Chapitre 4

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PDV CLAIRE

Il finit d'examiner ma blessure.

"Déshabilles toi."

Quoi? Non! Putain comment pouvait-il juste penser à me dire une tel chose? Me violer ne lui suffisait pas?

"Claire."
"Non."

Son regard s'assombrit. Je ne voulais pas. Il n'avait pas le droit de me demander une telle chose après se qu'il avait commis. Nous n'en avions jamais reparlé, et c'était probablement pour le mieux.

"Claire. Je t'ai demandé de te déshabiller."
"Et je t'ai dis non."

Il vint dans la baignoire avec moi et se mit à califourchon sur mon maigre corps. Elle était immense pour que deux corps puisse rentrer. Il me regarda et prit une de mes mèches de cheveux rebelles et la tournoya avec ses doigts. Il semblait réfléchir sous mon regard tétanisé.

"Mh... J'ai l'impression que tu ne comprend pas, mon ange. Je t'ai demandé quelque chose de pourtant très simple, et tu refuses... Veux tu que j'y aille avec la manière forte?"

Je ne répondis pas à sa question. En fait, je l'avais à peine entendu parler. Je pouvais bien voir sa bouche bougé lorsqu'il prononçait ses mots. Mon esprit était occupé à me torturer. Il me rappelait les horribles souvenirs qui allaient me suivre jusqu'à ma tombe.

"Tu me donnes le traitement du silence? Alors se sera avec la manière forte."

Avant que je comprenne tout, il bondit sur moi et pris en otage mes poignets d'une seule main. Il fit descendre le jogging que je portais de l'autre.

"Non! Non, Harry lâche moi! S'il te plait, Harry!"
"Chut, Claire." Il mit un doigt sur mes lèvres. J'avais bien envie de lui mordre. Il le vit dans mes yeux et mit son autre main sur ma bouche, m'empêchant de dire un mot de plus.
"Je t'ai donné le choix, ma belle. Il faut assumer les conséquences, mon ange. Mais ne t'inquiète pas, ça sera vite terminer. Je veux simplement te laver."
Je fit un non de la tête. J'essaya de parler mais sa main m'en empêchait.
"Tu veux dire quelque chose?" Je fit oui de la tête. Il enleva délicatement sa main de bouche et reprit mes poignets.

"Va te faire foutre." Il sourit malicieusement. J'avais au moins su réussi à le déséquilibrer. Il ricana et continua à s'attaquer à mes pauvres vêtements.
"Je comprend que tu veilles exprimer ta colère, mais fait bien attention la prochaine fois que tu veux faire un commentaire désobligent." Et mon chandail vola à l'autre bout de la pièce. Il me me restait plus que mon soutient-gorge et ma culotte beaucoup trop sexy pour m'appartenir.

Il se lécha les lèvres et laisser ses yeux trainer sur mon corps presque nu. J'était rouge de honte. Mes yeux étaient remplis d'eau, et les larmes menaçaient de couler.

"Voilà... J'ai toujours une bonne intuition face à ça. Tu ne trouves pas?"
Je tourna ma tête de gauche à droite. Non. Non tu n'as pas d'intuition.
"Oh aller Claire! Ne soit pas si dur avec moi." Il était visiblement dans une humeur taquine, contrairement à moi. Ses yeux étaient allumés par une flamme mauvaise qui me voulait corps et âme. Je voyais mes deux seule option qui s'offrait à moi. Je pouvais me battre et inévitablement perdre, ou perde sans me battre. Voulais-je vraiment devoir me défendre à se qui menait à un cul de sac? Il fallait bien que j'économise mon énergie. Je n'avais même pas remarqué que Harry venait d'allumer quelques chandelles non parfumé. Il devait bien savoir que je détestais les chandelles parfumés.Comme il l'avait dit; après deux ans, on connait assez bien une personne... Il se déplaça vers la porte et attrapa une corde.

"Que fais-tu?" Demandais-je.
"Je vais t'attacher. Ce sera moins difficile pour toi ainsi que moi."
"NON!" Criais-je.

Il me regarda confus. S'il m'attache, je perdais toute mince chance de pouvoir m'échapper. J'allais bien abandonné, mais pour longtemps. Et avec cette corde, je ne pouvais pas essayer.

"Je... Je vais le faire moi même. " Il semblait ravi.
"Bien. Ne me le fait pas regretter."
Je ne répondis pas. Avec mes mains tremblotante, j'enleva ma culotte en dentelle blanche. Harry se lécha la lèvre inférieur, se qui accentua mon malaise et inconfort. Il commença et fit couler l'eau dans la baignoire pour trouver le bonne température. Voyant que je ne bougeais plus, il me lança un regard d'avertissement. J'hocha bêtement la tête et défis mon soutient-gorge qui descendit le long de me bras. Une larme s'écrasa sur ma main droite. Harry l'essuya doucement et récupéra le vêtement.

J'attendais la tête baissé, sans essayer de cacher mon corps. Il me présenta sa main pour m'aider à me relever, et je la pris sans hésitation. Il alluma ensuite la douche et commença à me laver. J'abandonnais... Temporairement. Il prit le savon et lava mes bras. Mon avant bras gauche était presque complètement cicatrisé.

L'eau revolait et mouillait le chandail de Harry. Il l'enleva d'un simple mouvement si gracieux. Mes yeux restèrent bloquer sur don corps trop bien dessiné. Putain de tatouage. Le t-shirt atterris dans la coin de la pièce près des quelques chandelles allumés. J'aimais bien l'effet qu'elles donnaient. Quelques une d'entre elles s'étaient éteinte, faute du chandail de Harry. Il soupira bruyamment et sortit de la salle de bain après m'avoir donné un regard d'avertissement.

Je ne m'était pas rendu compte que je retenais mon souffle depuis les brèves secondes qu'il était sortis de la pièce. C'était ma chance.
Je sortis de la douche en furie, ne fermant pas l'eau pour ne pas évoquer aucuns soupçons de la part de Harry. Je me sécha à moitié, les mains tremblantes d'adrénaline. J'enfila ma culotte et un chandail choisi au hasard et parti à la course. J'était en quelque sorte aveugle dans cette situation. La maison m'était complètement inconnu.

À la fin du couloir, un immense escalier donnait directement sur la porte. Je descendis sans me poser de question et trouva vite que la porte était verrouillé. Putain! Je vis une ombre dans le corridor, puis un Harry en colère dans les escaliers. Je me précipita dans la cuisine à ma droite pour me cacher et peut être trouver une arme. Devant un îlot central, plusieurs couteaux trônaient dans un compartiment en bois massif. Je pris le premier que je vit. Je retourna dans l'entré, prête plus que jamais à me battre.

Harry arriva essoufflé, les cheveux en bataille et à demi nu. Je devais avoir l'air ridicule, toute tremblotante avec mon immense couteau qui ne veux pas tenir dans mes petites mains. Ses yeux verts étaient maintenant noir. Je ne savais pas si ceux ci devaient représenté la colère ou le désir, et pour être franche, je m'en foutait.

"Claire... Lâche ça tout de suite."
"Non!" Il commença à avancer vers moi, alors je brandis le couteau vers lui, à bout de bras. Il semblait plus agacé que d'autre chose. Il continua à avancer, mon coeur s'emballa. Allais-je vraiment le tuer? Le devais-je vraiment pour être libre?





(HEY HEY!! Je suis de retour les enfants!!!!! J'ai passé de superbe vacances (pas très reposante, mais bon) avec ma famille et j'ai écrit se chapitre en quelques heures. L'inspiration du camping!

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TempêteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant