L'Utopie se termine comme lie [ERERI]

Chapitre VI

Hey ! Comment ça va depuis ? J'suis vraiment navrée mais en ce moment j'ai trop la flemme (GOMEN) de me corriger et/ou de me relire. Donc il doit avoir forcément des fautes d'orthographes (qui peuvent vous piquer les yeux). Encore désolé aussi pour l'attende de ce chapitre. Bref je vous remercie et je vous kiff, bonne lecture ;)

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PDV Armin

Je suis depuis 20 minutes dans un café d'un village à l'ouest avec Christa. On y est pour soutirer des informations. On décide de se lever et de se séparer, histoire d'analyser le plus de terrain possible en peu de temps. Je m'en vais au sud et la petite blonde au nord du village.

Tiens ? Ça va faire 5 minutes que je marche dans une sorte de rue fantôme. Pourtant tout à l'heure il y avait du monde, maintenant il n'y a personne. Bizarre.

Hier soir j'ai parlé avec Erwin, il est beaucoup inquiet sur la situation de ce village. Je l'ai vu dans ces yeux... Cependant pour l'instant tout est à peu près normal.

Hein ? Une bibliothèque ? Il y a de la lumière, c'est très petit mais il y en a.

PDV Christa

Pour une fois que je pouvais rester avec Eren... Erwin pourquoi cette mission ? Je me le demande bien, d'habitude il n'y a que le cerveau qui part soutirer des infos. Il n'y a pas besoin d'autre membre.

- AAAAAAh !

Un cri ? Je me précipite vers ce son rapidement mais discrètement quand même. Je dois être prudente, ma tête est quand même mise en prime.

J'aperçois une femme qui est retenue par deux soldats de la garde... royale ! Merde. Un homme, sans doute le mari de cette femme est lui aussi retenue par deux autres soldats. Cependant il y a une autre personne debout devant lui, je n'arrive pas à voir son visage, ni même à deviner le sexe de l'individu. On dirait qu'il lui parle, mmh étrange. Je vais doucement me rapprocher pour mieux observer et intervenir s'il le faut.

- Au nom du commandant Jäger, le conseiller principal du roi. Je vous condamne à mort pour haute trahison ! Mais avant, tu vas être gentil et me dire où se cache la base de résistance. Si tu ne veux pas cela va être très simple. Vois-tu, derrière moi ce trouve ta femme avec deux soldats très obéissant. Par exemple, si je dis : « Arrache lui un doigt » ! Ordonne l'individu face à l'homme

Un soldat sort une sorte de grosse pince de sa poche et... oh non, il ne va quand même pas faire ça ?

- AAAAAAAAAAAAAAAAAAAh !!! S'il-- v-vous p-plaît !

Merde, je laisse tomber la discrétion, je ne peux pas laisser ça. Ces putains de soldats à la con !

- Je suis navrée de vous dérangez mais je vais devoir mettre fin à votre petit jeu. Dit-je.

L'individu en question se retourne vers moi, avec un grand sourire au lèvre, puis déclare :

- Tiens, tiens... Mais c'est notre chère charmeuse !

- Ça fessait longtemps que l'on ne sait pas vu, Mikasa.

PDV Armin

- C'est pour quoi ?