la famille oublié Tome 2 : Détruire les ténèbres

19. mise au point

Comme ca fait longtemps que je n'ai rien posté je met 3 chapitres d'un coup et en plus un petit bonus.

Avant que vous ne lisiez la suite, je voudrais juste vous dire un petit mot sur l'histoire.
Comme Voldemort n'a pas caché l'horcruxe dans la grotte ( du moins pas celui là . . .  Mais ça vous ne le saurez que dans quelques chapitres 😉) donc il n'a pas eu à demander de l'aide à Regulus Black ! Regulus Black n'est donc pas mort et s'est enfui quand il à décidé d'arrêter d'être un mangemort. Et il est partit avec kreatur ! Donc bay bay l'elfe de maison.

Ceci est un petit chapitre de transition donc c'est normal qu'il soit ennuyeux 😊

En ce début du mois de décembre, les habitants du square Grimmaurd avaient décidé de se réunir pour parler de la suite de la mission ''horcruxes''.

Même Harry malgré sa grande fatigue avait voulu venir, et Horace qui ne quittait plus sa potion depuis maintenant deux jours, avait fait une exception et c'est tous ensemble qu'ils se retrouvèrent dans le salon, une boîte en fer devant eux.

- maintenant qu'il est là, la prochaine étape est de le détruire. Commença Héloïse.

- oui mais le problème c'est : comment peux on le détruire, intervint Draco. Je ne pense pas que nous y arrivions avec un simple sortilège car il ne faut pas l'oublier ceci fait partit d'une des branches de la magie la plus noire.

- vous nous avez dit que le journal de Jedusor était un horcruxe, dit Ginny. Alors Harry tu as bien détruit le journal avec un des crochet du basilic non ?

- et bien oui. . . Mais je doute, que nous trouvions un crochet de basilic aussi facilement. . . Répondit il lentement, d'une voix cassé par la fatigue.

De grandes cernes s'étalaient sur son visage et chacuns de ses muscles lui était douloureux et presque impossible à bouger de plus sa magie lui manquait énormément. Il se sentait faible sans elle, seul et démunie. Désormais il avait besoin de cette potion plus que jamais. Heureusement elle serait prête pour le lendemain soir, même si il commençait à douter qu'il tienne jusque là.

- il nous faut donc trouver un autre moyen de détruire un horcruxe. Dit Neville

- mais il faut aussi trouver les autres, intervint Minerva.

- déjà nous savons qu'il y en a 7, grâce à notre cher Slughorn. Exposa Remus. Déjà il y a le journal, le médaillon de Serpentard, une coupe avec les armoiries de poufsoufle, un bague ayant appartenu au grand père de Tom avec les armoiries de la famille Gunt, Nagini le serpent et l'enveloppe corporel dans laquelle se trouvait Tom en ce moment même. Mais il nous en manque encore un a trouvé.

- on peu déjà penser que ce dernier horcruxe aurait un rapport avec Serdaigle, vu qu'il y a déjà des reliques appartenant à Poufsoufle et Serpentard. Proposa Harry. Quelqu'un connait il une relique ou un objet eyantk appartenu à Serdaigle ou même ayant un simple rapport avec cette maison ou son fondateur ?

- il y aurait le diadème de Serdaigle ? Proposa Luna

- je n'en ai jamais entendu parler, remarqua Neville

- Mais miss Lovegood, ce diadème est perdu depuis des siècles déjà. Nul homme vivant ne l'a vu. Dit Minerva

- c'est cela, aucun homme vivant ne l'a vue. Alors, il faut demander à un mort.

- bien maintenant nous avons une idée principale, il nous faut chercher des endroits probables ou peuvent être cacher les horcruxes. Dit Remus pour couper et court au débat sur ce diadème.

Et durant plusieurs heures ils continuèrent les recherches et trouvèrent plusieurs hypothèses. Il firent une pose vers midi pour manger et l'après midi passa alors qu'ils programaient les missions de recherches pour les horcruxes les prochains jours dans toutes l'Angleterre.

Vers 18 heures, tous le monde sorti du salon et ils partirent à leur occupations avant l'heure du repas. Harry s'effondra de fatigue sur la canapé, décidant qu'il était l'heure de faire une petite sieste, Draco et Hermione partirent dans la chambre de celle ci faire on ne sait quoi, et d'ailleurs personne ne voulait le savoir.
Luna et Neville en firent de même, et Ginny resta quand à elle au près du garçon qu'elle aimait, trop inquiète pour le quitter d'une semelle.

Les adultes repartaient chacuns à leur occupations : Minerva à la lecture d'un livre sur les fondateurs, espérant y trouver des choses ayant un rapport avec les horcruxes ; Horace continua la potion pour Harry  et Remus - s'étant découvert une nouvelle passion pour la cuisine-  commença à préparer le repas.

Le reste de la soirée fut calme, et ils purent ainsi tous se reposer pour le lendemain, ou ils avaient décidé d'essayer de détruire leur premier horcruxe.

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- excusez moi Horace, mais j'aimerais vous parler de la nuit que nous avons passé ensemble , commença Minerva.

- oui d'ailleurs je voulais vous dire que cela avait été merveilleux et . . . Enfin pour tous vous avouer cela a raviver d'anciens sentiments que j'avais à votre égard il y a de cela plus de vingt ans. Minerva je vous ai-

- Ho non Horace, ce n'est pas ce que je voulais dire. Je suis terriblement navré, je ne cherchait pas à vous donner de faux espoirs. Je . . . Ces derniers temps Albus me manque énormément et je me sentais seul. Sachez que je vous apprécie beaucoup Horace, vous êtes un bon amis, mais rien de plus. Et ce qu'il s'est passé il y a quelque jours n'a pas vraiment compté pour moi, cela était plutôt une partie d'amusement. Encore désolé.

Une lueur de tristesse passa sur le visage d'Horace bien qu'il essayait de la cacher.

-  ce . . . Ce n'est pas grave Minerva, je comprends. Et je ne vous en veux pas.

- je savais que vous comprendriez, lui répondit Minerva en lui offrant un sourire franche.

- j'ai juste une chose à vous demander, dit il avec crainte

- quoi donc ?

- un dernier baissé. Annonça il a voix basse. Une sorte de bisou d'au revoir. Enfin, si cela ne vous dérange pas.

Alors Minerva rapprocha son visage de celui de son ancien amant et déposa lentement ses lèvres sur les siennes. Le baisé fut à la fois tendre et chaste et ne dura pas plus de quelque seconde. Après quoi le professeur McGonagall fit un dernier sourire puis tourna le dos à Horace et se dirigea vers la porte.

Durant la nuit, Horace trouva son lit bien vide et froid, et il en voulu à Minerva d'avoir jouer ainsi avec ses sentiments.