chapitre3

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        Dans une chambre, bien plus grande et spacieuse qu'un simple dortoir, des gémissements résonnaient. Jean était perdu dans toutes ces sensations de plaisir, d'extase, qu'il ressentait. Les mains et les lèvres ainsi que la chaleur et le souffle brûlant de l'homme au-dessus de lui le rendaient fou. Il haletait fortement, ne pouvant retenir sa voix qui n'arrêtait pas de s'échapper d'une façon érotique de sa gorge. L'homme qui s'occupait de plaisir de son cadet, avait approché ses lèvres de l'oreille de ce dernier et il lui susurra sensuellement :

-dit mon nom~

       Jean eu un long frisson en entendant la voix douce et grave de l'homme :

-Er.....Erwin !

XXX/XXX

       Le commandant était déjà debout, en train de fermer sa chemise. Les cheveux encore en bataille, il avait retiré les taches d'encre noire qu'il avait sur le visage la veille au soir. Dans la même pièce, dans le lit, ce trouvait Jean qui dormait paisiblement. Il bougeait par moment au point de retirer la couverture et d'exposer son corps couvert de marques sous les yeux d'Erwin.

       C'est en entendant les draps du lit ce froisser sous les mouvements du jeune homme que l'ainé reporta son attention sur le soldat. Un sourire illumina le visage du grand blond qui s'approcha doucement et discrètement du jeune homme, passant sa main dans les cheveux de ce dernier avec délicatesse et amour. Il trouvait Jean adorable. Que ce soit maintenant, quand ils avaient couché ensemble ou juste quand il l'apercevait au loin ou dans les couloirs, Jean restait adorable.

        Le haut gradé s'intéressait à ce jeune homme depuis déjà plusieurs mois. Il ignorait totalement pourquoi il avait attiré son attention tout particulièrement, même en analysant l'esprit ou le corps du soldat, rien de l'aurait intéressé plus que ça. Et pourtant, il en était là. Erwin avait embrassé le jeune homme l'or d'une ouverture et l'avait entraîné jusqu'ici pour lui faire l'amour. Ce qui était assez surprenant c'est que Jean ce sois laisser entraîner par le plus âgé et c'était laisser faire sans broncher, peut-être en avait-il eu envie lui aussi.

        La réflexion de l'homme d'une quarantaine d'année fut interrompue par un bruit de fracas rapide sur la porte en bois. Il se leva et alla ouvrir rapidement avant que les coups incessants ne fendent la porte en deux. Un petit homme se présenta, regardant le plus grand de ses yeux à la fois blasé et irrité à cause d'Erwin qui, apparemment avait oublier quelque chose, et c'est ce que fit remarquer l'homme d'un mètre soixante qui fit la morale au commandant sans prêter attention a si quelqu'un était dans la chambre ou non. Le haut gardé regarda son cadet d'un aire assez détacher des choses, affichant un léger sourire amuser, n'ayant pas du tout l'aire désoler pour son petit oublie assez important selon le brun :

-Oi ! Erwin, tu m'écoute ? Râla Levi

-oui, oui, je me disais juste que tu réagissais encore comme si on était amant, répondit calmement la blond.

-Tch ! Nous ne sommes plus ensemble, souffla le brun, arrête de regarder en arrière et accepte la réalité : j'ai un autre amant maintenant

-si tu ne veux pas que je fasse allusion au passé, ne viens pas me chercher quand j'oubli certaine chose.

-ok ! Ramène juste tes fesses au plus vite, on t'attend !

       Levi partie en râlant et en soufflant, laissant sortir son expression préférer, agacé par le comportement et les dires de son aîné. Ce dernier referma la porte et ce retourna surpris. Plus personne, a part lui, n'était dans la chambre, la lit était vide, les vêtements de Jean avaient disparu en même temps que lui. Mais où était-il passer ?

Plus qu'un droit: Un devoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant