on crois, a un moment
quand tout est au plus bas,
quand tout n'est que obscurité
qu'on est arrivé au fond,
qu'il n'y a plus de lueur possible.
on finit par lâcher prise,
on renonce a toute once d'espoir,
la vie si lugubre, le bonheur si folklorique.
on se laisse engloutir.
mais un instant, une seconde,
surgit de nul part,
cette petite lumière qui fait tache dans le noir,
le temps d'un instant un sourire éphémère
se dessine, sur ce visage si fade.
une silhouette jaillit de lointain,
un être vient, en une fraction de seconde,
le désespoir se fait battre par cette once d'espoir...
