Je m'appelle Pauline Marchal je vis a Paris , et j'étudie au Lycée Henri IV. Mon père est décédé quand j'avais 2ans suite a une maladie grave . Ma mère s'appelle Stéphanie et mon petit frère Léo , de 4ans. Il est trop craquant! Je suis brune , j'ai...
C'est ce jour là que je le vis pour la première fois.
Je cessai de marcher , m'arrêtai net. Je laissa tomber mon sac par terre . Je fis un pas et il était là. Assis sur le trottoir , adossé a un mur , sa maison peut être. Il semblait triste alors je me suis approchée. il avait la tête baissée. - Heu... Tu... ça va ? dis-je doucement a cet inconnu dont je ne voyai toujours pas le visage. - Qui est tu ? répondit-il , d'une belle voix plutôt grave Je cru connaître cette voix , ce ton si particulier et si beau. Je cru l'avoir entendu quand je marchai pour aller au Lycée , le matin . - Pauline. Je suis Pauline Marchal , j'habite juste la rue de dérrière... Tu pleures? demandais-je , troublée. C'était la première fois que je parlai ainsi a un inconnu. - Non , je ne pleures pas...Enfin , je..., il renifla . Il faut que tu partes , tu ne dois pas...marmonna t-il . -Mais... Tu saignes! Regardes , tu es bléssé ! Que t'es t-il arrivé ?! m'exclamai-je Il avait des bleus sur les bras, il saignait un peu et semblait souffrir juste avec le ton magnifique de sa voix. Il releva la tête. -Je m'appelle Quentin , j'habite juste là. dit il clairement.
Ses yeux étaient d'un vert sublime , il avait la peau mat , son nez avait une forme fine et très jolie. Ses cheveux étaient bruns , il les coiffait dans un certain désordre que j'aimais particulièrement . Il était...différent. -Lèves toi , ça va aller,l'encourageai-je , sûre de moi.
J'avais prit mon sac , je l'avais posé sur mon dos et je l'avais emmené chez moi. Ma mère était partie avec Léo. Je l'avait soigné puis on avait parlé longuement. J'avais décidé de sécher les cours pendant la première heure. Puis , je comprit . C'était si évident , ça se voyait dans ses yeux. Son histoire avait un sens , j'en fus très surprise. - Tu...vis ça chaque jour? Ton père n'a pas le droit de poser la main sur toi! m'enquis-je , alarmée. - Oui depuis ma naissance , J'ai l'habitude tu sais. dit -il avec tristesse. Mais je m'en fiche de lui , j'arrive a courrir assez vite pour lui échapper , parfois! répondit-il. - Quelle histoire incroyable... Tu as l'air si heureux pourtant ! Enfin; je veux dire que tu n'a pas l'air de vraiment t'en préoccuper, annonçai-je -Je vie ma vie! Il le faut quand on est un enfant battu. il faut oublier le plus vite possible ce qui nous arrive. Il me sourie , je me mordis les lèvres pour éviter une sourire bêtement. Il était si beau , si mignon , je ne pu m'en empêcher , mon regards croisa ses iris et je souris. -Il .. est tant d'aller au Lycée. On y va ? me dépêchai-je de dire pour arrêter de ressembler a une fille qui s'attarde. - On y va .
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