chap 3

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Cassidy : Je me demande. Passe moi la couverture s'il te plait(pour les fois je m'endors sur le canapé de couleur gris, j'ai une petite couverture de couleur noir étalé dessus, il me la tend et je l'enroule autour de ma poitrine). Merci de t'être occupée d'elle je ne pouvais pas la laisser seule dans l'appart. Pour mon téléphone j'ai failli me faire renverser par une voiture donc rien de grave mais mon téléphone y est passé. Tu veux un biscuit? (En lui tendant le paquet de biscuit.)

Willy : volontiers (en prenant un biscuit.). Toujours le téléphone en main et je suppose que c'est la seule chose que tu mange pour ce soir tu devrais faire un effort.

Cassidy : t'inquiète, je vais bien. Bref, C'est pas une si mauvaise idée de t'avoir donné l'adresse et les clés de chez moi.

Willy : n'exagère pas aussi. Je veux bien t'aider à garder Dan pour le reste, tu te démerdes toute seule. En passant, faudrait que tu dise à tout le monde que nous ne sommes plus ensemble. Vu que tu n'es plus joignable tes parents m'ont appelé car tu devais allé leur rendre visite et Line était furieuse au téléphone aparament tu as oublié une virée shopping très importante, ensuite elle a pleuré disant qu'elle ne voulais plus te voir. Faudrait que tu m'explique là.

Je soupire

Cassidy : merde, je dois les appeler. Bon, par où commencer. Cassandre, Jessica, Gwen, Line et moi ont ne s'attend plus très bien je crois que tu l'as remarqué parce que je ne respecte plus mes rendez-vous, le copain de Jessica m'as fait des avances . elle s'est rendu compte et ils ont rompu, Gwen voyage pour l'Angleterre dans quelque semaine. Le meilleur pour la fin, Line est enceinte. Elle comptait le dire Ethan de façon mémorable d'où son shopping et j'y étais pas.
 
Il me regarde tout du long, il doit vraiment être surpris. C'est une chose que j'aime chez lui, il est très attentif

Willy: waouh je ne m'attendais pas à ça. En plus, Line enceinte. Pourquoi tu ne m'as pas parlé du copain de Jessica? Apprend à te confier aux gens qui t'entourent.

Cassidy : ouais, ouais. Il est quel heure ?

Willy : minuit.

Cassidy : merci pour tout. Je vais les appelés demain. Je suppose que tu dors ici.

Willy : ça ne te dérange pas j'espère.

Cassidy : ça vas aller du moment où tu dors sur le canapé.

Willy (avec un sourire espiègle) : as-tu peur qu'on se saute dessus?

Cassidy (en secouant la tête ): dans tes rêves.

Willy : qui vas te protéger durant la nuit? En levant légèrement la tête et en mettant les mains sur les hanches pour faire genre super-héros.

Cassidy : ben, pas toi. Il se fait tard et j'ai boulot demain.

Willy : et moi donc.(en posant sa main sur mon épaule dénudé). Allez debout faiblarde .

Cassidy: pas les pattes où je jure que tu vas le regretter. En poussant sa main de mon épaule avec la mienne.

Willy : et qu'est ce que tu peux bien me faire? T'as pas de force.

Cassidy : ah oui!!! (Avec un regard de défi)

Willy : oui oui mademoiselle.

En regardant par dessus son épaule je me suis rendue compte que j'ai laissé la porte de ma chambre ouvert "alléluia", je baisse le regard rapidement et je vois ma chatte allongée à côté de lui "OK", je suis assise sur la table basse et lui sur mon canapé.  Il ne reste plus qu'à réfléchir. Lorsque j'ai une super idée, enfin je crois j'ai pas le temps de trouver mieux.

Cassidy : rien malheureusement. En baissant la tête.

Willy : j'avais raison comme toujours. Bon lève toi si je suis fatigué demain ce seras ta faute.

Cassidy: ça ne résout pas le problème.

Willy : quel problème ? ( faisant mine de réfléchir) Aaahh oui, je dors dans la chambre et toi sur le canapé.

Cassidy : mais tu es sérieux ( faisant les grands yeux) c'est pas à toi de décider où tu dors. Où tu as déjà vu une femme dormir sur le canapé alors que monsieur est dort paisiblement sur le lit. Gentleman en as-tu déjà entendu parlé? Ou en tout juste une semaine tu es devenu macho.

Willy : d'où tu me cause là ? Je suis ton invité. Donc tu as le devoir d'être aimable, gentil et attentionné avec moi.(en se levant)

Cassidy : invité!! Mes fesses oui, tu t'es juste tapé l'incruste chez moi. Je peux toujours te foutre hors de chez moi tu sais.

Willy : de quel droit oses-tu...

  Je ne le laisse pas terminer. En une fraction de seconde je me suis accroupie, poussée la table basse avec mon pied droit, pour ensuite attraper ses pieds et tirer en reculant pour qu'il tombe sur le canapé. Devinez quoi ? Il est tombé. (Danse de la joie dans mon coeur bien-sûr avec sourire aux lèvres). En attendant qu'il reprenne ses esprits, j'ai sauté au dessus ses jambes en enlevant ma couverture sur moi( je sais pas où elle est tombée et puis je m'en fout il dormira avec) et j'ai couru le plus vite possible vers ma chambre.

AudaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant