Yandere Chan "Le triangle amoureux" [Ayano x Budo]

Chapitre 10 : La Tour mystérieuse et l'évasion d'Ayano et de Kokona

Voilà la suite de l'histoire avec de nombreux rebondissements et péripéties. J'espère que ça vous plaira. Bonne lecture.

Budo courra à grande vitesse vers son père qui l'attendait devant sa maison, les bras écartés. Il ne l'avait jamais vu mais c'était comme s'ils se connaissaient toujours.

Budo (saute dans les bras de son père) : Papa !

Père de Budo (pleure) : Mon fils ! Je suis content de te voir et de pouvoir te sentir dans mes bras. Si tu savais comme je regrette de ne pas avoir pu être sur Terre pour te voir grandir et te voir chaque jour. Je m'en veux terriblement.

Budo (pleure) : Allons papa, ne t'inquiète pas. Ce qui s'est passé n'est aucunement ta faute. Tu as été contraint par un démon avec des pouvoirs surnaturels. Tu t'es rebellé contre ce sort injuste et il t'a tué. Tu as fait sans doute la plus belle preuve de courage qu'un père aurait pu faire.

Père de Budo (pleure) : Oh, mon fils... Si tu savais comme je m'inquiétais chaque jour pour toi. Tu devais bien être malheureux avec cette directrice qui n'est pas ta vraie mère et ce chacal qui s'est fait passer pour ton père !

Budo : Oui, mais maintenant, tout va rentrer dans l'ordre.

Père de Budo : Mais, j'y pense ! Si tu es ici, c'est que tu as été tué ! Tu portes une auréole et des ailes comme moi ! Oh non ! Mon fils ! Qui t'a fait cela ?

Budo : Ne t'inquiète pas papa, j'ai l'intention de me venger. Je suis peut être mort mais mon âme est pétillante et brûle d'une vie éclatante. Je n'ai pas l'intention de rester ici pour toujours.

Père de Budo : Mais, lorsqu'on est mort, c'est trop tard.

Budo : Il y a des moyens de revivre, et j'en connais un.

Père de Budo : Ah oui ? Lequel ?

Budo : Je vais m'engager dans l'armée Divine pour vaincre le Diable et sauver celle que j'aime. Lorsque ce sera fait, je suis sûr que Dieu voudra bien nous redonner la vie.

Père de Budo : Quoi ? Mais enfin, es-tu fou ? De nombreux anges sont allés combattre là-bas et peu d'entre eux sont revenus. Non, enfin, ça serait de la folie de faire cela ! S'il te plait, n'y vas pas !

Budo : Il le faut, l'enfer est un lieu cruel et il faut libérer ces pauvres gens qui souffrent chaque jour et qui perdent leurs âmes. Je suis déterminé et personne ne m'empêchera d'y aller !

Père de Budo : Même pas Dieu ?

Budo : Même pas Dieu !

Père de Budo : Soit, si c'est ta volonté. Mais entre donc, je vais te donner quelque chose qui j'espère, t'aideras dans ta quête.

Budo : D'accord.

Budo entra dans la maison de son père. Elle était blanche aussi bien à l'extérieur, que à l'intérieur. Le paradis semblait être un lieu agréable. Ici tout était calme. Un calme reposant et une bise rafraîchissante donnait une certaine volupté et une certaine relaxation à ce lieu. Il était presque impossible de stresser tellement on se sentait bien. Les meubles et le décor de la maison était pratiquement le même que celui de la maison d'Ayano mais qui devait être en réalité celle de Budo s'ils n'avaient pas été intervertit. Le père de Budo conservait des photos de sa femme, et chaque jour, il pensait à elle. Il s'arrêta devant un buffet en bois de hêtre, un peu rustique, tira un tiroir et sortit un bandeau magnifique, digne des anciens arts martiaux avec des motifs élégants. Sur Terre, n'importe quel collectionneur aurait voulu tuer pour avoir cela.