Je me réveille le lendemain du cauchemar, l'oreiller trempé a cause des larmes qui n'ont cessées de couler. Alors que mes idées redeviennent claires, je me rappelle du visage horrifique de mon oncle. "Je.... Je suis toute seule a présent..." les larmes me montent aux yeux rien qu'à cette idée. Je reste un moment dans mon lit ne voulant pas affronter la dure réalité, je n'avais aucunement envie de faire toute l'administration après la mort de mon oncle. Je fini par m'asseoir sur mon lit regardant la pièce qui me sers de chambre. En regardant dans la chambre j'aperçoit le journal, cela faisait un moment que je ne l'ai pas ouvert. Je décide de le prendre et reprend ma lecture la où je l'avais laissée. Lorsque je veux reprendre je remarque qu'il manque une page. Comment es-ce possible? je suis la seule a pouvoir ouvrir ce journal et pourquoi avoir déchiré une page? Tant pis je suis trop épuisée pour essayer de comprendre donc je continue malgré ça de lire. "si il t'arrive d'avoir un énorme chagrin, vas a l'arrière du journal tu y trouvera une poudre noire dans un sachet. Verse le contenu dans de l'eau et bois le, cela fera partir tout tes soucis."- D'accord donc dans ce journal qui étais dans mon grenier depuis je ne sais pas combien de temps se cache un sachet de drogue a boire? Je vois, donc en faite tout les trucs bizarres qui me sont arrivés sont sûrement des effets d'une drogue qui as été mis dans les pages de ce livre, ça expliquerais beaucoup de choses. je me dit ça comme si je voulais me rassurer même si je sais très bien que ce n'est pas le cas. Je décide de prendre le verre d'eau que j'avais placé sur ma table de nuit et prend le sachet de poudre noir a l'arrière du journal. Je verse le contenu du sachet dans le verre d'eau. -Je n'ai plus rien a perdre de toute façon. je bois la boisson (qui on ne vas pas se le cacher n'as pas l'air très alléchante) d'une traite. La boisson était fade et avais comme un goût de poussière. Ça n'as pas été long avant que je ressente les effets de la substance. Je ne ressens plus rien, plus aucune peur, tristesse ou colère. Mais je ne ressens pas de délivrance non plus... rien... le vide complet.
Un peut désemparée je dépose mon verre dans l'évier et commence à faire la vaisselle qui est restée la depuis maintenant plusieurs jours. Étant plutôt étourdie je lâche une assiette qui se casse en plusieurs morceaux. Je la ramasse et en prenant un des morceaux en main je me coupe la paume. "bordel de m...." dis-je en relâchant le bout de porcelaine par réflexe. En regardant ma main, je vois une entaille assez profonde et mon sang sortir de la plaie, voulant en gouttes sur le sol entre les bouts cassés de l'assiette blanche. Voyant le sang s'écouler me procure une soudaine migraine et mon souffle s'accélère sans que je puisse le contrôler. Sans attendre je prend une serviette qui se trouve à ma portée et j'emballe ma main pour faire arrêter le sang de s'écouler. Je pars chercher la trousse de premiers soins pour soigner ma main et prend tout ce qu'il faut. Je retire la serviette et prend le produit pour désinfecter, mais... Rien, il n'y as plus de blessure, il y as toujours les traces de sang mais, la plaie s'est refermée."Qu'es qu'il de passe bordel ?" dis-je en regardant ma main qui il n'y as même pas 5 minutes avais une entaille profonde. "il faut que je prenne l'air... Je vais devenir folle ici..." je pris ma veste et me dirigea vers la sortie, sans oublier de prendre mes clefs et parti me balader.
Marchant dans les rues du village, je regarde les passants. Certains me dévisagent, après tout je suis la touriste qui a retrouvé un corp dans une voiture. Entre ceux qui me regarde avec jugement et les autres qui font comme si tout était normal, je ne sais pas qui je trouve le plus agaçant. Je serrais ma machoire fortement en entendant les rires des gens qui n'avaient aucune idée de ce qui s'était passé. J'étais sensé ne plus rien ressentir après avoir avalé cette foutue mixture alors pourquoi ? Pourquoi est-ce que je ressens une rage si intense en entendant de la joie autour de moi ? Pourquoi est-ce que cela m'agacais tant de savoir qu'alors que j'avais perdu tout ce qui me restais comme famille d'autres étaient heureux et bien entouré ? Qu'est-ce que j'ai fais pour mériter ça ? Je voulais crier, frapper et détruire. Je continue de marcher et m'éloigne de la foule pour échapper à tous ces sons différents qui me donnaient mal de tête. J'avais l'impression d'entendre tout si fort et intensément. Par le stress que tout ce bruit et ces sentiments mélanges incompréhensibles me procurait je ne pouvais m'empêcher de me gratter. Les démangeaisons étaient si intense. Ma respiration devena bien plus rapide alors que je me grattais intensément le bras. Mon anxiété augmentait de plus en plus, moi qui espérais être débarrassée de ce genre d'états je me suis fais de belles illusions. Ce que disais le journal n'étaient que des conneries ! Il y a bien des sentiments qui sont restées ! Et clairement ce n'étaient pas les bonnes ! En panique je m'étais dirigée dans une ruelle isolée sans m'en rendre compte. Prenant ma tête entre mes mains je me mise parterre contre le mur de cette ruelle en piteux état. Tout avait l'air vieux et une odeur d'humidité mélangé à l'odeur de l'urine flottait dans l'air. Trop prise par ma crise de panique je mise mes jambes contre ma poitrine et tremblait comme une feuille. Je ne comprenais pas ce que j'avais. J'avais pourtant fait tout ce qu'il fallait ! Je répétais en boucle dans ma tête que tout cela ne pouvait être qu'un cauchemar et que j'allais me réveiller. Je voulais me réveiller... Pitié... Faites que je me réveille...
John... J'ai peur... Viens me chercher... Je t'en supplie....
"hey, tu ne devrais pas rester là Sparcks"
VOUS LISEZ
(réécriture) Un Avenir Déjà Écrit
General FictionAmbre Sparcks est une jeune fille âgé de 17 ans. Un jour en cherchant dans son grenier au début des vacances d'été elle découvre un journal de sa mère morte il y as longtemps. Un journal que seul elle peut ouvrir. Tout porte à croire qu'elle va être...