GNAGAMI

Chapitre 6: Back in the past (again)

Encore une fois désolée pour les fautes et 'n'hésitez pas à voter et commenter et puis... Bonne lecture.

Nourah avait conquis papa dès les premiers moments où ils avaient échangés. Elle avait un esprit fin et lui disait ce qu'il voulait entendre. Elle le flattait de temps en temps mais surtout se montrait docile comme enfant. Ce qui plaisait au vieux Ballo qui commençait à développer des sentiments amoureux pour celle qu'il appelle "ma fille". Une fois pendant que nous étions encore à l'intérieur du pays nous reçûmes la visite d'un vieil ami de papa M. Koné
Koné: Salam Waleykoum
Ballo: Waleykoum salam Konétchai! Quelle surprise!
Koné: C'est à toi qu'on doit le dire mon chère ami depuis plus de 20 ans que tu es parti pour la capitale c'est maintenant qu'on te revoit dans les parages
Ballo :Ah (ils s'assit et fit signe à son hôte de faire pareil), tu sais Abidjan à beau être dure, elle nous empêche de regarder en arrière. c'est une femme jalouse!
Koné: Je te le fais pas dire fit-il en ricanant
Ballo: Alors frère qu'est ce que tu bois?
Koné: un jus de fruit si possible
Ballo :Nouraaaah Nouraaah apporte un jus de fruit vite
Koné: C'est ainsi que se nomme ta dernière? Il me semblait que dans tes lettres tu l'avais nommé Aïda?
Ballo: oh non Nourah est une jeune fille que j'ai recueilli en venant ici. La guerre lui a pris tout ce qu'elle avait de précieux en plus de toute sa famille!
Koné: oh désolé! Ça doit être pénible pour elle de s'accommoder à son nouveau style de vie.
Ballo: Elle s'y fait ne t'inquiète pas j'y veille personnellement
Koné: (Fit Mr Koné en prenant le verre que lui tendait Nourah)... Ahhh Du bon jus de pomme! Mais dit tu compte la marier?
Ballo: Ohh non c'est comme ma fille! Fit-il gêné et agacé
Koné: donc tu n'hésitera pas à la donné en mariage à mon frère! Il est jeune et il à un très bon post en ville, il a son cabinet!
Ballo: mon frère il n'est pas encore temps de la marié! Bon maintenant que tu as bu quelles sont les nouvelles?

Mon père continuait d'échanger avec son ami mais les mots qu'ils avaient échanger à propos de Nourah le laissait perplexe. En effet papa ressentait quelque chose pour Nourah et maintenant toute éventualité de mariage entre eux venait de s'évanouir. Chez le mandingue une parole dite ne peut être rattrapée. Il a dit à son ami qu'il considérait Nourah comme sa fille il ne pouvait revenir sur ses mots. Ça serait un déshonneur surtout que "Konétchai" avait des idées de mariage entre Nourah et son frère. Papa était cerné et il le savait.

Nourah devenait plus belle de jour en jour et aussi le sujet de conversation préféré de papa et de ses amis. Quant à moi, et bien malgré le mal entendu qu'il y avait eu au départ je réussi à faire de Nourah "ma meilleure amie" dans la maison. Nous faisions tout ensemble. Il nous arrivait même de dormir dans la même chambre tout les deux. Je savais qu'elle était attirée par moi et donc je faisait en sorte de toujours rester seul avec elle comme ça je pourrais faire descendre la bosse qui se formait chaques fois que je m'attardais sur certains détails de sa morphologie.
Et puis vint ce jour où nous étions allé à Bouake elle et moi pour prendre un colis destiné à papa. La voiture avait eu une panne sur le chemin retour et comme il se fesait tard nous avons décidé de passer la nuit dans la ville. À l'hôtel quand on nous demande le nombre de chambre qu'on veut occupé, elle fut promt "une" chambre serait l'idéal et surtout le cadre parfait pour enfin la dégusté comme il se doit, dans toute les règles de l'art