Mystic Wood

Fight

Pendant le diner j'assiste à un silence de mort, je force un peu la discussion  car aucun des deux frères ne veux parler.

-          Les vampires peuvent manger comme les humains ?
-          Imbécile réplique Maëlle, tu vois bien que non dit-il en mangeant son poulet.
-          C'est bon ! Pas besoin d'être méchant. D'ailleurs j'ai une autre question pour toi Davis.
-          Je t'écoute réplique Davis d'un calme absolue.
-          Qui a tué les deux élèves de mon lycée ? En entendant ma question Maëlle manque de s'étouffé avec son poulet.
-          Tu nous fais chier avec tes questions ! C'est nous putain ! Tu veux qu'on te fasse un dessin, t'as toujours pas capté qu'on était des vampires où quoi ?
-          Tu n'as pas besoin de lui crié dessus pour lui expliqué dit Davis légèrement contrarié.
-          Tu ne vois pas qu'on a faire à une imbécile.
-          je suis resté poli avec toi, donc ne m'énerve pas.
Davis ordonne à son frère de sortir de table sur le champ, il se lève sans protestation et il monte dans sa chambre.
-          Je suis désolée. Tout ça c'est de ma faute dis-je gênée je ne poserais plus de question gênante à partir de maintenant.
-          Va te reposer un peu, je suppose que tu dois être fatigué ?
-          Oui, t-tu as raison. Merci, Davis d'être toujours là. Je monte les escaliers et je croise Maëlle adossée contre le mur.
-          Pourquoi tu poses des questions, idiote ?
-          C'est mon job, et de base je suis venu ici dans l'unique but de savoir ce qu'il s'est passé ici.
-          Bon, maintenant que tu as élucidé le mystère tu peux rentrer chez toi et nous dénoncé à toute la ville.
-          Tu me dégoute ! Tu crois vraiment que je suis ce genre de personne !? Je sors en trombe du manoir et je monte dans mon pick-up direction la maison. Sur le chemin je n'allume pas la radio pour mieux réfléchir à la situation, au bout de 10 minutes je me rends compte que j'ai oubliée mon sac au manoir je fais demi-tour.

Je descends les escaliers pour dire à Davis que j'ai viré l'autre conne, il est dans le jardin.
-          Davis.
-          Qu'est-ce que tu me veux ?
-          J'ai viré Alice de la maison, bon débarras. Eh si elle décide tout dire je l'a tuerais simple comme bonjour !
-          Je ne sais pas ce que tu as dans le crâne mon frère dit-il en se levant  tu me déçois beaucoup ?
-          Elle pose trop de question, tu ne vas pas me faire croire qu'elle ne t'a pas énervé avec ses questions. En entendant mes explications Davis me donne un coup de poing je fais un vole plané dans le jardin, puis il revient à la charges. Je me mets immédiatement debout prêt à attaqué.- Qu'est-ce qu'il t'a pris ?

-          Père et Mère ne ton pas donné d'éducation ? As-tu oublier la promesse que nous avons fait à notre ! Ne pas tuer d'humain. Il me met encore un coup de poing cette fois-ci je réagis tout de suite je lui redonne son coup de poing, j'essaye de me défendre mais mon frère à toujours été le plus fort. Il me jette dans les escaliers et il se met au dessus de moi et me fais et me perfore le ventre avec son poing. Il en profite pour m'arracher la carotide, je pisse le sang je ne peux pas me relever, Davis à toujours été cruelle envers moi. Je suis fou de rage nos parents ne nous ont jamais donné une telle éducation. Ce soir il m'a fait sortir de mes gons, je reprends ma respiration pour laisser le temps à mes blessures de se refermer, je m'élance pour l'assainir d'un nouveau coup de poing mais il y a quelque chose d'étrange, M-Maëlle ne bouge plus, je lui tapote un peu le visage  pour le réveiller mais rien à faire j'appelle Agraëlle la servante.

-          Oui, Davis ? Je l'a regarde avec un regarde inquiet. Vous vous êtes encore battus, combien de fois t'ais-je dis d'y aller mollo avec lui, il est moins fort que toi.
-          Qu'est-ce qu'il a ?
-          Je ne sais pas, va vite l'amener dans sa chambre vite... Je crois qu'on est entrain de perdre, je vais m'occupé de lui. Je m'exécute... je m'en veux tellement. Je déboutonne ma chemise et je m'assois dans le salon avec un verre d'alcool au même moment Alice arrive.

-          D-Davis pourquoi il y a autant de sang ? Tu es blessé ?
-          Je me suis battu avec Maelle et j'y suis allé trop fort.
-          C'est-à-dire  dis-je les larmes  aux yeux ?
-          On va peut-être le perdre...
-          Où il est ?
-          Dans sa chambre avec Agraelle, elle est médecin ...
-          Pourquoi vous êtes vous battus ? Il me regarde et baisse la tête. Non, c'est de ma faute dis-je choquée, j'ai honte je ne sais plus ou me mettre. Il s'approche de moi et il m'embrasse fougueusement la bouche couverte de sang, je lui rends son baiser. Il place sa main autour de ma taille pour me rapprocher de lui, il n'embrasse pas de la même façon que Maelle c'est doux, chaud malgré la colère et la douleur Maëlle c'est plus agressif passionné.- Jessica, va surement arriver.

-          Tu as raison, tu veux quelque chose à boire ?
-          Oui, merci. Il revient avec un verre de coca normal.
-          Davis, tu t'es trompé.
-          Pourquoi ?
-          Par rapport au coca, je prends coca light.
-          J'ai quelque chose à t'apprendre tu n'es pas grosse et tu n'as pas besoin de régime tu es déjà magnifique.
-          Merci, dis-je en rougissant. Il repart, Agraelle me rejoins pour me dire que le casse-pied est tiré d'affaire, mais qu'il lui faudra du repos.
-          Merci, Docteur.
-          De rien Alice.
-          Appelle-moi Agraelle.
-          Agraelle est-ce que tu pourras dire à Davis que je rentre chez moi ? Maintenant que la situation est sous contrôle je n'ai plus rien à faire ici, de plus c'est à cause de moi qu'ils ce sont battus...

-          Oui, mais ne t'inquiète pas ils se chamaillent depuis leur naissance, ne te sens pas coupable c'est comme ça dans les fratries.

-          Encore merci. Je prends mon sac et je rentre chez moi, je consulte mon planning et je me rends compte qu'il faut que j'envoie une lettre à mon père. Il me manque tellement j'espère qu'il ne lui ai rien arrivé la guerre c'est hyper dangereux.