Des questions sans réponses

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je regarde l'eau sans vraiment savoir comment réagir. Pour une raison que j'ignore je ne suis pas effrayée ou même choquée, comme si j'avais déjà vécue cette scène. je fini par sortir de l'eau et je m'assoit au bord, dans l'herbe. je ne peut pas décrocher mes pensées sur cette femme qui m'as tendue la main. elle m'avait l'aire tellement familière. d'un coup un coup de feux retentit, je me retourne pour voir ce qu'il ce passe. une femme crie, tout ce que je peut voir de la ou je suis c'est un bras au sol, qui ne bouge pas. plusieurs personnes arrivent, dont une qui appelle la police. je décide de m'approcher pour voir qui est au sol. je commence doucement a m'approcher du corps. a première vue c'est un homme, mais une personne me cache la vue de son visage. j'essaye de m'approcher un peut plus, mais au moment ou j'allais voir le visage de la personne, un policier mets sa main sur mon épaule et m'écarte. policier: "je vous déconseille d'aller voir si vous ne voulez pas faire de cauchemars. veuillez rester a l'écart et retournez chez vous, ce n'est pas sûr en ce moment." je ne savais pas vraiment quoi en penser mais comme me l'as conseillé le policier je m'écarte sans savoir qui est la personne allongé parterre surement morte. Je décide de retourner dans la voiture et attend mon oncle. Environs une heure passe et mon oncle ne donne aucun signe. ma tête tourne, je n'arrive presque plu a respirer. ma vision se trouble. et la... juste devant moi en dehors de la voiture... la femme de mon rêve. Vêtue cette foi-ci d'une robe blanche qui fait ressortir ses yeux écarlate et sa peau noir charbon. Elle me chuchote une phrase que bizarrement je sais entendre très clairement malgré les fait qu'elle soit dehors et que je tombe presque dans les pommes. "Il est presque temps, encore un peut de patience Ambre" sa voix est douce et apaisante. Sur ces mots je m'endors immédiatement. Je me réveille environs deux heures après. Mon oncle est de retour dans la voiture et nous sommes de retour devant la maison.

 Mais il y as quelque chose qui cloche... mon oncle m'aurais normalement déjà ramenée dans mon lit, c'est une habitude qu'il a quand nous faisons un long voyage et que je m'endors dans la voiture(vue que je suis plutôt petite et légère il n'as aucun mal pour me porter). La il est a coté de moi, il ne bouge pas... même son torse qui comme tout être humain et même être vivant a la normale bouge avec la respiration reste immobile... prise de panique je le secoue pour essayer de le réveiller, mais rien. Sa tête bascule sur le coté et...et dans un cri d'horreur je mets mes mains sur ma bouche et recule par réflexe en me mettant contre la porte de la voiture. Le visage de mon oncle John... est totalement brûlé du coté gauche a la manière de double face dans Batman. Une grosse entaille tranche le coté gauche de sa trachée, comme si on lui avait planté un couteau mais pas trop profond pour que l'on ne touche pas au coté droit. mais contrairement au sang rouge coagulé, le sang es argenté limite doré, on pourrais pensé que c'est due a une réaction chimique, mais cela réagit comme du sang non comme le pus blanc d'une infection ou du pu qui sort quand l'on éclate un bouton d'acné. je sors de la voiture en vitesse toujours sous le choque d'avoir trouvé mon oncle mort brûlé et égorgé. je m'éloigne de la voiture et me dirige vers la porte de la maison. je regarde une dernière fois la voiture et il n'y as aucun signe d'infraction ou de violence pour ouvrir la portière. J'entre dans la maison, la referme derrière moi et m'assoit contre celle-ci. Je ressens une tristesse et une peur tellement grande que les larmes ne veulent pas couler. Au lieu de ça j'éclate de rire, un fou rire nerveux s'empare de moi, on dirait presque le rire d'Ayano Aishi du jeux Yandere simulator quand elle as fait un crime et qu'elle fait un rire psychopathe pour se calmer.Je ne sais pas m'arrêter de rire, tellement que j'en ai mal au ventre. Pour finir les rires finissent en des cris d'horreur et des pleurs de tristesse. Je me tient la tête et arrache presque mes cheveux long qui sont déjà en batailles. Les différents miroirs dans le couloir éclatent d'un coup et les lumières s'affolent, mais je m'en fou, je n'arrive pas a arrêter de crié et de pleurer.

Des centaines de questions me passent par la tête comme: pourquoi moi? Pourquoi faut-il que je me retrouve sans personne? Qu'es-ce que j'ai fait? et que voulait dire la femme par "il est presque temps"? vais-je y passé comme mes parents et mon oncle? tant de question sur les quelles je n'aurais peut-être jamais de réponse. 

Je fini par me calmer puis reprend doucement mes esprits.Je décide d'appeler la police pour signaler la mort de mon oncle et vais m'enfermer dans ma chambre. La nuit et le reste de la semaine risque d'être long. De tout mes anniversaires "ratés" celui-ci est de loin le pire, je doute fort que cela ne pourrais l'être encore plus. J'aurai largement préféré un cadeau pourri comme mon oncle sais les faires... mais il n'en fera plu jamais a présent...rien qu'avec cette pensée je me remets a pleurer et éclate en sanglots. épuisée je m'endors toujours avec des larmes qui coulent le long de mes joues.

(réécriture) Un Avenir Déjà Écrit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant