Chapitre 3: The beginning

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Coucou mes "gnagamitons". Je publie vite ce soir parce que je suis un peu souffrante et demain je dois me réveiller tôt. Mais j'espère que ça vous plaira.
Et excusez moi pour les fautes, n'hésitez pas à voter et puis... Bonne lecture.

Elle était encore plus belle! Nourah était rayonnante dans sa tenue de bazin brodé avec des perles qui pendaient à son coup. Elle était assise le regard dans le vide peut être pensait-elle à moi?
Noura était la fille adoptive de papa. On l'avait recueillie lors de la crise lorsque nous fuiyions la capitale pour la ville natale de papa. Elle était assise au bord de la route les yeux mouillés de larmes, et vêtue d'haillons. Papa prit de pitié (c'était la première fois que je le voyait ressentir la pitié pour quelqu'un) la fit monter dans la voiture. Elle nous expliqua qu'elle avait perdue sa famille dans un incendie causé par les combattants. Franchement elle ne me disait rien. Rien à sa vue n'éveillait quoi que se soit en moi. À notre arrivée Aïda l'installa dans la chambre des invités, lui donna quelques fringues à elle et lui proposa une douche. Pendant qu'elle se douchait, Kader (qui est mon jumeau) entra par inadvertance dans la salle de bain qui n'était pas verrouillée. Elle sursauta et automatiquement se cacha les parties intimes. Kader sourit légèrement et sorti aussi tôt qu'il était entré. C'est là que tout commence.
Tout fatigué que j'étais je rangeais mes affaires quand il entra dans notre chambre:
Kader: Iso, fit-il avec son sourire sournois, la petite là elle ressemble à ton genre hein je l'ai découvert tout à l'heure sous la douche
Moi: T'es un salaud hein. Dis-je dégoûté
Kader: Ohh calmes toi ahi! Je ne savais pas qu'elle se lavait en plus la porte n'était pas verrouillée
Moi: Et donc quelques secondes on suffit pour que tu explores toutes les parties de son corps?
Kader: J'ai le coup d'oeil dit-il en faisant un clin d'oeil et puis tu sais les jeunettes c'est pas mon genre mais à la voir vous ferez un beau couple
Moi: Oh arrêtes, dégueulasse de perver que tu sois, c'est pas mon genre et j'ai aucune envie de faire ami-ami avec elle
Kader: Je te propose quelque chose. Comme Je sais que les mots qui sortent de ta bouche ne sont pas réellement ce que tu penses, Et aussi comme elle n'a pas encore vu la différence entre nous je te propose d'aller presenter tes excuses à ma place.

Je sais c'est une proposition pas très descente et moi même je fus surpris de me réjouir à ces mots. Comme je le disais Noura ne m'attirait pas, mais la curiosité me poussa à accepter la proposition de mon jumeau. Kader savait que j'allais accepté donc il ne se fatiguait plus aux supplications. Il me donna sa serviette et me montra du doigt la porte avec son légendaire sourire moqueur. Au pas de la porte, je voulais tourné les talons pour continuer mon rangement, mais une force supérieur m'en empêchais.
Quand j'arrivais elle avait finis de se doucher et donc je me rendis à la chambre où elle était logée. Dieu merci elle avait finis de s'habiller! Décidément cette fille à un réel problème avec les portes. La porte de sa chambre était entre-ouverte. Je restais quelques secondes pour voir ce qu'elle y faisait. Elle regardait son reflet dans le miroir du lit de la chambre. À sa manière de regarder on sentait qu'elle n'était habituée au lux.
"Toc toc je peux?" fis-je avant d'entrer. Bizarrement je la voyais sous un autre angle maintenant. Elle etait propre, sentais bon et avait de nouveaux vêtements (qui mettaient ses formes en valeur. Il faut dire que ma petite soeur a des vêtements qui provoqueraient même un mort). Quand elle vis que c'etait moi, enfin le jumeau de Kader, elle rougit sur le champ (bon si elle était blanche lol).
Je découvrais une Nourah grande, avec des rondeurs à couper le souffle. Ses traits de visage était fins et bien dessinés. La chemise qu'elle portait laissait apercevoir une poitrine généreuse qui avait du mal à tenir dans son soutien gorge. Son jean "taille basse" montrait ses fesses charnues et bien disposée. "Ouah"! Décidément Kader avait raison.
Maladroit que j'étais, j'attardait mon regard sur son chemisier, ce qui ne passait pas inaperçu puisqu'une bosse commençait à se former de sous la serviette que j'avais autour de la taille.

Désolée! Il paraît que ça s'affichait pas.

GNAGAMIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant