| My Teddy |

키ㅠ

Je l'avais crée.
Dans un espoir de paix.
Pour tout vous dire c'était surtout pour ma fille.
Elle voulait une peluche, oui , comme tous les enfants...
Seulement, je voulais mieux pour elle.
Quelqu'un pour la guider pour quand je n'étais pas la.
Mais étais-ce possible ?
Il est alors arrivé.
Créee par mes mains. La vie.
Cette peluche qui parle. J'avais surement était aidé par le diable en personne.
Ma fille était heureuse, et moi aussi.
Mais, elle est décédé peut de temps après. Un meurtre.
Ma pauvre fille...
Mon oeuvre est alors devenue incontrôlable.
Son coeur était brisé, et jai bien peur qu'il l'était à tous jamais.
Un regard vide.
Tout cela s'est vite transformer en haine.
Puis il a disparu.
J'ai envoyé deux employés le retrouvé.
On m'a annoncé qu'il les avait tuer.
Lui et une gamine...

...

- Moi ? Pourquoi ?
- Pourquoi pas ?
- Mais... C'est pas la liberté.
- En quelques sorte, si.
- Tu me dis que tu me veux moi, puis tu me dis que c'est de la liberté ?
- Exact.
- Je comprends pas.
Teddy me pris l'épaule.
- Alors écoute bien...
Je veux être puissant. Je veux être quelqu'un. Je ne suis qu'une vie artificielle... Tu m'as beaucoup aidé et je t'en remercie.
- Et ?
- J'ai besoin de toi. De quelqu'un disposant d'une haine profonde.
Tu es l'heureuse elue.
- Une haine profonde ? Non.
- Cesse de mentir. Tu me déteste et tu donnerais tout pour me voir giser sur le sol.
- ...
- Et oui.
Tu seras libre.
Mais pas dans ce monde.

Toute cette haine accumulée... Tout sa pour sa ? Vraiment ?

- T'AS PAS LE DROIT !
- Tue moi.

Je n'étais plus moi.
Mes mains... Je ne les controlaient plus.
Elles saisirent un couteau.
Il rigola.
- Haha... Continue.
J'approchais de lui.
Ma conscience me criait de me contrôler.
De ne pas le laisser gagner.
Et mes parents ?
- Oh, j'ai bien peur que tu ne sois pas présente à l'enterrement de tes parents... C'est la semaine prochaine.
Il souria.
Non.
C'était de trop.
Il devait mourrir.
Meurs, My teddy.
Mes jambes m'avaient lâchées. Elles ne mobeissaient plus non. Elles obeissaient à ma haine.
Le couteau toujours en main.
- Adieu Maé.

Il était à présent dans mon coeur.