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Ryad venait de prendre..
5 mois, 5 mois !

Dès qu'j'ai croiser son regard j'l'ai esquiver.
Salima ne pleure pas, ne pleure pas.

Abdel : Venez on bouge.

Y'avais moi, Lyhneze, Fayza, Anas, et quelques potes a Ryad.
Tout l'monde était déçu, la bicrave sa paye pas, guetter c'est déjà un truc de ouf alors en plus de vendre, Ryad ta déconner.
J'regarder Abdel il était déçu plus que tout l'monde.. sa s'voit qui l'aime vraiment et qu'il voulait le meilleur pour son avenir. Il tombe de haut faut avouer..

J'ai regarder Ryad il ma regarder d'un air : "Me lâche pas."
J'l'ai regarder et laisser couler une larme.

Abdel venait de quitter le tribunal, il y'avait plus personne, j'suis aller près de lui pour lui dire au revoir le temps qu'son avocat récupère quelques papiers.

Moi : Ryad..

Ryad : J't'aime, plus que tout au monde.

Moi : . . .

Ryad : Salima, wAllah il me reste plus que toi me l'a fait pas à l'envers.

Moi : . . .

Ryad : Stp..

Moi : . . .

Ryad : Me l'a fou pas dans l'cul. Reste près de moi et wAllah fi Allah tu va pas l'regretter un seul instant.

Moi : Ryad.. j't'aime aussi plus que tout au monde.. tu va m'manquer, trop même.

Ryad : J'sortirais plus fort.

Moi : InshAllah.

Il me fait un câlin, m'embrasse et s'en va accompagné d'un gardien. J'me retourne et vois.. Abdel..... 😱😱
Il me regarder du genre ÉNERVÉ.

Abdel : Il s'passe quoi entre vous la ?

Moi : Rien wesh.

Abdel : Tu t'fou d'ma gueule ? SORT DE LA TU VA VOIR IL VA T'ARRIVER QUOI.

J'ai trop jouer avec sa confiance.. j'ai étais bête putin.

[ . . . ]

//Quelques semaines plus tard...//

Abdel m'avait condamné, il m'avais privé de toute liberté.
Mon téléphone tout les soir se retrouve avec lui, il a tout effacer, de son numéro jusqu'à nos photos.. c'etais pas un soucis puisque son numéro j'le connais par cœur et les photos son dans mes mémoris sur Snap.

J'avais plus l'droit d'sortir seule, c'est Samir qui m'accompagne en cours, me fait rentrer et parfois me garde quand y'a personne chez moi.. Abdel m'avait pris toutes libertés.

On était mardi, j'avais pas cours l'aprèm et Samir était la bien évidemment.

Abdel venait d'entrer et Samir venait aussitôt de rentrer chez lui.
Sa m'saoule pck il fait que de passer ses journées à m'garder, Miskine il doit en avoir marre.

Moi : Faut qu'on parle.

J'm'assois sur le canapé d'a côté.

Abdel : J't'ecoute.

Moi : Bah écoute bien, sa t'sert à quoi sérieux de m'faire surveiller quand j'sort ? A croire Ryad il est bas des blocs, pourquoi tu prend mon tél déjà aussi ? Ta tout supprimer à quoi sa t'sert de faire sa ? Me faire regretter d'avoir fait sa ? Baaah tes très loin de ton objectif ma gueule.

Chronique : [ MÊME UNE GOMME N'EFFACE RIEN ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant