuer quelqu'un comme ça.

- Tu veux me tuer ?

- Non.

- Tu es sur ?

- Oui.

- Quand tu seras calme, je songerais à ouvrir la porte.

- C'est bon, je suis calme.

- Je ne te crois pas.

- Et bah me crois pas !

- Bon, je vais ouvrir, parce que je t'aime bien et que je veux pas que tu meurs de colère. – Dit-il tout en ouvrant la porte.

- Merci. – Le remercia-t-il tout en s'allongeant sur le lit du cadet.

- Pourquoi tu t'allonges sur mon lit ?

- Aish...

- Avoue, c'est parce que je sens bon.

- Sans doute.

- Est-ce que je sens mauvais ?

- Non.

- Donc je sens bon ?

- Ai-je vraiment cette conversation ?

- Oui, et vous pourriez alors ailleurs pour ça ! – S'énerva le thaïlandais.

- Désolé BamBam. - Fit le plus jeune. Tu crois qu'il va, lui aussi, mourir de colère ?

- Personne ne meurs de « colère » Yugyeom.

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