Pourquoi m'avoir laissée ?

Chapitre 3 : Le commisériat

... : C'est le commisériat...

Moi : Qu..quoi ??

Commisériat : Votre père a étè retrouver ivre et il demande à vous voir

Moi : .... Je ne répondis rien, je suis sous le choque.

Commisériat : Mademoiselle ?

Moi : Oui j'arrive tout de suite...

Je partis me changer rapidement. Je mis un jogging noir, un sweat à capuche rose pale et ma paire de Nike.
J'écrivis rapidement un mot que je pose sur la table et sors sans bruit de la maison et commence à courir sous la pluie (oui quand il y a la canicule il pleut le nuit...). En arrivant devant le commisériat, un gendarme vient m'acceuillir.

Gendarme : Bonjour, pourquoi venez vous ?

Moi : Bonjour, je suis Clarys Dubois. Mon père, Frédérique Dubois veut me voir. J'était éssouflée.

Gendarme : D'accord. Veillez patienter ici mon collègue va arriver.

Moi : D'accord...

J'attendis un bonne vingtène de minutes avant que quelqu'un vienne me voir.

Gendarme : Suivez moi svp.

Je le suivi sans dire un mot. Du toute façon, j'était incapable de prononcer le moindre mot...

Gendarme : Voilà votre père. Vous avez 1/4 d'heure en tête à tête, après, il faudra partir.

Je répondis par un hochement de tête.

Père : Tu vois tout, ça c'est à cause de toi.

Moi : A cause de moi ?!?!

Père : Oui ! Et c'est entierement de ta faute !

Moi : Arrête, tu n'es pas dans ton état normal. Tu dis n'importe quoi. Je dis ces mots d'une voix calme pour ne pas faire augmenter la tension.

Père : Je suis dans mon état normal. Mais tu ne serais pas partis, je n'en serais pas arrivé la !

Moi : Quoi ! C'est toi qui m'a mis à la porte ! Je commençais à m'énerver.

Père : Tu est partis un point c'est tout !! Et c'est de ta faute si ta mère est morte !

Ces mots me font perdre la raison. Mon père savait que je me reprochais la mort de ma mère... Pourquoi ? Ma mère est morte dans un accident de voiture. Elle a regarder un message que je lui avais envoyé quand elle est rentrée dans un camion. Elle est morte sur le coup...

Je me leve sans dire un mot et quitte la salle.

Je sors du commisériat et commence à pleurer tout en courant sous le plus. Il doit être 4h du matin. Je cours sans regarder ou je vais. Je ne veux pas rentrer chez Léa. Je veux être seule. Tout à coup je me rentre dans quelque chose et tombe dans une flaque.

... : Oh excuse moi. Ca va tu n'as rien ?

La personne est éclairée par un réverbère mais je n'arrive pas à distinguer son visage.

Moi : Oui ca va.

Je me relève et commence à partir. Quand la personne dans qui je suis rentrer me retient le bras.

Moi : Lachez moi !

... : Tu ne peux pas rentrer comme ça tu est trempée de la tête au pied et trainer en pleine rue à cette heure si n'est pas une bonne idée. Viens chez moi te secher.

Moi : Je vous connais pas alors maintenant lacher moi !

L'individu se rapproche et je peux enfin voir son visage.

Moi : Mais vous étes....

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Voilà la fin du chapitre deux ! J'espère que l'histoire vous plait.
Bisous mes p'tits lecteur !😘