la famille oublié Tome 2 : Détruire les ténèbres

15. début de mission

Le lendemain matin, alors que tous le monde était réuni dans la cuisine pour le déjeuner, le professeur McGonagall annonça le chargement de plan pour la journée auquel Aurélien n'avait pas encore été informé.

- Nous pensons, Remus et moi même, qu'il serait mieux que l'on aille pas tous à l' orphelinat, cela serait trop dangereux. C'est pour ça que nous allons nous diviser en deux groupes puisque nous avons aussi quelque chose à vérifier.

- les groupes seront divisés ainsi : Luna, Ginny, Draco et Héloïse vous seraient avec Horace et vous irez à l'orphelinat. Minerva, Aurélien, Neville et moi même seront le deuxième groupe. Expliqua Remus en omettant le lieu ou ils se rendraient. Nous partirons cette après midi.

Aurélien et Héloïse furent très étonné de ce soudain changement et demandèrent à Remus s'ils pouvaient parler en priver dans le salon. Celui ci les suivit tout en se doutant de ce que les jumeaux voulaient lui dire.

- vous vous demandez pourquoi ce changement à la dernière minutes ?

- je ne comprends pas Remus que tu puisse faire ça sens m'en parler, après tout c'est à moi que Dumbledore a confié cette mission alors comment ça se fait que je n'ai même pas mon mot à dire ? S'emporta Aurélien qui ne comprenait plus rien.

- Aurélien, nous avons trouvé le moyen de te guérir. Annonça Remus avec un grand sourire.

Le jeune homme en resta sans voix à l'annonce de cette nouvelle tandis que sa soeur lui sautait dans la bras, heureuse que la vie de son frère ne soit plus en danger.

- m-m-mais. . . Comment ? Bégueilla il alors qu'un sourire venait illuminer son visage au teint encore maladif

- et bien, il ne vaux mieux pas que tu le sache, tu m'en voudrais sûrement un peu . . .

- Remus, qu'as tu fait ? Demanda Aurélien alors que son sourire disparaissait peu à peu

- j'en ai parlé à Minerva, tu comprends je pense qu'elle avait le droit de savoir et puis elle s'inquiétait beaucoup pour toi. Et il se trouve que quand je l'ai dit, et bien. . . Neville à tout entendu. Je sais que tu ne voulais pas que tes amis soient au courant, mais je ne pouvais pas savoir que Neville était derrière la porte.

- Remus, il ne t'ai même pas venu à l'idée de jeter un ''silencio '' ?! Tu es un sorcier oui ou non !

- Je suis vraiment désolé Aurélien, tu peux me croire. Mais juste après, Neville est venu nous voir et il nous a dit que sa grand mère connaissait le sort qui t'a touché ! C'est elle que nous allons voir tout à l'heure, elle sait comment te guérir !

Aurélien ne savait pas vraiment comment réagir, d'un côté il était en colère contre Remus de l'avoir raconté à d'autres personnes alors qu'il lui avait interdit, il ne voulait pas qu'on le voit faible de cette manière, mais d'un autre il avait envi de sauter de joie car son malheurs allait bientôt se terminer !

Alors il se rapproche de Remus et le pris dans ses bras pour exprimer sa joie et lui dire qu'il ne lui en voulait pas finalement.

Tous trois rejoignaient alors les autres qui finissaient de déjeuner tout en parlent de choses et d'autres et c'est ainsi que se déroula la matinée, dans la joie et la bonne humeur.

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Tous le monde se tenaient dans l'entrée, près pour leur mission.
Le premier groupe s'apprêtait à partir vers l' orphelinat tandis que le second se dirigeait vers la maison ayant habiter l'enfance de Neville, le manoir des Longdubas.

Sa y est, le moment était venu de se séparer. Héloïse regarda son frère et lui souri tendrement, essayant de le rassurer et de lui montrer son soutient dans cette dure épreuve. Elle aurait tellement voulu l'accompagner, mais il fallait que quelqu'un d'impliquer depuis le début dans la chasse au horcruxes se rendent à l'orphelinat alors c'est elle qui s'y rendrait à défaut de son frère.

Le professeur McGonagall, Remus se désilusionnaient tandis que Neville et Harry se cachaient sous la cape d'invisibilité. Seul le mouvement de la porte dans le vide indiquait qu'ils étaient partit.

A peine passé la porte d'entrée que Minerva attrappa le bras de Neville et Harry celui de Remus et ils transplanèrent au nez des autres mangemorts envoyé par Voldemort qui montaient à ce moment même la grande devant la maison.

Il ne fallu pas plus de quelque minutes pour que le second groupe en face de même, laissant pour la première fois depuis plusieurs semaines le square Grimmaurd vidé de tout habitants.

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Tandis que la pluie ruissellait sur son visage, Héloïse contemplait la façade à demi en ruine de l'orphelina ayant vu grandir le plus grand mage noir que le monde des sorciers ait jamais vu.

Le temps était sombre et le professeur Slughorn était tombé dans une flaque d'eau au coin d'une rue, entraînant Draco dans sa chute. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'un Malfoy à terre, les vêtements ruisselant d'eau et les cheveux mouillés, paraissait tout de suite bien moins imposant. Et malgré le regard noir que lançait le jeune Serpentard, qui conque l'aurait vu à cette instant n'aurais rien pu faire d'autre que de rire.
D'ailleurs, juste à côté se trouvaient Ginny et Luna se tenant l'une contre l'autre pour ne pas tomber tellement leur fou rire était puissant.

Une fois remis de leurs émotions, les 5 chasseurs d'horcruxes passèrent ensuite le portail cabossé et rouillé, baguettes levées en position de garde. Mais alors qu'ils étaient à mis chemin de la porte d'entrée, Luna qui se trouvait à l'arrière se retrouva bloqué, comme si ces pieds étaient collés au sol.

- Luna ça va ? Questionna Ginny inquiète de voir son ami immobile

- j'arrive pas à bouger ! S'affolait elle alors que ses jambes s'enfoncaient peu à peu dans le sol.

- Ne bougeait plus Miss lovegood ! S'écria Slughorn. C'est un sortilège de sable mouvant !

- mais fait quelque chose au lieu de la regarder s'enfoncer ! Dit Draco

Ginny et Héloïse prirent chacune une main de leur amie et la tirèrent de toute leur force jusqu'à ce que les pieds de la pauvre Luna ressorte du sol par un élan de force, progetant les trois jeune filles face contre terre.

- connaissant Tom, ceci n'est que le début, et sûrement le moins pire, avant d'arriver à son précieux horcruxe. Dit Ginny avec gravité en se relevant.