Chapitre 5

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PDV Nagisa

Finalement, j'ai peu dormit. Deux heures a peine. Elle m'en empêche, elle a faim. J'ai réservé plusieurs chambres sous mon faux nom pour les faire trainer un peu, je sais qu'ils vont me retrouver. Ils sont même sûrement déjà en chemin. Je m'ennuie terriblement. Je prends mon ordinateur et vais dans mes dossiers. J'ai récolté des informations sur des hommes d'affaires étrangers que je pourrais assassiné, dont des anglais. Ça me fera de quoi m'occuper. J'en repère un qui sera simple a assassiné, pas besoin d'attendre une heure ni de monter un plan difficile. Tout ce que j'ai a faire, c'est d'aller me procurer de l'équipement. C'est plus simple qu'il n'y parait de s'en fournir illégalement, il suffit d'avoir de l'argent. Et j'en ai. En quelques minutes a peine, j'ai pu contacter quelqu'un, on a fixé un lieu de rendez-vous et un prix, et voilà. Plus qu'a y allé et je peux reprendre du service, mais cette fois en Angleterre.

Il n'était pas très sympathique, mais efficace moi voilà avec 3 petits silencieux et 5 couteaux, tous de tailles et de formes différents. Le type qui me les a fourni et le genre de mec qu'il m'arrive de tuer. Ironique. Mais bon, il faut bien leur trouver une utilité avant de les tués. Enfin bref, j'ai d'autres préoccupations. Je retourne dans ma chambre d'hôtel et enfile ma tenus favorite lors de mes assassinats. Elle est confortable, je peux y cacher énormément d'armes et je peux facilement cacher mon identité. La plus pratique que j'ai en ma possession. J'y cache donc mes armes, puis je vais chez ma nouvelle cible. Au bout d'une vingtaine de minutes, m'y voilà enfin. Une grande maison claire. Très grande même. La fenêtre du salon est ouverte, ma cible est, je la vois, dans sa chambre. J'entre, traverse la pièce dans un silence de mort. Je monte les escaliers, je le voit. Il est dans une chambre. Pas la sienne, celle de sa fille. Je dirai 7-8 ans. Ils s'amusent ensemble, ils s'aiment, ça se voit. Je devrais peut-être renoncer après tout il a une fille. Une famille....
Non. Cet homme faisait ce que je déteste le plus. Du trafic d'être humain. Presque a chaque fois, c'était des femmes ou des enfants, qui étaient vendu et violé. Rien qu'en repensant a ce qu'il faisait, mon visage devint dire et impassible. Voir colérique. Je ne dois pas le laisser vivre.

Ce serait amusant, non, de le torturé. Immobilise le, fais souffrir sa fille devant ses yeux. Tue la sous ses yeux avant de le torturé a son tour.

Je souris. Je m'avance. J'entre dans la pièce tellement discrètement qu'ils se font pas attention a moi. J'attrape une mes armes a feu et tire dans les deux pieds du père, il tombe au sol. La gamine hurle, je l'assomme avec le dos de mon couteau. J'attache solidement le père a une chaise avec des draps trouvé dans la chambre. Il se débat, donc je l'assomme a son tour. Ça me laisse le temps de vérifier quelques choses. Je sors de la pièce et fait le tour de la maison. Parfait, la femme est dans sa chambre. Je passe furtivement derrière et l'assomme. Je l'attache a cote de son mari. Je ferme chaque fenêtre et chaque volet de la maison, la plongeant dans le noir total, je mets un torchon attaché derrière la tête dans la bouche de toute la famille, puis j'attends.

Deux heures ont suffit pour qu'ils soient tous réveillé. Ils sont dans le noir, ils s'agitent. Ils ne comprennent mas ce qui leur arrive. J'allume la lumière et leur affiche mon plus beau sourire, puis leur dit, dans un anglais suffisamment compréhensible.

Nagisa: Bien dormi ? Ah oui, chui bête, vous ne pouvez pas répondre. Je suis ici pour assassiné Monsieur Kiyochi, mais je me suis dit que vu ce qu'il avait fait, il méritait pire, puis j'ai envie de m'amuser un peu. Je suis The Snake, un assassin japonais. Je profite de mon petit voyage pour le débarrasser de quelques pourritures, j'espère que ça ne vous dérange pas. Bien, assez parlé, nous en avons pour quelque temps donc mieux vaux commencé assez rapidement.

Je m'avance vers la petite. Elle a un air horrifié sur le visage. Mon visage, a moi, semble plutôt heureux, et flippant. Le fameux mode psycho. Je me laisse allé, fait ce que me dicte la voix. Absolument tout. Malheureusement pour elle, la petite meurt rapidement. Bien trop rapidement pour elle. Je n'ai pas beaucoup jouer. Je me tourne vers les parents. Ils sont en larme. Ils essaient de hurler et de se libérer. Je délivre la femme avec mon couteau et la jette au sol. C'est à son tour. Je lui plante mon couteau un peu partout, l'entaille, lui arrache la la peau et la chaire. Mince. J'ai casse mon deuxième jouet au bout d'un heure de jeu. Je tourne la tête vers le père, ma véritable cible. Je lui sourit et me lève doucement. Je m'approche de lui et lui plante mon couteau dans l'estomac, puis je le relu dans les sens.

Nagisa: C'est enfin a ton tour, pourriture.

Deux heures. Pendant deux heures je l'ai torturé. J'ai sourit, j'ai rie et il hurlait. Il souffrait, pleurait, se vidait de son sang. Je le lève et observe la pièce. Des cadavres mutilé, du sang étalé, et moi, au milieu. Je me met a rire. A rire aux éclats. J'ai tué et torturé toute une famille. Je rie. Je rie pendant plusieurs minutes au milieu de ce carnage. Puis je pleur.

Professeur et assassinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant