*Chapitre trois*

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En média : Marina

ÉTATS-UNIS:NEW-YORK.

Les cours sont enfin terminer. Pour un lundi d'école,je me dirige vers la sortie de mon collège les levres enfler et le corp douloureux. Cet embecile ma fait tellement mal. Une chance que l'on ne c'est plus croiser dans le couloir. Sinon,il m'aurait sûrement arracher la gueule. Déjà que je ne ressemble à rien. Je m'était débrouiller pour éviter mes amis aujourd'hui en restant dans la salle de music,une chance qu'il n'y avait pas cour dans cette salle aujourd'hui. Je me suis aussi arrangée pour que le principal Stone ne me cherche. J'ai du demander de l'aide à l'infirmière,qui en me voyant voulait déjà appelé mes parents. En même temps,a se moment la j'avait l'air d'une femme rentré de guère,alors je ne me plein pas. Après que l'infirmière es bander mes blessures et qu'elle masse quelques partie de mon corp,c'est-à-dire mes articulations je me suis directement diriger vers mon repert,tout en la suppliant de ne rien dire à mes parents et le principal bien-sûr.

Maintenant,je me dirige vers la sortie pour rentrer chez moi. Évidemment tout les élèves sont déjà rentrer chez eux. Il ne reste plus que moi et quelques professeurs,qui me jette tous un regard interrogatoire,sûrement a cause de mon état.

Mon chauffeur a sûrement du partir aussi,bien que je n'en suis pas très sur. Mais j'espère néanmoins qu'il m'est attendu et qu'il n'est pas rentrer à la maison sans moi. Parce que sinon je suis perdue. Et je vie tellement loin en plus.

Le vent sec de novembre frappe sur mon visage lorsque je me dirige vers la cour du collège. Je scrute du regard pour voir si mon chauffeur peut être encore la. Malheureusement il a du partir. Appelé la police ? Je ne sait pas. Mes parents ? Oh que oui. Et je suis cuite. Mon père est très rigoureux comme parent. Bien-sûr il me laisse utiliser s'est carte crédit et sortir si j'en ai envie. Mais le rendre inquiet par-a-porre a sa famille ou sont travaille à tendance à l'enerver. Et je n'est vraiment pas l'envie de me faire punir.

Je regard le ciel et il est sombre. Une éclaire la survolte légèrement et quelque goute d'eau s'en échappe.

C'est vraiment pas mon jour. PUTAIN.

Sa fait plus d'une heure de temps que je marche sous cette pluie qui visiblement n'est pas prêt de se stopper. J'ai essayer de trouver le chemin qui mènent au métro mais je me rend compte que je ne fait que tourner en rond.. La nuit va bientôt tomber et je ne sait vraiment pas ou je me trouve. Je suis perdue.

*point de vue*: Adrian

- À bientôt mí amór !

Je sourit fatiguer et content de pouvoir enfin rentrer chez moi. Cette journer a vraiment été épouvantable.Je vous épargne les détails.

J'entre dans ma voiture et je fait un dernier signe de la main à ma grand-mère. Encore heureux qu'elle ne vivent pas loin de mon collège. Sinon j'aurai été obliger d'allée dans cette infirmerie pourri. Elle me sourit et m'envoie un baissé abstrait de la main. Je l'aime beaucoup ma grand-mère. Elle me fait beaucoup penser à ma mère. Ses questions qui pour moi avait toujours été un supplice,pour elle était une preuve importante de son amour envers moi.

Au fure et à mesure que je roule,le ciel devient de plus en plus sombre. La pluie ne tardera pas à tomber. Mon corp quand à lui se sent mieux. J'ai déjà subit plus pire que ça. Je veut dire cette interface avec l'autre conne. Vous ne vous rappelez pas ? Et bien je parle de Marina Bryanne. Ce que je déteste cette meuf.

*Flashback*

Elle vient de me cracher dessus. Cette fille à un sacré culot ma parole. Elle est dingue ou sa se passe comment ? Je me relève lentement avec une fureur égal à celui d'un prédateur. J'ai envie de commette un meurtre.

ADRIAN COLEMANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant