Mystic Wood

Match

- Arrête-moi, si je me trompe.
- Humm...
- Maelle ne serais pas un peu jaloux de toi ?
- Il s'arrête de jouer.
- Tu es très observatrice... mais ce n'est que de la rivalité fraternelle
- Je suis journaliste à mon lycée donc ... je voudrais en savoir un peu plus sur vous et annoncer que le manoir est de nouveau occupé par des descendants de cette demeure même si la réalité est tout autre.
- Maelle a toujours il à toujours été la brebis galeuse de la famille et moi j'ai toujours eu le mérite et les honneurs alors que lui tout ce qui faisait été un échec. Sans me vanter et avec beaucoup de regret ses petites copines m'ont toujours préféré à lui...
- Bah ! Tu m'étonne.
- Bref ! Il est partis parce qu'il est frustré.
- Frustré ? Par rapport à quoi ?
- Tu n'es pas aussi perspicace que ça, finalement.
- Dit moi, s'il te plait.
- Mon p'tit frère est tombé sous ton charme.
- Ah ! La blague de l'année !!! N'en mais tu as vu comment il me traite, impossible.
- C'est sa manière à lui d'aimer, c'est ce qui plait aux filles en général, les mauvais garçons. Je suis choqué que cela ne marche pas sur toi.
- Ça ne marcheras jamais sur moi.
- Tu parles trop vite. Echec & Mat.
- Eh ! Bien on dirait que tu as gagné dis-je dans mes pensées.

1 semaine plus tard ...

Au lycée je passe mon temps à trainer avec Maelle, on arrête pas de se chamailler mais on rigole bien, malgré nos sale caractère. Il y a quelque jours j'ai demandé à Davis de m'entrainer au combat car Maëlle m'a lancer un défi et je veux le remporter.

- Salut ! Alice.
- Jessy, ça va ?
- Ouais. Mais c'est qui lui ?
- Lui, il a un prénom dit Maelle.
- Je vois que tu as toujours un goût prononcé pour les mecs qui ont un caractère, Alice.
- Qu'est-ce que tu veux que je te dise, on ne se refait pas.
- Tu viens ce soir il y a un match.
- Euh ...
- Ahahha ris Jessy
- Pourquoi ris-tu ?
- Ça me fait bizarre, tu n'as jamais raté un de mes matchs.
- C'est mort elle et moi on à un truc à faire réplique Maelle.
- Et quel genre de « trucs » réplique Jessy.
- Arrêtez, les garçons sa devient puérils. Donc je viendrais te soutenir à ton match et on fera le truc qu'on devait faire ! Tout le monde est content.
- Merci, Alice il s'avance vers moi et me dépose délicatement un bisou sur la joue. Je remarque que se geste agace Maëlle.
- A ce soir. Après le départ de Jessy, Maelle me demande qui c'était je lui réponds.
- C'est mon ex.
- Tu l'aimes encore ?
- Calme-toi, je ne pense pas que cela te regarde. Tu vois ça c'est mon avis.
- Est-ce que tu l'aimes me demande t-il en criant ?
- Non ! Calme-toi. C'est quoi ton soucis je ne comprends pas !
Au même moment mon téléphone se met à sonné, c'est ma mère.

- Allô, Maman ?
- Oui, ma chérie. J'ai entendus dire qu'il y avait un match ce soir. Je t'autorise à y aller, je sais que tu n'es plus en couple avec Jessy mais je sais que ses matchs ton toujours tenue à cœur.
- Merci, Maman.
- Passe une bonne journée.
- Merci à toi aussi.
Fin de la communication

- Tu vas vraiment y allez ?

- Oui. Comme Jessy l'a dit tout à l'heure je n'ais jamais manqué un de ces match. Je suis son porte bonheur...
- Tu aimes un mec qui te prend pour un objet.
- Pour toi je suis un garde mangé donc ce n'est pas mieux. Nous ne sommes pas ensemble si je me souviens bien Maëlle.

