(réécriture) Un Avenir Déjà Écrit

Une Découverte Mystérieuse

Commençons par le commencement, je m'appelle Ambre Sparcks, 17 ans, orpheline depuis l'âge de 3 ans et étudiante en biologie et science de la vie. J'habite avec mon oncle John depuis la mort de mes parents, je ne me rappelle pas vraiment d'eux j'étais trop jeune pour vraiment me rendre compte de ce qui se passais. Cela fait maintenant deux jours que les vacances ont commencé et je suis entrain de faire mes bagages dans ma chambre au premier étage d'une grande maison, car avec mon oncle John nous partons en Grèce pour les vacances. La Grèce est un des pays que j'ai toujours voulue voir, son histoire, sa culture et surtout sa faune et sa flore à en couper le souffle m'ont toujours fait rêver, y aller enfin est un rêve qui prend vie !

-''Dépêche toi ou je part sans toi, Ambre!'' Hurlait mon chère oncle dans les escaliers qui raisonnaient à cause de l'isolation peut présente dans cet endroit de la maison.
-"Oui oui, j'arrive je cherche mon sac de couchage. Tu l'aurai pas vue?" lui répondis-je avec tout autant de force dans la voix pour qu'il puisse m'entendre.
-Il me répondu très clairement:"Il doit être dans le grenier!"
Avec ces mots suis donc montée dans le grenier. Avec la cave, le grenier est l'une des pièces que je déteste le plus. Cet endroit est poussiéreux, remplis de toiles d'araignée et très humide car il y as toujours un problème de toit ce qui rend l'atmosphère assez style halloween. Arrivée dans le grenier j'allume alors la lumière pour y voir plus clair. Il y avais de vieux objets comme des anciens jouets de quand j'étais petite fille ou encore des vieux meubles que l'on n'utilise plus. Je me dirige vers une étagère pour voir si mon sac de couchage, donc la raison pour la qu'elle j'étais montée ici, était la et effectivement celui-ci s'y trouvais bien emballé dans son sac. En regardant un peut dans le grenier, un objet attire mon attention. L'objet en question est un vieux coffre en bois, il n'est pas très grand et as l'air en piteux état, il y as des trous probablement causées par des souris et l'humidité de la pièce s'est incrusté dans le bois ce qui n'aide pas à l'allure de celui-ci. Intriguée par ce coffre je me mets à genoux devant celui-ci et l'ouvre doucement. A l'intérieur se trouve un journal ainsi que du papier de vieux journaux et de quoi contenir l'humidité, sûrement pour ne pas abîmer le journal. Je pris le livre dont la couverture est faite d'un magnifique cuire noir avec des dorures sur les bords. Dans le cuire à l'avant du mystérieux journal se trouve trois gouttes gravés, pensant que cela n'est juste qu'une décoration assez spéciale je décide d'ouvrir le journal mais... Je n'y arrive pas, il est comme totalement collé, je n'arrive pas ne serait-ce que décoller la couverture. Je retourne le journal dans tous les sens pour voir si il y as un potentiel mécanisme et je vois quelque chose d'écrit au dos: " Seul un Sparcks au trois gouttes noires à la capacité d'ouvrir ce journal, une seule goutte de sang dans chaque gravure est suffisante". - "trois gouttes noires...." dis-je doucement à moi-même essayant de comprendre. D'un coup sorti de nulle part j'entends un grincement derrière moi qui a pour effet  de me glacer le sang pendant quelques secondes... et je sens quelqu'un venir dans mon dos là présence est de plus en plus proche... une main se pose sur mon épaule ce qui me fait sursauter, figée je n'ose pas me retourner ou mêle bouger. Mon cœur bats à cent à l'heure jusqu'à ce que j'entends la vois de mon oncle me dire:-"Tu va rester ici encore combien de temps? Tu l'as trouvé ton sac de couchage ? ."
En entendant la voix de mon oncle me calme doucement et avec une voix encore un peut tremblante je répond:-''Ou-oui, pardon j'arrive" mon oncle redescend alors pour aller dans la voiture.

Je prend mon sac de couchage et le journal qui m'intrigue toujours autan et dont je ne connais pas encore le sens de la phrase qui se trouve au dos de celui-ci. Puis je vais dans ma chambre pour récupérer mes valises pour ensuite descendre à toute vitesse les escaliers, mettre tout dans la voiture et m'asseoir devant à côté de mon oncle pour commencer la route vers la Grèce. Depuis la Belgique cela va être un voyage très long en voiture , une semaine environ même plus. Mais nous allons voir des paysages magnifiques et ça fais plusieurs mois qu'on prépare ce voyage surtout que nous allons rester l'as bas tout le reste des vacances, donc ça vaut vraiment le coup ! Une fois démarré si j'ai oubliée de prendre quelque chose ce sera tant pis pour moi car mon oncle m'as clairement fait comprendre que l'on ne ferait pas demi tour.

Sur le trajet je ne dis plus rien car je suis perdue dans mes pensées. Ce journal m'intrigue vraiment je ne sais pas vraiment pourquoi, après tout ce n'est qu'un ramassis de papiers avec sûrement juste des petits texte des journées qu'à passé la personne à la qu'elle ce journal appartenait. Mais je me pose quand même énormément de questions comme: "pourquoi on ne m'en a pas parler plus tôt de ce journal?" ou "pourquoi est-ce que je ne peut pas l'ouvrir ?" ou encore " Qu'es qu'il faisait dans le grenier dans ce vieux coffre ?". À partir d'un moment je me rend compte que mon oncle s'adresse à moi, donc je sors de mes pensées et écoute ce qu'il as a me dire.
-"Pour la nuit on va devoir s'arrêter je dois me reposer", dit-il en baillant.
-"Oui, je comprends moi aussi, et puis je dois aller au toilettes"dit-je en pensant que je pourrais en profiter pour ouvrir le journal, enfin si j'en suis capable .

Je sors de la voiture en prenant le journal et me dirige vers les toilettes de la pompe à essence. Du coin de l'œil je vois des mec à moitié bourrée qui me matte de haut en bas tout en buvant leur bière et rigolant d'une manière pas vraiment discrète. Je fait comme si ils n'existaient pas et je m'enferme dans les toilettes en vérifiantque personne ne m'ai vue. Je m'assois sur la toilette (qui est fermée naturellement) et essaye d'ouvrir le journal mais je n'y arrive toujours pas. Puis je me rappelle d'un détail... Trois gouttes noires... J'ai dans le dos trois taches de naissance noires formant comme des gouttes, je n'y avais pas pensé immédiatement car je ne les vois pas souvent pour des raisons évidentes-"ça ne peut pas être ça, si ?" étant fan de couture j'ai toujours une aiguille et du file dans mon sac. Je sors l'aiguille et me pique le doigt en faisant une petite grimace de douleur et en fait sortir du sang que j'applique ensuite dans les trois gravures de gouttes sur le journal. Une fois fait la couverture absorbé le sang des gouttes-"alors ça c'était vraiment bizarre" . Je vérifie si je peux à présent ouvrir le journal et en effet, il s'ouvre comme un livre normal.

Je me mets donc à lire la première page .