Chapitre 1 : Mauvais garnement

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-Tu crois qu'on va gober ça? Tu t'ai fait attaquer par un loup? Laisse moi rire, se moqua Loïke,un grand balourd qui n'a de cesse de l'importuner. Le fléau de l'orphelinat depuis son arrivé.

-Crois se que tu veux, stupidité ambulante. Je ne fait que te dire ce qui en est, que tu me croie ou non ne m'importe pas. 

-Baisse le ton avant que... commença un autre garçon.

-Qu'est-ce que tu faisais dans le cimetière? l'interrompis Ronald Mc.Fillier, le chef d'adoption en venant s'asseoir à la grande table de la salle communautaire où était rassemblé les orphelins.

Début quarantaine, il possédait plusieurs rangés de rides qui criblaient son front et qui, comble de lui, témoignais de son age avancé. Les cheveux grisonnants, il semblait allé pour le mieux, en plus d'être en excellente forme physique. Le menton carré, le dos voûté par les responsabilités, il restait tout de même imposant par sa grande taille.

-Eh bien, je prenais le chemin le plus cour pour arriver à l'orphelinat et... tenta de se justifier timidement Allix.

-Ça fait six jour que tu fait l'école buissonnière et que nous ne t'avons pas aperçus à l'infirmerie pour guérir les estafilades que tu t'ai fait pendant ta petite escapade!hurla quasiment leur figure d'autorité en abattant son poing sur la table de chêne, qui émit un craquement sinistre.

Pour reprendre contenance, Ronald ferma les yeux et ce les frotta avec le pouce et l'index. Profitant de ce moment d'inattention pour tenter de fuir les foudres de son directeur, Allix se tourna lentement.

Malheureusement, Loïke se mît en travers de sa route. Agrippant d'abord une des manche de sa victime, il profita de l'élan de celle-ci pour lui faire une clé de bras. Sur ce fait, Ronald nargua le jeune audacieux des yeux, qui lui répondit d'un regard brillant de colère a son égard.

-Où croyais-tu aller comme sa, sale petite mauviette, argua la brute qui lui maintenait le bras dans le dos.

-Lache-moi, fils de putain, l'insulta en retour Allix en lui assénant un coup de coude dans les côtes.

Ça ne servit évidement a rien, considérant le nombre de couche de graisse qui le recouvrait.

Voyant Allix se débattre dans toute les sens, Ronald appela les gardes, qui mirent quelques minutes à arriver sur les lieux. Le seuil de  la porte a peine franchis qu'ils comprirent leur but d'intervention.

Étant quatre, ils n'eurent  aucun mal à maîtriser le jeune hors-la-loi. Suivi par la suite les procédures de mise en isolement.

ArghotérraWhere stories live. Discover now