Le soir du match tout le monde est là c'est-à-dire toute la ville et tout le lycée, je me mets à ma place habituelle. Revoir les Lions Days jouer me fait remonter beaucoup de souvenir plus merveilleux les uns que les autres avec Jessy. Je suis accompagné de Maëlle qui mange son pop-corn, il a l'air ennuyé. A la fin du match les Lions Days on gagné je suis contente pour Jessy les parents rentre chez eux pour laissé les jeunes fêter cette victoire en grande pompe.
- J'ai faim. Il faut que je me nourrisse.
- Regarde cette fille là-bas elle à l'air appétissante.
- Je ne veux pas d'elle.
- Qu'est-ce qu'il y a encore ?
- Je te veux toi. Tu me le dois bien j'ai dû assister au match incroyable des Lion Days.Tu es difficile, mais tu as bon gout comment t'en vouloir. Allez viens ! Nous allons derrière les gradins à l'abri des regards. Maelle me planque violement contre un mur, ce qui me cogne très fort la tête et me désoriente. Il plante ses crocs dans le cou, je lui tiens la tête pour faire croire qu'il m'embrasse puis il s'arrête.
- Pourquoi tu t'arrêtes dis-je en haletant ?
- Tu vas t'évanouir.
- Je suis plus résistante que tu peux le croire, allez bois ... Je sais que tu n'es pas rassasiez. Il s'avance vers moi pour se resservir.

- Hmmm ... Encore ... Encore ... Encore ... Il caresse ma cuisse il s'arrête de boire et il m'embrasse je lui rends son baiser et son regard croise le mieux. Nous continuons à nous embrasser jusqu'à ce qu'on entende quelqu'un vomir.
- Attend ! C'est quelqu'un qui vomis, là ?
- Quelle perspicacité Mlle. Kennedy réplique Maelle.
- Nan, mais c'est un tue l'amour dis-je en riant.
- Oui, mais moi ça ne m'atteint pas.
- Ça casse tout l'ambiance... désolé...
- Je vois.
- Dis ce que tu veux. S'il te plait est-ce que tu peux m'apporté une bière ? Je m'en vais la servir quand je tombe nez à nez avec son ex.
- Comme on se retrouve, où est Alice ?
- Elle n'est pas venue.
- Tu en es sur ?
- Je te laisse le choix de me croire ou pas.
- Okay. Mec. Je reviens tout content de mon mensonge avec la bière que m'a demandé Alice.
- Merci.
- J'ai pris des pansements, tiens. Elle me présente son cou et je colle le pansement sur la plaie, elle remet son gilet et se lève avec beaucoup de difficulté.

- Il faut que j'aille féliciter, Jessy pour son match.

- Non, regarde dans quel état tu es. T'es toute pâle t'arrive pas à aligner deux phrases.

- Pourquoi ?

- Je l'ai croisé et il était occupé à faire des photos.

- AH ! d'accord.

- Bon. La fête est finit pour nous on rentre au manoir j'en file ma tenue de sport, j'appelle Davis et l'entrainement peut enfin commencer. Mais je ne peut pas Je ne suis même motivée j'espère que ce n'est pas Jessy qui me fait cette effet.
- Alice ?
- Oui.
- Mon frère t'a mordue ?
- Oui.
- C'est pour ça que tu es aussi faible.
- Ne t'inquiète pas en chemin j'ai mangé et je me suis reposer.
- Ce n'est pas assez.
- Continuons, s'il te plait. Je peux tenir ne t'en fait pas.
- On va essayer une attaque, okay. Tu vas essayer de mettre au sol.
- Hmmm... Je lui fais une prise qui en tant normal dois faire tomber, malheureusement je n'ai pas assez de force.

- Alice, on va arrêter tout de suite parce que t'es pâle tu n'es pas dans ton meilleur état. Il part en me laissant solo dans la salle de sport.

- A la fin de notre entrainement j'envoie un message à ma mère, « Je dors chez une copine ». Puis je m'en vais prendre une douche pour me rafraichir et pour détendre mes muscles.
- Finalement, tu n'es pas mal quand on te connait réplique Maelle dans mon dos dans la salle de bain.
- Sors d'ici. Je me sèche.
- Avoue tu m'adores ?
- Non, je ne t'aime pas.
- Quand arrêteras –tu de te mentir ? Il s'en va et ferme la porte.